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 Des Vertes et des pas mûres (PV Foa Requiem)

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Juan Primavera
► Arrancar • Grand Méchant Vert • N°66 •
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Juan Primavera


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MessageSujet: Des Vertes et des pas mûres (PV Foa Requiem)   Des Vertes et des pas mûres (PV Foa Requiem) Icon_minitimeMar 18 Mai - 23:54

[Introduction, pour placer le contexte]

Hueco Mundo, au cœur de la nuit…
Pas très surprenant, en fait. Avec pour maître éternel des cieux cet astre blanc neige en forme de croissant fermé, comme si un petit soleil noir cherchait vainement à lui faire éclipse, et un ciel de même teinte sans la moindre étoile, dire « le Hueco Mundo la nuit » relève du pléonasme. Toutefois, nous nous permettrons d’user d’une telle tournure, histoire de mettre l’accent sur le palpable manque d’activité régnant au Palais de Las Noches, à intervalles de temps réguliers, où ses occupants font de beaux rêves…

En théorie…

A ces heures, dans l’enceinte pourtant généralement silencieuse, l’apathie pèse lourdement dans l’air. Pas un souffle, pas un son, rien. Il faut dire qu’en plus d’être assez vaste pour noyer le bruit d’une fusée au décollage, Las Noches est entièrement coupé du monde extérieur. De fait, pas de tempêtes de sable ou de hollows faiblards se trainant sans maître ni but, poussant leurs interminables hurlements vides. Le sommeil, à Las Noches, c’est la quintessence même du concept. Autant dire que le livre des Guiness Records y trouverait son compte.
Le palais en lui-même a de quoi faire pâlir un Khalife. Etendu sur une bonne centaine d’hectares, Les bâtiments principaux sont encastrés dans les murs blancs de la couronne extérieure, sorte de mur d’enceinte de près de deux-cents mètres d’épaisseur, un Mur de Chine circulaire blanc, à la Fashion Hollow, abritant les trois-quarts des quartiers d’habitation et autres salles de maintenance et de gestion. Au centre de cet enceinte, une immense « plaine », du même sable que celui que l’on trouve dans le désert blanc. Elle est recouverte d’un immense dôme blanc qui, chose surprenante, imite à la perfection sur sa face intérieure le ciel du monde humain. Si ce n’était pour les murs d’enceinte, on se croirait réellement dans un désert humain. Clairsemés de ci de là, au milieu de cette plaine, se trouvent les quartiers spéciaux. Individuels, tant au niveau architectural qu’esthétique, et rivalisant en démesure de taille et de forme, là logent les arrancars qui ne sont pas tout à fait comme les autres. Les Exequias, par exemple, sans compter les Tres Cifras, dont les galeries souterraines disposent de quelques issues en ces lieux ; les Espadas, dont on reconnait facilement les appartements de par leur opulence excessive ; les Gardes du Corps d’Aizen, même Aizen en personne, ainsi que ses deux sous-fifres attitrés ; et aussi les agents spéciaux, arrancars anciens et puissants, dont les services sont demandés pour les missions particulières et inhabituelles, et qui, bien que non-espadas, ont nettement plus d’impunité au palais que les autres Numeros.

En l’occurrence, ces derniers nous intéresserons. Car chez l’un d’eux, cette nuit-ci, le calme se fait denrée rare.
Les appartements ont déjà de quoi choquer, dans ce désert d’uniformité. Et encore, choquer serait un euphémisme, car le bâtiment ne nous laisse même pas le temps d’être choqué, tant on doit dépenser d’efforts et de neurones pour se décider de ce qui nous choque le plus. Est-ce la forme, élancée en tour, dont les 6 étages circulaires aux murs inclinés sont progressivement restreints en diamètre, de sorte à ressembler à une copie brouillonne et mal-fichue d’un sapin de noël ? Est-ce la couleur de la façade, qui loin des teintes habituelles du sapin, est d’un vert pétard à en faire fondre les rétines, qui n’a de surcroit aucune chance quelconque d’être observée sur un objet naturel ? Ou est-ce la végétation, qui, en plus d’être une chose rare et surprenante à voir à Las Noches, est ici tellement concentrée qu’elle déborde des fenêtres et même de la porte d’entrée à double battants, lianes et fougères et arbrisseaux et fleurs : une jungle tellement dense et riche qu’on ne serait pas surprit d’y trouver toutes les plantes vivant en ce monde et même celles n’y vivant pas, et accumulant une humidité telle que le sable à dix mètres autour de l’immeuble est trempé comme un bord de plage à marée haute.
Ce soir, heureusement, le destin nous sera clément en nous présentant quelque chose d’encore plus surprenant que le bâtiment. Cette nuit-ci, on y trouve attroupé une petite meute d’arrancars, visiblement affairés à chercher quelque chose. Tous font la même chose: je cherche dans ce coin-ci, je le tourne et le retourne, et la seconde d’après me revoilà après un autre coin, voire même à creuser le sable. Tous ont la même façon de bouger : consciencieuse, mais rapide et sèche, comme si tous étaient après la même chose et concourraient pour qui le trouverait en premier. Tous ont la même expression : inquiète. On aurait crû qu’ils venaient de perdre le plus gros diamant du monde, et pour certains, le visage laissait transparaître un soupçon de panique. Et tous font le même bruit, c'est-à-dire aucun. Comme si une vilaine bête méchante et sournoise était tapie non-loin, et que le moindre faux mouvement la ramènerait.

Là, on ne croit pas si bien dire…

Ah oui, détail important : tous portent un morceau de tissu vert sur eux. Que ce soit sur le bras, dans les cheveux, ou n’importe où, il est là, et bien visible.
Alors que nos joyeux lurons s’affairent sans relâche, un hurlement, tout de rage, de haine et de frustration tels que les contenir équivaudrait à essayer d’enfermer une explosion de 13 kilos de nitro dans une canette de soda, déchire le silence :

AU NOM DE TOUT CE QUI EST SAINTEMENT VERT, OU DE OU EST PASSEE MA BASSINE DE CHLORE ???

A ces mots, la troupe d’arrancar se fige net. Les expressions de peur sans nom et de désespoir se lisent sur tous les visages. Visiblement, la bête a finit la sieste…
Sans qu’ils aient le temps de déguerpir, voire même de bouger un doigt de pied, les portes d’entrées s’ouvrent violemment, et un autre arrancar en déboule comme une tempête vivante. Cheveux blonds, corps de jeune homme de 19 ans avec suffisamment de grâce dans ses muscles finement sculptés et son visage aux traits angéliques pour faire craquer une bonne part de la gent féminine, c’est sans conteste un beau gosse. Mais ses yeux, verts émeraude, dégagent une inquiétante lueur malsaine d’inquisiteur fanatique menant un procès, associée à une colère innommable que, pour éviter de froisser son égo, nous appellerons « vert de rage ». Plus inquiétant encore, l’énorme Nôdachi qui pend à sa ceinture, créée comme une œuvre d’art, avec sa garde en forme de feuille d’érable en émeraude et jade, et sa lame courbée de vert-de-gris, et sa poignée recouverte de satin vert ; et qui pourtant si longue et lourde qu’elle traine sa pointe sur le sable en laissant un profond sillon. Contrairement aux autres gens présents, lui ne se contente pas d’un tissu vert : son habit tout entier l’est, jusqu’à la pointe des ourlets, accumulant suffisamment de variations pour faire croire que toute la palette s’y trouve.

Lui, c’est Juan Primavera, Arrancar N°66, et dans ce contexte peu engageant, l’histoire commence ici avec lui.

[Fin de l'intro, début de l'histoire]

Juan avait de quoi être furibard. Dans pas loin de dix heures, Aizen-Sama allait convoquer la majeure partie du gratin de Las Noches pour un rendez-vous stratégique au sujet de la nouvelle menace récemment apparue dans le Hueco-Mundo : les zanpakutos. Mine de rien, ce n’est pas n’importe quoi d’être convié à pareille réunion, et une preuve non-négligeable de la confiance portée par le maître sur ses pouvoirs. De fait, Juan voulait avoir l’air présentable, cela va de soi. Nul doute que les autres gros morceaux comme le Primera ou le Dies allaient tranquillement pioncer dans leurs appart’s et débarquer comme des limaces au dernier moment. Mais pas Juan Primavera, oh que non. Lui, il allait se pomponner, se bichonner, se parer de son meilleur habit (ce qui signifie, selon ses critères : l’habit le plus vert possible), et surtout, se faire « vermanenter ». C’est le petit nom qu’il a trouvé pour quand il rend ses cheveux verts en plus de ses vêtements, et dont le principe consiste juste à plonger ses beaux cheveux blonds dans une bassine de chlore concentré pendant deux heures, puis les brusher et les traiter aux essences végétales de sa confection pour leur rendre tout leur lustre et leur soyeux. On vous l’a dit : Juan voulait être présentable au plus possible, quoi de mieux que des cheveux verts pour ça ? Seulement voilà, sa sempiternelle bassine de chlore n’est plus là. Il a beau chercher partout dans ces appartements, nada ! Et ça, il n’y a pas pire insulte !
Et voilà qu’en débarquant devant chez lui, hurlant à l’univers sa rage, il tombe sur un groupe de faiblards en guenilles qui se livrent à une espèce de fouille archéologique au pas de sa porte ! Mais que Verdiable font-ils là ? Il n’y a pas de fossiles ici à ce qu’il sache, mis à part quelques crânes d’importuns qui ont, en leur temps, osé faire une sale remarque sur la sainte couleur verte. A moins que…

Seraient-ils au courant ?

Il est vrai que les nouvelles circulent vite à Las Noches, malgré sa taille. Et Juan, du haut de ses 467 ans et demi, n’est pas assez naïf pour ignorer la plupart des ragots qui fusent à son sujet. Lui, le bizarre, le fou du vert, « l’écolo-terreur », comme il se faisait appeler dans son dos. Sans doute quelqu’un s’est amusé à lui voler sa bassine, et la nouvelle a circulé. Que de crétins ! Ils ne comprendront jamais la suprématie et l’inévitable triomphe du vert, couleur de la nature, de la magie, du mystère, du monde, de l’univers, de… bon, trêve d’éloges, déjà savoir ce que ces basses-choses fichent autour de son magnifique bâtiment. S’approchant de l’un d’eux, un jeune garçon portant, malheureusement pour lui, son foulard vert au niveau de la cheville (donc peu visible), Juan le saisit par les cheveux et, avec une aise surprenante, le souleva en l’air, avant de vociférer :

Qu’est-ce que tu fricotes ici, freluquet de sans-VERt (son insulte personnelle) ? C’est pour quoi que tu creuses VERs le noyau comme ça hein ? Et VERs ma porte en plus ! Quoi ? Ya quelque chose que tu me VERrais bien ne pas savoir ?

Se tournant vers l’assemblée, toujours aussi figée qu’à un jeu de 1,2,3 Soleil, il poursuivit :

VERrait-on des saletés comme vous me cacher un truc ? Avouez ! Vous savez vers quoi je mène là, hein ? Vous savez pourquoi je suis là, et que je suis VERT de rage ! Elle est passée VERs où, ma bassine de chlore ?

Si les mots en eux-mêmes étaient déjà prononcés assez ports, la hausse de ton sur les syllabes « ver » manquait presque de faire exploser les tympans. Couplé à la tournure on ne peut plus bizarroïde des phrases, il n’est pas conseillé de penser avec ses pied quand Juan vous parle.

Pas un mot ne sortit de la bouche de la victime, dont les yeux affichaient une peur d’une intensité rare. Son silence ne fit qu’enrager Juan encore plus. Ils savaient ! Cela ne faisait aucun doute pour lui. Leur silence trahissait leur honte. Et s’ils étaient au courant, c’est qu’ils sont eux-mêmes impliqués dans l’affaire. Oh, ces saloperies ! Prenant une vois plus calme, mais infiniment plus menaçante, Juan poursuivit de plus belle:

Vous verrez, bande de sans-vert, ce que Juan de Primavera réserve à ceux qui jouent envers lui des mauvais tours ! Je vous jure que d’ici un mois, vous allez supplier la mort, et que vers deux, vous allez la supplier encore plus !

Malgré sa rage, une petite pointe de fierté s’éleva en lui. Trois fois « ver » dans une seule phrase, c’est pas tous les jours qu’on y arrive, quand bien même la langue s’y prête. Mais ce n’est certainement pas cet accomplissement, si prodigieux soit-il, qui va arranger leur sort !

Timidement, une petite voix féminine s’éleva des rangs terrorisés :

Bah, c’est que, Juan-Dono, on la cherchait pour vous… oui on savait !, mais je vous prie qu’on essaye de rectifier la gaffe d’un autre on sait même pas qui a fait le coup jevousensuppliepardonneznousonnevoulaitaucunmal !! (Traduction : je vous en supplie pardonnez-nous on ne voulait aucun mal !)

Au départ cachée par la foule, vers la fin, la petite bas-rang qui avait prononcé ces mots était quasiment à genoux devant Juan, les yeux levés vers lui, implorant la pitié. C’est que les châtiments de l’arrancar N°66, quand il a l’occasion d’en donner, ne sont jamais des plus plaisants : empoisonnement de nature inimaginable, pâture aux plantes carnivores, trempette dans le chlore pur, et j’en passe. Déjà, dans l’esprit tordu de l’arrancar, les idées de punition exemplaire prenaient forme. Qu’importe leur « geste » de lèches-bottes, ce n’est pas ça qui leur accordera le pardon. Le fayottage, c’est bon pour ces pourritures d’Espadas ! Et ne pas même le prévenir de l’incident, franchement, c’est à se demander comment ils ont survécu dans la chaine alimentaire !!! Oh que oui, ils allaient tous y passer !

Voyons voir, pensa Juan, baies de Belladone… nan, trop classique. Digitaline ? Trop raffiné pour ces vers de terre,

Quoique… Qu'avons-nous donc là?


Cette fillette qui venait de s’adresser à Juan (du moins physiquement. L’âge d’un arrancar se calcule guère sur son apparence)… elle ne porte que le vêtement blanc délavé des arrancars « normaux », outre un ruban vert dans ses cheveux… mais ses yeux… verts aussi, et pas qu’un peu. Verts émeraude… comme ceux de Juan, voyez-vous ça ! Oui, aucun doute, des yeux comme les siens (il passe assez de temps devant le miroir pour le savoir). De beaux yeux, en somme. Intéressant…

Lâchant sa tête à claques précédente, qui s’affala lamentablement sur le sol en inspirant l’air comme si c’était de l’or, Juan s’avança vers la jeune arrancar et lui souleva le menton du bout des doigts :

Eh bien, ma chère, il fallait le dire avant, cela aurait évité de nous mener vers une dispute des plus… malvenues.

Sa rage avait subitement déserté son être, laissant sa voix aussi douce que du miel. Ses mots étaient presque soufflés plus que parlés, un susurrement à en donner des frissons dans le dos. Il souriait un sourire charmant à son interlocutrice, d’une manière doucerette et gentille que seuls des traits angéliques empreints d’enfance, tels que les siens, peuvent accomplir. Ses yeux pétillaient. Mais à y regarder plus près, ce pétillement n’avait pas grand-chose de joyeux au sens propre du terme. On aurait plus dit le pétillement d’un avide exploitant qui venait de trouver une grosse huitre, et comptait en extraire toutes les perles. Un regard de pécheur non-repentant. Un regard que même le terme « suggestif » parvient mal à définir. La main de Juan se fit plus entreprenante, caressant doucement la joue de l’arrancar.

C’est bien gentil ce que tu cherchais à faire, ma douce, tu m’en verras ravi. Si tu le souhaite… pourquoi ne viendrais-tu donc pas demain à la même heure à mes appartements, tu verras que je sais remercier ceux qui me sont amicaux, comme toi. N’ai crainte, je ne verrais point de mal t’arriver, pas à une si charmante demoiselle, et si gentille. Qu’en dis-tu ?

Un hochement de la tête fut sa seule réponse, la jeune fille n’osant dire plus, mais cela lui convenait. En plus de confesser, elle acceptait sa proposition. Pas mal du tout ! Sans doute une personne lui vouant quelque sympathie. Si tel était le cas, il se devait de… l’honorer comme il se doit. Mais elle avait tout de même l’air effrayée. Aurait-elle cru qu’elle n’avait pas le choix ? Sans doute oui… et sans doute avait-elle raison. Mais ce n’est qu’un détail, et après tout, elle avait acquiescé.
Se redressant, Juan fit un geste vague envers l’assemblée, qui depuis tout ce temps n’avait pas cillé.

Filez, petits, et vous verrez bien à ne pas trainer ici pour les prochaines 24 heures, ou vous verrez aussi le tranchant de ma lame.

Sans demander leur reste, ils détalèrent.

Juan inspira profondément et souffla un bon coup. Tancer aussi vertement ces saligauds lui avait fait un bien fou. Et puis il venait de dénicher une petite pépite parmi ces faiblards, qui allait sans doute lui faire passer une agréable soirée. En vert et contre tout, cette nuit ne se passe pas si mal que ça…

Mais il ne savait toujours pas où se trouvait sa bassine de chlore.

Juan se gratta pensivement la tête. Qui pourrait être assez fou lui faire un coup pareil ? Sans doute quelqu’un qui se croit tout permis, donc finalement peut-être pas l’un de ces traine-misère, mais suffisamment à l’aise avec eux pour leur cracher le morceau. La seule réponse qui lui vint à l’esprit était cette espèce de fraccion du Primera, cette Lyly-truc-machin.

Mais si c’est elle, je ne verrai jamais justice faite, pas avec ce flemmard qui la prend sous son aile.

Son humeur maussade lui revint à cette pensée. Qu’est-ce que les gens peuvent manquer de respect, Vertbleu ! Après un moment, Juan réajusta son manteau et se dirigea à travers la plaine centrale jusqu’à l’immense porte ouest de l’enceinte extérieure. Comme son nom l’indique, le Désert Blanc manque cruellement de vert (quel manque de conscience de la part de Mère Nature) mais prendre l’air finirait de le détendre avant la réunion auprès d’Aizen-Sama. Dix heures étant un temps plutôt long, il opta pour un parcours large qui le mènerait peut-être un peu loin du palais, mais riens de moindre lui aurait convenu. Et puis qui sait, peut-être trouverait-il un ou deux adjuchas ou autre saleté à qui il pourrait « démontrer avec force » l’indéniable supériorité du saint vert !

La balade se faisait longue, et y paraissait encore plus dans ce décor on ne peut plus monotone. Au détour d’une colline, Juan se retourna. Le palais de Las Noches commençait à diminuer de taille à ses yeux, signe qu’il s’en éloignait de façon conséquente. Voilà un moment qu’il marchait, et il n’avait rien croisé d’intéressant. Mieux valait peut-être…

… rester ! Là ! Juste derrière la dune. Juan se figea sur place, non pas comme un animal surprit, mais plutôt comme un prédateur venant de flairer une proie. Un reiatsu venait lui chatouiller les sens, et pas des moindres non plus. Sans doute ferait-il un adversaire respectable, à défaut d’un interlocuteur attentif (chose qui, au goût de Juan, était malheureusement bien trop rare ces temps-ci). Mais cette texture… Non, ce n’était pas un hollow. Mais alors, un arrancar ? Impossible. A part Lunaganga et quelques sous-merdes malformées, tous les arrancars avec un reiatsu digne de ce nom étaient à Las Noches à cette heure-ci. Un mot lui vint à l’esprit.

Shinigami ?

Juan écarquilla les yeux, prit de court par la révélation. Qu’est-ce qu’un Shinigami pouvait bien faire ici ? Un espion ? Un infiltré potentiel ? Un éclaireur pour une armée ? Mieux valait avertir Aizen-Sama…
… ou pas. Juan sentit l’excitation monter à nouveau. Qui que ce soit, il allait le distraire un peu. S’il avait des infos, il les cracherait plus facilement une fois que l’arrancar Sesenta-y-Seis s’était occupé de lui.
Lentement, Juan grimpa en haut de la dune. Sa lame était cette-fois-ci dans sa main, histoire de ne pas faire de bruit en trainant dans le sable. Silencieusement, il pointa son visage par-dessus la dune, à l’affut du moindre danger. Et…

OUI !!! Il y avait bien un Shinigami là ! Et bien en forme à première vue ! Regard déterminé, physique imposant, jambières métalliques, pas de doutes, bien équipé. Et il a un bon reiatsu… mais… il ne porte pas de vert ! Là par contre, ça le fait nettement moins bien ! Mais bizarrement, Juan en était presque content ! Sans vert sur lui, il pouvait se lâcher sur ce malheureux Shinigami sans retenue… Mais pas tout de suite… patience… l’observer, l’analyser, voir quelles sont ces intention. Et s’il attaque en premier, tant mieux. Juan adore « réceptionner » ses adversaires… Il se passa nerveusement la langue sur les lèvres. Ses yeux, déjà inquiétants à la base, aurait pu à eux seule vider l’entièreté d’une capitale en l’espace de quelques minutes tellement ils faisaient peur, empreints de fanatisme et de folie.


En vert et contre tout, la nuit allait se finir TRES bien…
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Foa Requiem
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MessageSujet: Re: Des Vertes et des pas mûres (PV Foa Requiem)   Des Vertes et des pas mûres (PV Foa Requiem) Icon_minitimeJeu 20 Mai - 21:18

Foa avait était envoyer dans le désert de Las Noches pour faire l’espion. Sa veste blanche était soulevée en l’air à cause du vent. Foa qui était doué pour sentir un reiatsu, avait l’impression de sentir une présence. Alors il commençait a se méfier quand tout a coup il se mit a remarquer une deuxième présente. Foa était surpris alors il resta sur ses gardes. Et alors au bout de quelque seconde, un hollow apparu devant lui en criant. Il était grand, le visage blanc avec le nez très pointu. Et il possédait aussi une cape noire qui partait du haut de sa tête pour aller presque toucher le sol. En dessous de cette cape se trouvait ses bras et jambes. Anakin se rappelait l’avoir déjà combattu, et il lui semblait qu’on les appelait Gillian ou Ménos Grande. Foa qui sentait une présence plus celle du Gillian commencer a être angoisser et se mit a réfléchir. Il pensa qu’il vaudrait mieux qu’il affronte le Ménos Grande sans libéré son zampakutô pour ne pas que l’on remarque trop son reiatsu. Le Ménos sortit son bras de sa cape noir et serra le poing. Il éssaya de frapper Foa mais celui-ci sauta dans les airs pour esquiver le coup, puis déguena son zampakuto et frapper de toute ses force le Menos au bras qui fut trancher. Alors le Menos poussa un cri si fort que l’on pouvait l’entendre de très loin. Foa qui pensait que sa aller attirer de gros ennuis commença à devenir un peu pâle. Le Ménos ouvra grand la bouche et un Cero sortit de celle-ci et se dirige vers Foa. Foa énerver utlisa le shunpo et réusi a esquiver le Cero de peu.
Ensuite il utlisa le kido :

Hado no san jû ichi

Une boule d’énergie spirituelle rouge se dirigea vers l’ennemi, mais le Ménos bloqua cette technique avec un autre Cero. Alors Foa devait malheureusement libéré son zampakutô en shikai.

Requeim

Le zampakuto de Foa se transforma, le manche s’allonge, la lame aussi et s’élargit, une crois est dessiné sur le plat de l’épée et la lame devint plutôt plate. Il éssaya tout de même ne pas trop utlisé sont reiatsu. Foa se concentra à fond…

Kotetsu

Il fit un coup d’épée qui se dirigea vers le Ménos qui fut tranché et qui mourra. Foa ramena son Zampakuto a la normal et s’assis entailleur sur le sol puis ferma les yeux. Il se concentra pendant quelque minutes pour essayé de découvrir qui est la présence restante. AU bout d’un moment, il ouvrit les yeux, et se leva puis regarda une direction. Il utilisa le shunpo et il se retrouva devant la présence restante. Un homme avec beaucoup de vert sur lui.

"Qui est tu et que veux-tu ? J’ai remarqué que tu ma observer me battre contre le Ménos.
Parle sinon je te tue".


HRPG- Excuser moi que se soit plutôt court mais je n'avais pas vraiment d'idée -HRPG
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Juan Primavera
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MessageSujet: Re: Des Vertes et des pas mûres (PV Foa Requiem)   Des Vertes et des pas mûres (PV Foa Requiem) Icon_minitimeSam 22 Mai - 3:56

Eh bien, plus la situation évoluait, plus l'excitation montait en Juan Primavera. Décidément, ce Shinigami l'intéressait de plus en plus. Se baladant avec confiance dans un désert des plus dangereux de l'univers, avec un bon reiatsu. Pas mal. Juan eut même l'occasion de voir un phénomène des plus rares: Un Gillian, pourtant un Menos discipliné et assez bête pour faire passer une vache folle pour une philosophe, était parvenu à sortir de la forêt souterraine rien que pour l'intrus. En temps normal, ce genre d'apparition est peu fréquente, car soit le Gillian ne peut pas monter de sa forêt habituelle, soit il se fait croquer tout crû par l'un des Adjuchas souterrains ou du désert. Le fait que celui-ci fut suffisamment désespéré pour tenter coûte que coûte de goûter à ce Shinigami en disait long sur lui. Il devait être très doué, ou avoir une texture de reiatsu des plus inhabituelle qui rend les menos fous, à l'instar de ces gens qui ont un sang de type spécial qui attirerait plus les moustiques qu'un autre.

Mais quelque chose clochait, tout de même. Le shinigami s'était arrêté net dans sa course. Visiblement, quelque chose l'avait troublé. Puis lorsque le Menos apparut, il n'usa pas, comme le fait d'ordinaire un Shinigami, de sa lame, mais plutôt d'un sort de Kidô. Juan n'en savait que peu sur cette magie des Shinigamis, mais après 467 ans 1/2 d'existence, il avait tout de même assimilé quelques notions dessus, en plus de témoignage visuel. Ce sort-là, il l'avait vu exactement 20 237 fois en presque 500 ans, autant dire que les Shinigamis en raffolent. Un sort moyen s'il en est. Hâdo no San Ju Ichi: Shakkahô, le canon de feu rouge. A peine ce nom lui revint-il à la mémoire que Juan fit une moue des plus prononcées. Feu ROUGE? Franchement, quelle bande de délurés ces Shinigamis. Ils auraient au moins pu avoir la décence de créer une technique de feu VERT!!! Le rouge, c'est moche, colérique, complètement dépourvu de toute harmonie, et en plus ça sonne à l'oreille comme des postillons. Le vert, c'est tout de même plus doux à entendre et plus classe à utiliser. Et n'est-il pas un fait de science qu'une flamme verte est toujours plus intense, chaude et brûlante qu'une flamme rouge?

... Mais Juan s'égarait, là, et tandis qu'il se perdait dans ses rages contre ce manque d'esthétique des Shinigamis, l'énergumène qu'il épiait venait d'esquiver à nouveau une tentative du Menos de l'unir "platement" au sol à l'aide de ses immenses taloches. Et il n'avait toujours pas dégainé sa lame. Étrange, très étrange... pour le coup, Juan en fut quelque peu troublé.

Il a l'air bien méfiant le sans-vert. Il a pourtant pas à avoir peur de quoi que ce soit avec cette brute noire, elle verrait son arme que ça lui ferait ni chaud ni froid.
... Ou me sentirait-il, voire même me verrait-il?


Juan en passa de troublé à carrément gêné. Si le Shinigami savait faire ça, son don de reiatsu allait au delà du seuil où un Arrancar se permettrait de le complimenter ironiquement. Il serait une menace sérieuse, et un adversaire quelque peu plus méchant qu'un adjuchas de basse-zone. C'était la seule explication que Juan trouvait à la réticence du bonhomme à dégainé.

Peut-être compte-t-il renverser la situation en sa faveur en évitant que je voie son pouvoir de suite?

Alors qu'il observait toujours, le Shinigami daigna enfin sortir sa lame du fourreau, lame quelque peu impressionnante, si ce n'est pour son manque de vert... On sait que pour vous, amis lecteurs, ça ne fait pas grand-chose, mais pour notre ami Juan, c'est ce qui fait toute la différence entre une œuvre d'art et une banale machine à trancher. Mais elle semblait tout de même efficace car le bras du Menos fut tranché net. Pas mal. Juan pouvait faire cela aisément (il s'y était déjà essayé à ses heures perdues), mais pour un Shinigami, cela démontrait un potentiel supérieur, du moins selon les minables standards de leurs rangs. Lentement, l'énervement vint s'ajouter à l'excitation. Si le Shinigami continuait à ce train, il allait devoir intervenir directement et l'éliminer sans état d'âme. Quel ennui, lui qui aurait aimé s'amuser. Mais que voulez-vous: quand on a des pouvoirs dignes d'un assassin, on doit faire avec. Si Juan pouvait tuer ce Shinigami en traître, il devait le faire, il était taillé pour ce genre de choses. Sa main se resserra nerveusement sur la garde de sa lame. Ses tripes lui commandaient de tenter son coup maintenant, alors que son adversaire potentiel était occupé. Il ajusta sa position, prêt à charger, à trancher, à...

Requiem

Juan resta figé sur place. Il n'avait pas la berlue? Visiblement non: le Shinigami venait bel et bien de prononcer le nom de son zanpakuto. Se remettant en position accoupie, Juan observa attentivement le shikaï. Long, large, plat, et il semblait donner des décharges électriques au contact (du moins à en juger de l'aura statique que Juan ressentait). pas très subtil, sobre et efficace. Le zanpakuto de quelqu'un qui ne donne pas dans les palabres et le combat long. Juan prit note de tout cela mentalement. Le shikaï se démontra effectivement puissant, puisque d'un coup bien asséné chargé de reiatsu, le Gillian fut tranché en deux net. Suite à cette attaque, le shinigami le remit immédiatement en mode normal, chose qui, aux yeux de Juan, était éminemment stupide. Si on se doute d'une présence, pourquoi remettre la lame au fourreau? Et pourquoi s'accroupir en tailleur, fermer les yeux et...

... Verde... (bah oui, quitte à jurer, pour Juan, pourquoi jurer sur, justement, de la merde, alors qu'on peut le faire sur quelque chose de vert et qui EN PLUS a un sens... le bonheur quoi!)

Juan jura intérieurement au nom de tout ce qui est saintement vert. Il venait de gâcher l'intervalle de temps possible pour achever le Shinigami alors que celui-ci tentait justement de le détecter. Maintenant, un combat direct était inévitable... Tient donc. Juan se calma à cette pensée. Après tout... il n'est pas mal au combat face à face lui non-plus, et il avait patienté jusque là spécialement pour attendre son adversaire et le "réceptionner" du tranchant de sa lame. Pourquoi gâcher cela dans un bête assassina. Sûr qu'Aizen-Sama aurait préféré une action de ce genre, mais ici le résultat serait le même, juste un peu plus fun. Et pourquoi le tuer? S'il venait ici en espion ou autre, mieux valait lui faire cracher le morceau, et Juan excellait à la torture à base de poisons et venins...

il attendit donc patiemment. A peine une minute plus tard, un faible sifflement d'air se fit entendre et le Shinigami surgit en face de lui, lame à la main. Sans le moindre préavis, sans même prendre une seconde pour jauger la personne en face de lui, il s'afressa à Juan en ces termes:

"Qui es-tu, et que veux-tu ? J’ai remarqué que tu m'as observé me battre contre le Menos.
Parles, sinon je te tue".


Juan pensa l'espace d'une seconde à réagir comme lui, c'est à dire en lui lançant une menace et lui foncer dessus. Mais non, ce genre d'action n'est que prise par les arrancars faibles qui n'ont d'autres pouvoirs que ceux de leurs muscles et de leurs lames. Il ajusta simplement sa main sur la poignée de son zanpakuto, cette arme énorme dont la forme était celle d'une nôdachi, et la taille, pratiquement aussi imposante qu'un zhanmadao. Franchement, il aurait aimé avoir une dague ou une Wakisashi, afin de mieux coller à son style. Mais trêve d'égarements, Juan s'adressa d'une voix moqueuse et enjouée:

"Juan de Primavera, Arrancar N°66"

Juan montra son poignet droit, sur lequel était inscrit son numéro. D'ordinaire, ce genre de tatouage était l'apanage seul des espadas, mais Juan était tellement fier de son numéro qu'il se l'était fait tatoué sans vergogne.

"Oui, je t'ai observé, c'était diVERtissant. Ça te dis qu'on se refasse ça entre nous, VERsion 'un peu plus de sang qui coule de ton coté?'. Je suppose que oui, vu ta tête.'Parles, sinon je te tue?'.Ma foi, tu n'es pas du genre à tergiVERser, on dirait! Mais je suis content que tu m'aie dit ça car," et sur ce, le regard de Juan devint si empreint de folie et d'excitation malsaine à en faire fuir une foule, bien que son sourire ne le quittait pas, tu me VERras très content quand le je te renVERrais ces mots dans la face à la salle d'interrogatoire!

D'un geste des plus brusques, et dans un ricanement dément, Juan donna un puissant coup transversal en direction de son adversaire. Un coup quelque peu brouillon, pas subtile pour un sou, mais il ne pouvait faire guère mieux. Il misait tout sur l'inattendu et l'allonge plus qu'honorable de son arme pour donner une belle estafilade à son adversaire. Qu'allait faire le shinigami maintenant? Juan sourit d'un sourire mauvais, car il ne savait que trop bien les effets psychologiques de son arme. Viriditas ne se contente pas de trancher: chaque coup porté qui touche son ennemi fait saigner à ce dernier un sang vert pétard. Qui ne pourrait pas s'inquiéter d'une telle vision, se voyant soi-même suinter un sang qui n'est pas normal, et se demander ce que cette taillade lui a fait? Lui a-t-elle corrompu sa plaie? Lui a-t-elle injecté un poison de quelque sorte? Plus d'une fois, Viriditas avait permit la victoire à Juan simplement grâce à la panique des adversaires face à un tel phénomène. Mais le shinigami devant lui... il est costaud, c'est sûr. Sans doute nul doute serait-il intrigué, inquiété, par une telle atteinte à sa chair, mais Juan n'allait pas s'arrêter là: il y avait toujours cette chance que ce jeune imprudent continue à se battre, qu'importe les conséquences qu'il s'imagine. Juan se mit à frapper comme un sourd, des coups larges et puissants, lourds aussi, forçant le shinigami à reculer sous la violence de l'assaut, bien que les attaques ne soient pas des plus précises. Juan se laissait presque entrainer par l'élan de sa lame, une lueur folle dans ses yeux; un véritable psychopathe prêt à tout pour miner ce freluquet jusqu'à ce qu'il le rejoigne dans la démence. D'une voix détachée, complètement dérangée, Juan lança à son adversaire, tout en lui balançant des volées de coups successifs:

"Dis-donc le môme, faudrait penser à me dire ton nom avant de clamser, ça serait VERitablement dommage sinon!!!"



HRP- Pas la peine de mettre du vert à chaque fois que tu t'adresses à moi, j'en met déjà assez à moi tout seul lol! -/HRP
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Foa Requiem
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MessageSujet: Re: Des Vertes et des pas mûres (PV Foa Requiem)   Des Vertes et des pas mûres (PV Foa Requiem) Icon_minitimeDim 23 Mai - 23:03

Foa bloqua les coups de son adversaire facilement ou plutôt sans difficulté puis sauta en arrière, pour répondre a la question de son ennemi qui prétendait s'appeler Juan Primavera :

Je suis Foa Cinquième Siège de la Sixième Division et je ne clamserai pas et je ne suis pas un môme.

Juan Primavera et difficile a décrire mais en tout cas se qui est facile a dire c'est qu'il a beaucoup de vert sur lui. La vue de la ou se trouvait Foa et son adversaire était particulière, tout était désertique il y avait juste des petite dune de sable former par si par là. le ciel était bleu clair avec des nuages. (bon j'arrête on n'est pas la météo) Foa voulait avant tout tester le potentiel de son ennemi. Alors il commence par sa plus faible technique :

Prend toi ça, Kiratetsu


Foa concentra peu de reiatsu dans son zampakutô puis il frappa lorsque il était distancer de l'adversaire et la forme du coup d'épée partit sur l'adversaire qui devrait le paralyser si il est très faible.

Foa était énerver car il regardait son adversaire qui n'était pas du tout gêner et qui ne bougeait pas alors que Foa lui avait lancer sa technique même si s'est sa plus faible. Alors Foa sauta dans les airs après avoir fait sa technique et reprononca ceci trois fois :


Kiratetsu


Foa fit un coup a la vertical, un a l'horizontale et un en diagonale les trois coup en plus de celui qu'il avait lancer avant se dirigèrent vers l'ennemi. Foa atteri sur le sol en attendant de voir se que va faire son ennemi. Tout était confus dans la tête de Foa car il se posait plein de questions, il se demandait si son adversaire était plus fort que lui, savoir comment son adversaire allait réagir face au attaque qu'il lui avait lancé, comment se combat allait t-il se finir...
Foa était en danger, déjà qu'il se battait contre un adversaire puissant il suffit que un adjuchas ou un autre Menos arrive et Foa pourrait mourir. Le vent donnais une belle halure a Foa, sa veste bougeait de manière élégante ses cheveux long partait sur la gauche et sa faisait "classe". Foa regarda son adversaire avec un regard noir mais Juan ne faisait pas attention a cela et avait l'ai détendu se qui énerva beaucoup le jeune Foa. Foa lanca ses mots tout a coup :


Que veux-tu? Et pourquoi ne ma tu pas attaquer lorsque je me battait contre le Menos?

Mais Foa ne reçut guerre de réponse se qui l'énerva fortement.

Répond a la fin!
demanda Foa énerver a son ennemi pendant qu'il marchait en sa direction.

Foa attendit la réponse mais il pensa que Juan ne lui répondrai pas car en le regardant il avait l'air décontracté, a l'aise sans inquiétude mais lorsqu'on le regarde droit dans les yeux on remarque sa grande concentration se qui arrêta net Foa et qui ne bougea plus. Tout se passa lentement, quand tout a coup, en entendit un bruit lourd.

Boumm,Boumm,Boumm!


HRPG- Désolé d'avoir été aussi long pour répondre et encore désolé que se soit si court mais je n'est pas vraiment d'inspiration malheureusement mais je pense que sa viendra au fur et a mesure que je post -HRPG
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MessageSujet: Re: Des Vertes et des pas mûres (PV Foa Requiem)   Des Vertes et des pas mûres (PV Foa Requiem) Icon_minitimeLun 24 Mai - 1:42

Détendu...

Oui, ce mot pouvait très bien définir l'état de Juan. Comment cela pourrait-il être, étant donné la folie qui, à ce moment-là, coursait dans ses veines comme du feu liquide? Comment pouvait-il avoir l'air si calme, alors que son adversaire esquivait tous ses coups, dont il faut noter au passage la brouillerie et la maladresse visible? Comment pouvait-il rester de marbre, sans bouger, sans même lever sa garde, alors que son ennemi répliquait à son tour?

Juan, tout simplement, ne s'était pas senti aussi bien depuis des années. Des Années!!! Depuis sa transformation en arrancar, Juan avait enchainé mission sur mission pour le compte d'Aizen-Sama. Chacune s'était révélée des succès tonitruants. Une fois même, Juan était parvenu un soir d'hiver à abattre à distance un quatrième siège Shinigami dans la Soul Society même! Il lui avait simplement fallu pister sa cible, qui récoltait des informations dérangeantes sur le Hueco Mundo, pendant deux heures, puis user de son Cero à l'orée d'une forêt, Cero qui chez Juan est peu porté sur la taille, mais mortellement précis. Mais récemment, les évènements étaient plus propices aux batailles ouvertes, et ça, Juan aimait bien moins. Certes, il était un soldat de soutient prodigieux, semant la pagaille dans les rangs adverses au profit du sien, mais dans ces conditions, achever un ennemi lui-même se faisait rare. Tout simplement, Juan s'ennuyait ferme. N'ayant pas d'ordre précis, bien qu'il fut souvent richement informé des agissements extérieurs, Juan se sentait mal à l'aise. Oh, Las Noches regorgeait d'activités pour qui a une imagination tant soit peu riche: repeindre un objet de décoration en vert, voire un couloir, voire même la chambre d'un autre Arrancar de temps à autre; entretenir le Jardin des plantes, dans la plaine centrale, qui persistait à ne pas vouloir pousser; ou alors bichonner la jungle intérieure de ses appartements, ou alors "Honorer" une des arrancarettes qui avaient le bon goût d'avoir du vert sur elles... Pas de doutes il avait de quoi s'occuper. Mais servir et prêcher la noble quête de reconnaissance du vert ne suffit pas. Si un jour le vert doit triompher, il lui faut une croisade, une guerre. les amicaux ne doivent pas seulement l'admirer: les ennemis doivent être contraints d'accepter son indéniable supériorité. Pour ce but précis, les pouvoirs de Juan ont été façonnés, et en ces temps de crise, ils étaient très peu mis à contribution, et depuis des années, il n'avait pas eu l'occasion de démontrer de manière éclatante le pouvoir suprême du vert.

Mais ici...

Ici il avait un adversaire pour lui tout seul! Lui tout seul!!! Un ennemi qu'il pourra écraser, humilier, réduire moralement à néant, qu'il comprenne que face au vert et à son héraut, il n'avait aucune chance. Et enfin cette frustration qui s'accumulait en lui et le rendait d'humeur exécrable trouvait son exutoire, enfin il pouvait souffler, confiant d'être dans le rôle qui lui a toujours été destiné. Enfin, en ce lieu et temps, et en ce contexte, mère nature lui reconnaissait le droit d'exister et de prouver sa valeur, sa supériorité à tous. le destin lui a apporté un adversaire qui, même s'il n'était pas forcément des plus forts, pourrait servir d'exemple, de preuve. Ainsi, à l'excitation qui le parcourait depuis un long moment déjà, et à la folie qui animait sa soif de combattre, le calme se rajoutait. Et là, cela devenait terrorisant à voir. Juan ne faisait désormais plus partie des fous dégénérés, mais d'un genre bien plus dangereux: ces fous dont les desseins se lisent dans leur regard, mais qui malgré tout avancent en toute confiance et avec calme, préservant la juste dose de lucidité au milieu du nimbus de leur folie pour calculer précisément l'action suivante et arriver de façon directe et terriblement efficace à leur fin.

Et en plus, dans le cas présent, il pourrait faire plaisir à Aizen-Sama en lui ramenant un prisonnier. Car Juan avait décidé de ne pas tuer cet individu. Non, pas celui-là. D'ordinaire pourtant, Juan ne rechigne jamais à exécuter un adversaire, surtout s'il est plus fort que lui. Il raffole plus que tout de ces moments où, sous l'influence de son pouvoir, ses ennemis comprennent véritablement la quintessence du vert, et restent là fascinés par ce doux spectacle, preuve ultime de leur infériorité dans les échelons de la hiérarchie universelle de la puissance. Mais pas celui-là: Juan avait trop attendu un bon combat depuis trop longtemps. Celui-là, il allait le préserver. Il allait réduire ses espoirs à néant, l'humilier, le minimiser, le rabaisser à un tel point que lui-même se dégoûtera de son existence sans vert. Et il lui fera cracher tout ce qu'il sait, et le conservera vivant le plus longtemps possible, jusqu'à ce que ses préceptes le réduisent à l'état de légume soumis. Alors seulement, il jugera de sa vie. En fait, Juan se disait que le Shinigami aurait intérêt, après sa capture, à souhaiter que Juan lui ôte toute raison, car sinon, le renvoyer comme avertissement auprès de ses camarades serait pour ces derniers un choc terrible.


Le Shinigami avait enfin daigné prononcé son nom: Foa Requiem, Cinquième Siège de la Sixième Division. Juan en savait assez sur le Gotei 13, via ses missions et les paroles de Aizen-Sama, que cette division-là était depuis très longtemps sous l'égide de la haute noblesse. Une division, aux yeux de Juan, conséquemment arrogante et excessivement fière. Son excitation n'en devint que plus forte: le rabaisser serait encore plus amusant que prévu...

Et il avait l'air assez confiant. Ou se fichait-il de ce qui lui arrivait? Ou était-il tout simplement piètre observateur? En tous les cas, Juan put remarquer que l'entaille diagonale qu'il avait infligé à Foa lors de son premier coup non seulement ne le freinait pas, mais celui-ci ne semblait même pas prendre en compte le saignement vert qui en sortait. Inhabituel, ça... Peut-être avait-il rapidement remarqué que cette technique de Juan n'était qu'un leurre psychologique, et ne contenait pas de réel poison. Peut-être...

- Prends-toi ça! Kiratetsu!

Et maintenant, le voilà qui répliquait aussi sec avec une de ses propres techniques: le Kiratetsu. S'éloignant de Juan, Foa projeta le mouvement matérialisé du trajet de sa lame vers Juan. Juan allait esquiver, mais la technique, basée sur la foudre, était trop rapide pour lui dans son stade actuel. Au contact, Juan ressentit une vive douleur de prime abord, avec un engourdissement léger de ses muscles. Sans doute cette technique servait-elle à paralyser. Mais la douleur disparu aussi vite qu'elle était venue, et Juan s'en tira qu'avec un légère surprise quant à sa vitesse. Cela parut énerver Foa, qui, bondissant en l'air grâce au Houho, lui renvoya cette même technique trois fois de suite en pleine face. Juan ne bougea pas, et se les reçut toutes. Comme il s'en doutait, aucune ne fut plus forte que la précédente, et il les encaissa toutes. Etait-ce là la limite du cinquième Siège? Si tel était le cas, le Gotei 13 s'était bien amolli, il avait déjà combattu des Shinigami de même rangs plus doués que cela en 500 ans. Mais il décida de laisser le bénéfice du doute: sans doute Foa Requiem avait-il plus de plus puissants tours dans sa poche. Et user d'une technique paralysante comme premier assaut... aucun doute, il essayait d'analyser Juan, qui se tenait délibérément immobile, cherchant à semer le doute dans l'esprit de son adversaire. Chose qui semblait marcher, puisque le Shinigami s'énerva de plus belle.

-Que veux-tu? Et pourquoi ne m'as-tu pas attaqué lorsque je me battais contre le Menos?

Devant la mine nonchalante de Juan, et ses yeux de braises d'émeraude, fous à lier, dépourvus de toute logique humaine, il renchérit:

- Réponds à la fin!

"Et pourquoi, au grand vertdiable, est-ce que je te répondrais?" pensa Juan, amusé "Ça te rassurerais sans doute n'est-ce veridique? T'en saurais plus sur moi si je réverlais ça? Désolé gamin, tu Verras ça un autre jour!

De plus, son silence semblait désormais perturber Foa. Alors pourquoi s'arrêter en si bon chemin? Alors qu'il toisait son ennemi nonchalamment, Juan sentit une autre présence spirituelle approcher à grands pas. Des vibrations semblaient provenir du sol.

Boumm,Boumm,Boumm!

Un autre Gillian chercherait à grimper jusqu'ici? Décidément, ce Foa doit les attirer comme des mouches sur une bouse! Mais cela allait servir à Juan, car le Shinigami s'avançait désormais vers Juan, sa grande lame à la main. Sans bouger d'un Iota, Juan se concentra, comme il l'avait fait des milliers de fois dans sa vie, ouvrant la porte aux noires pulsions des hollows, sauvages et puissantes. Calmement, mais avec fermeté, Juan les tint sous son contrôle, les guidant de sa volonté de fer, à travers son corps et son âme, jusque dans son bras, et de là communiqua cette force à la lame qu'il tenait en main, la focalisant toute entière dans ce petit trou qui, à la base de sa garde en forme de feuille d'érable sculptée dans de l'émeraude parcourue de nervures de jade, servait d'ordinaire à attacher sa lame sans fourreau à sa ceinture.

Sa concentration n'échappa visiblement pas à Foa, qui sembla hésiter un instant. A cet instant précis, et dans une explosion de sable et de poussière, le Gillian surgit juste derrière Foa. Parfait. Daignant bouger pour la première fois, Juan saisit sa lame de ses deux mains, prouvant que les décharges du Kiratetsu n'avaient pas eu l'effet escompté, et la leva à niveau de son visage, la longue et lourde lame pointant droit sur Foa. Juan semblait tenter de viser le shinigami avec une arme qui n'était pas prévue pour ça. Chose qui aurait sans doute parut ridicule, excepté pour la minuscule sphère rayonnante d'énergie verte foncée, qui s'accumulait depuis un moment dans le trou d'attache de la garde, accompagnée d'un sifflement d'air surchauffé. L'hésitation de Foa avait donné tout le temps nécessaire à Juan pour se préparer.

- CERO!!!

BAAAAAAAAAAOOOOOOOOOOOOOMMMMM!!!

De la garde du Zhanmadao de Juan, un Cero vert foncé partit comme un coup de canon, de rayon très restreint, mais dont l'énergie était bien plus concentrée. Contrairement aux autres Ceros classiques, celui-ci produisait un vacarme assourdissant, qui résonna à une distance folle aux alentours. L'intensité d'énergie et le déplacement massif d'air résultant du passage du Cero, produisaient un capharnaüm sonore semblable à celui d'une fusée au décollage. le Cero était un équivalent en plus bruyant des snipers humains: rapide, précis, sensé donner un tir mortel du premier coup. Mais dans le cas présent, Juan avait délibérément montré à son adversaire le temps de chargement quelque peu plus long que la moyenne de son Cero, lui laissant un chance d'esquive. Ce ne fut toutefois pas le cas du pauvre Gillian, qui avait le malheur de se trouver en bas de la dune que Juan et Foa occupaient. Le Cero le percuta de plein fouet dans le ventre, déchirant un énorme trou supplémentaire en dessous du sien et le propulsant avec une étonnante force à une dizaine de mètres au moins en arrière. Il s'effondra lourdement avant de se désintégrer dans un dernier râle, l'attaque de Juan ayant soufflé tout son reiatsu au passage.

Rebaissant son arme, Juan sourit un sourire carnassier à son adversaire:

Désolé du boucan, fallait VERmifuger la zone! On en VERra plus nous embêter à présent, je crois.

Et il n'avait pas tout à fait tort. L'explosion sonore causée par son Cero pouvait suffire à éloigner nombre de petits curieux. Encore une fois, un effet psychologique à l'œuvre: Le Cero de Juan Primavera n'a jamais surpassé en termes de puissance celui d'un autre Fraccion de même niveau que lui. Seulement, la concentration en un rayon plus petit, la luminosité et le vacarme de celui-ci tendaient à le rendre bien plus imposant qu'il ne l'était en réalité.

Où en étions-nous déjà, Foa Requiem, dans notre VERitablement passionnante discute? Ah, oui: Désolé le môme, mais avec 467 ans 1/2, je crois pouvoir te traiter en VERmisseau légitimement, n'est-ce pas? Et tu croyais verement que j'allais te répondre comme ça? Ici c'est moi qui pose les questions, et dans les cachots de Las Noches, tu vas bel et bien répondre, sois-en aVERti! Tu VERras: je te ferais avouer le pourquoi de ta présence plus que malvenue en ces lieux où vous n'êtes pas dieux!

Le temps était venu de passer aux choses sérieuses. Chaque seconde passée donnait l'occasion à son Jouet de détaler, et Juan n'allait pas se permettre cela, d'autant que son excitation atteignait son paroxysme. Il devait combattre, il devait lui faire mal, il ne pouvais plus rester ainsi, il ne pouvait plus... se... contenir...

Le regard de Juan semblait perdre tout attachement à la réalité alors qu'il leva le bras et planta la pointe de sa lame dans le sol. Même ainsi, elle restait plus grande que lui. La main droite toujours sur la poignée, la main gauche se mit à caresser le plat de la lame, doucement, comme Juan l'aurait fait sur une peau féminine, avec délice et passion. Se rapprochant de son arme ainsi enlacée, il déposa un bref baiser dessus, puis prononça, d'une voix douce, sensuelle et tellement empreint de suggestibilité et de luxure, d'appétit et de passion flamboyante, qu'elle eut donné des frissons à n'importe quel être tant soit peu sensible pour la "chose", les mots fatidiques:

Jubaku Suro, Viriditas!

La dernière syllabe prononcée, l'arme sembla un instant onduler, puis perdre toute consistance, se transformant en une masse liquide verdâtre, qui ne tomba portant point au sol, mais remonta les mains de Juan, qui touchaient l'arme à ce moment-là, remonta son corps tout entier, le parcourut dans toute sa longueur, recouvrant chaque parcelle de celui-ci, son visage également. Juan Primavera poussa alors un rire dément, un rire démoniaque même, le sable autour de lui fut chassé alors que son reiatsu fit un prodigieux bon en intensité, comme cela se faisait pour tous les arrancars. Une aura de lumière verte émana de son corps, rendant ses formes difficiles à percevoir. Formes qui ne semblaient plus avoir grand-chose d'humain, puisque la substance liquide le recouvrant convulsiat désormais, prenant les formes des plus délirantes, se tournant et retournant dans tous les sens comme si elle bouillonnait furieusement. Puis, doucement, elle perdit sa couleur, devenant de plus en plus transparente jusqu'à s'estomper entièrement et disparaître. L'aura de couleur fit de même et tout se calma... calme avant la tempête.

Provisoirement calmé par la soudaine libération de son pouvoir, Juan constata sa nouvelle apparence et en fut satisfait. Il regarda son adversaire, et fut ravi d'y voir la mine la plus interloquée au monde, on ne peut plus surprise devant cette resureccion des plus spéciales... puisqu'elle ne différait pas du tout de son apparence normale. Aux yeux de Foa requiem, Juan Primavera n'avait pas changé d'un pouce. Toujours la même apparence de jeune freluquet blond aux vêtements verts et au regard fou. Mais Juan savait tout de son pouvoir, et le Shinigami ne tarderait pas à en tomber des nues. Pendant environs cinq bonnes minutes, Juan testa ses mouvements, semblait tester la souplesse de son corps, laissant son adversaire à tenter de comprendre ce qui a bien pu se passer. Puis sans prévenir, il s'élança sur Foa. Dénué de son sabre, Juan frappa à mains nues, un coup vertical de bas en haut avec la main droite, paume vers le ciel, les doigts ouverts et pliés comme s'il voulait griffer. Griffer, un humain? Stupidité diriez-vous! Mais c'est de Juan que l'on parle, en mode resureccion, avec une force et une vitesse accrue... et une armure invisible de plaques d'os en forme de minotaure bardée de griffes, ainsi que d'épines et de cornes sur chaque centimètre carré. Quasi complètement indécelable! Foa ne pouvait pas la voir, pas à son niveau. Tout au plus pourrait-il se douter que quelque chose cloche, lorsque ses coups heurteraient quelque chose avant d'atteindre la forme visible de Juan, ou alors que celui-ci semble le blesser sans réellement le toucher... comme dans le cas présent!

La main ornée de griffes pointues, Juan termina son mouvement contre son adversaire, qui ne pouvait se douter de son arsenal de corps-à-corps, sa "Armadura de Selva y Savia". ce coup n'était pas calculé pour être mortel: après tout, Juan le voulait vivant, mais un sentiment d'extase le parcouru lorsqu'il sentit ses griffes racler la chair humaine, et l'odeur du sang, un sang qui émanait de la plaie de Foa avec une teinte verte, comme pour son sabre normal, et toujours dans le but d'inquiéter. Juan recula alors vivement, laissant son adversaire constater les dégâts, très superficiels.

"VERTement cool, hein? On remet ça?"

Le combat s'annonçait rude: le shinigami semblait plus résistant que prévu, et la griffure n'étaient que des éraflures, profondes certes, mais seulement des éraflures tout de même... Restait donc à voir où cela allait mener. Mais Juan ne pouvait pas reculer. C'était son combat. SON combat!!! Son Jouet! Sa Proie!!! Sa victime qu'il allait faire plier sous le pouvoir du VERT!!!
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MessageSujet: Re: Des Vertes et des pas mûres (PV Foa Requiem)   Des Vertes et des pas mûres (PV Foa Requiem) Icon_minitimeLun 24 Mai - 15:53

Foa ne bougeait durant un moment devant l'augmentation du reiatsu de son adversaire.
Et lorsqu'il vu Juan arriver sur lui a toute vitesse il n'eu pas le temps de bouger et se prit de plein fouet l'attaque de Juan. Foa avait entendu parler de cette métamorphose, il se rappelait que l'on appeler sa la ressuretion. Foa était aller s'éraser rapidement contre la dune un kilomètre plus loin. Il se releva avec une grosse douleur la ou il avait reçu le coup. Maintenant il avait suffisement tester sa puissance devant l'inéficcacité de kiratetsu et devant cette attaque qui l'a térrassé et aussi devant l'anéantissement du Gillian avec le Cero, Foa était en grand danger car après reflection se Juan était plus fort que Foa et cela était inquétant. Il se releva avec une grosse difficulté et utlisa le shunpo pour se rendre devant Juan.


Bien, passons au chose sérieuse.

Foa émanait maintenant une énorme quantité de reiatsu, puis il prononca se mot :

Kotetsu

Le Zampakutô de Foa dégageait maintenant beaucoup de reiatsu et un tourbillon d'éclair apparu autour de la lame. Foa fonça sur l'adversaire pour lui porter a coup au bras gauche avec son zampakutô et le tourbillon d'éclair. Si Juan était percuter, il aurait de sacré douleur et serait surement paralyser du bras, alors Foa pour avoir toute les chance de ne pas raté sa cible Foa utlisa le shunpo pour se rendre a côté de son adversaire et ensuite le frapper avec tout se qu'il a. Foa se demandait se qui allait se passer, mais il fallait être patient. Durant se cours moment d'attente entre l'attaque de Foa et se qui allait se passer ensuite, le vent frppa fort et le sable partait dans les yeux de Foa qui fut aveuglé pendant quelque seconde et ensuite il cria fort pour montrer sa haine et dégager encore plus de rieatsu qui lui donnera sans doute plus de puissance. Oui, la puissance, il en faudrait beaucoup a Foa sur se coup car il n'aurait pas souvent des opportunités comme ça d'attaqué avec beaucoup de puissance Juan surtout qu'il était maintenant en résurrection et que Foa se rappelait du coup qu'il avait reçu, il aimerai bien ne plus s'en prendre. Foa ferma les yeux au moment de frapper Juan et il entendit un gros bruit, comme une explosion mais il n'avait pas encore ouvert les yeux pour voir quelle en était la cause.
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Juan Primavera
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Juan Primavera


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MessageSujet: Re: Des Vertes et des pas mûres (PV Foa Requiem)   Des Vertes et des pas mûres (PV Foa Requiem) Icon_minitimeJeu 27 Mai - 23:52

Que s’est-il passé ? Que se passe-t-il ? Que se passera-t-il ?

D’ordinaire, seule la seconde de ces trois questions occupe les pensées de Juan Primavera. Ce qui est passé est passé, prototype d’évènements, fades et bien trop imparfaits, destinés à être perfectionnés, Verdit. Ce qui va se passer, Juan le sait depuis toujours : le Vert. Il ne voit que ça dans le futur, proche comme lointain. Là est sa conviction, là est ça résolution. Le Vert triomphera, et Juan connaîtra la plénitude seulement à ce moment-là. Mais il la connaîtra, oh que oui.

Ce qui se passe ? Juan est en guerre !! En croisade !! Vous diriez sans doute que cela était déjà le cas depuis longtemps, avec tous les évènements avec la Soul Society, et, plus récemment, les zanpakutos. Mais cela est la Guerre du Hueco Mundo. La Croisade de Las Noches et d’Aizen. Générale. Inintéressante. En ce jour, en ce lieu et temps précis, au cœur de la soirée sur cette grande dune située à presque cinq kilomètres du palais, Juan mène une guerre personnelle, plus intense, plus significative, et pour laquelle il dévoue corps et âme à vaincre l’ennemi. Et ce n’est pas une guerre de conquête. Elle n’a pour but ni les terres, ni les richesses, ni même les cieux ! C’est une guerre des idées, une bataille des âmes et des convictions. Pour cela Juan se bat, pour son âme, pour sa cause : le triomphe du Vert. Et en ce jour, il rencontre son ennemi le plus mortel. En ce jour, le Vert rencontre le Noir. Le Vert de la sainte Mère Nature, de toute création et de tout souffle, s’oppose au Noir de l’ordre sombre des Shinigamis, qui se sont, d’eux-mêmes, appropriés… non, USURPES un rôle. Et une fois en place, les voilà qui imposent leur loi, tente de modeler le monde pour leur intérêt et convenance, et par là s’oppose à la Nature Verte, et réprime sans vergogne tout ce qui peut, de près ou de loin, menacer la place de suprématie qu’ils tentent de se forger. Mais ne comprennent-ils point ? Ne voient-ils pas que les humains, faibles et incapables de survivre sans avoir à s’exploiter les uns des autres, ne sont qu’une étape parmi tant d’autres ? Un des maillons en bas de la longue chaîne de l’évolution. Une évolution que leurs meilleurs soi-disant « chercheurs », ce certain « Darwin » en tête (Juan a beaucoup lu de livres sur la nature, et souvent rit à la stupidité apparente des préceptes humains en la matière), n’auraient pu prévoir ? Une évolution qui au final ne réside non pas dans le corps, mais dans l’âme : tout humain, de quelque manière que ce soit, deviendra inévitablement un jour Hollow, que ce soit d’eux-mêmes ou au travers d’un autre, et qu’inévitablement, ils contribueraient à la formation des êtres supérieurs, dotés des pouvoirs des Dieux. Une évolution naturelle à laquelle il est absurde de s’opposer. Et au final, ces êtres acquerraient enfin leur place finale et légitime, décernée par la Sainte Mère Nature Verte. Oui, enfin, au terme de ce chemin, toutes las Âmes seraient VERTES !!! Et pour cette noble et ultime cause, Juan est prêt à tout, attaquer, parer, trancher, écraser, humilier, tout pour cette félicité, cet accomplissement suprême !

Comment Juan pouvait-il imaginer une telle chose ? Peu le savent, et son passé nous demeure un mystère, excepté pour lui, l’un des rares arrancars à avoir des souvenirs concrets de son existence passée, bien que sa perception de ceux-ci soit désormais pervertie. Mais il a toujours vécu pour cette cause, agissant légèrement, influençant, moralisant, intimidant, et autres, choses du genre ; mais en ce jour-là… oui, en ce jour-là Juan se battait, et nul n’aurait pu d’un seul regard comprendre l’état d’esprit dans lequel il était. Il n’était plus fou. Non, Juan était loin d’être fou. Il était passé quelque part au-delà, dans un stade où un être est, tout au contraire d’être fou, parfaitement lucide. Mais une lucidité des plus effroyables qu’il ait été donné de voir, une lucidité qui est celle de celui qui, animé seul d’une unique conviction, d’un unique précepte, était tellement fanatique, consumé et dévoué qu’il aurait pu lui donner vie à lui tout seul. Et ses yeux, ses beaux yeux émeraude, reflétaient désormais bien plus qu’une couleur. Ce n’était pas un vert, c’était LE vert ! Derrière le regard de Juan, désormais, quelque chose bouillonnait en lui, quelque chose de très visible, d’une intensité démentielle, prête à être relâchée, et à dévorer, fasciner, convertir et corrompre. Tel était l’état de Juan dans sa puissance maximale, au summum de sa force. Malheureusement pour lui, il devait la contenir. Oui, la contenir de toutes ses forces, car son ennemi ne pourrait alors comprendre l’étendue de la raison de Juan. Non, il se devait de comprendre, et seulement de cette compréhension, de cette réalisation, pouvait-il courber l’échine. Juan était dans ce stade prêt à dévoiler son ultime arcane, mais pas maintenant… pas maintenant, pas… mai…nte…nant !!!

Dans son âme, une rage montait à présent. Une rage, ironiquement, issue de la lucidité. La lucidité qui lui dictait la marche logique à suivre dans le but de révéler le vert sous toute sa splendeur, et qui lui disait de ne pas frapper son adversaire de son ultime pouvoir. Quelle frustration !!! Quelle douleur que de devoir contenir sa vraie nature pour sa cause ! Il devait le faire… mais cela n’arrangerait pas le sort du Shinigami en face de lui. Mais ce Shinigami, l’intensité de la dévotion de Juan était telle que, bien qu’il le vit clairement sous la lune du Hueco Mundo, il ne pouvait désormais plus assimiler de lui que la force de son reiatsu, la trajectoire de sa lame, le pouvoir qui émanait de lui et son déplacement dans l’espace. Il ne pouvait plus dans cet état l’analyser, et pourtant, impossible de se calmer avec sa resurreccion en marche, et son esprit en pleine adoration. Cet ennemi, qui s’appelle… comment s’appelait-il déjà ? Foi ? Foi quelque chose, il en avait la certitude. Rakhem peut-être? Ou alors étais-ce Rekem ? Ou Rekim ? Les mots se bousculaient dans sa tête, mais nul n’avait pour lui de sens désormais, autre que le mot Vert. Oui, ce Shinigami était un ennemi du Vert. Et au fond, c’est peut-être tout ce qu’il avait à savoir de lui…

Mais le voilà qui levait sa lame sur Juan Primavera. Il était juste à coté de lui. Comment était-ce possible ? Il avait décollé ! Le coup de Juan l’avait propulsé à plus d’un kilomètre de distance, et il s’était écrasé dans la dune plus loin. Il y a quelques secondes à peine, dans sa tête, Juan le voyait se relevant péniblement, la main sur sa douloureuse estafilade. Et le voilà qui apparaissait à coté de lui. Comment avait-il pu parcourir une telle distance en si peu de temps…

Ou était-ce Juan qui ne pouvait le percevoir correctement ? Etait-il trop absorbé pour le voir arriver de loin, et lui laisser le temps de lui asséner un coup ? Cela ne présageait rien de bon. Non pas que le sentiment que Juan ressentait à sa résurreccion lui était étrange, cela se produisait à chaque fois. Mais jamais autant, jamais aussi fort. Qu’était-ce ? Qu’était-ce ? Etait-ce l’accumulation d’années de frustration qui explosent ainsi en son pouvoir ? Un effet ou un sort inconnu de lui, causé par l’ennemi ? Ou encore une mutation inexpliquée de…

Et l’ennemi frappa.

Kotetsu !

La force d’impact était inattendue. Elle soulevait un nuage de poussière immense, et Juan Primavera fut frappe de plain fouet par une décharge électrique bien plus intense et longue que la dernière fois. Une décharge non plus paralysante et légère, mais bel et bien létale ! Elle traversa son corps et une douleur intense le parcourut l’espace d’une minute entière. Il ne vit pas le nuage de sable, et ne put donc s’en satisfaire, lui qui empêchait son ennemi de le frapper à nouveau, faute d’y voir clair. Un Hurlement de douleur s’échappa de la bouche de Juan. Un hurlement froid et puissant, tout de rage et de maléfice… un frisson parcouru Juan. Mais quelle était cette voix ? Ce son qui lui était échappé ? Un petit instant de frayeur le parcourut, le figeant sur place. Ce hurlement… non aucun doute, il l’aurait reconnu entre mille : le hurlement d’un hollow ! Pendant une fraction de seconde, qui parut une éternité, Juan céda à la panique. Son pouvoir n’était pas la cause de son état. Ses émotions par contre oui ! Toutes ses pensées noires, refoulées en lui depuis tant de temps, désormais s’échappaient brutalement avec sa première libération depuis plusieurs années. Il fallait impérativement se calmer, et vite, avant que l’autre Shinigami ne le frappe à nouveau.

Le nuage s’éclaircit, et Juan était là, en mauvaise posture, et son adversaire allait certainement lui en repasser une couche. Son instinct de combattant de Hakuda lui commanda de lever le bras droit, lui parer sa lame avec son armure avant qu’elle ne puisse accumuler de nouveau de la puissance… mais quoi ? Il ne pouvait pas. Son bras, sans l’ombre d’un doute, était paralysé sous la technique du Shinigami. Une seule solution : retraite, pour une meilleure attaque. Mais il n’allait pas avoir le temps de reculer. Son Sonido n’était pas assez rapide, et la lame de l’adversaire allait s’abattre sur lui encore une fois. Il la voyait déjà briller. Il fallait prendre sur soi, agir en toute urgence, et user de sa seule technique d’arrancar à n’avoir aucun temps de préparation requis. Il l’avait développé exprès pour cela. Sa technique unique, inégalée. Son :

CERO PRIMAVERAL !

De sa bouche hurlante, sans prévenir, sans l’ombre d’un temps d’hésitation, un Cero partit, fusant droit sur le Shinigami à bout portant. Mais ce Cero-là était différent. Contrairement au précédent tiré par Juan, pas de vacarme assourdissant ou de luminosité plus intense que la moyenne. Ce Cero était d’un vert plus clair, printanier même. Il était d’un rayon bien plus large, englobant le Shinigami dans sa totalité. La lumière qui s’en dégageait était étonnamment douce, surtout pour une technique aussi offensive. Profitant de l’instant de répit laissé par cette technique, Juan usa du Sonido sans restriction pour s’éloigner le plus vite possible. Il se posa sur une dune à 500 mètres de là. Il lui falait se calmer. Se calmer. SE CALMER.

Juan hurla de plus belle. Un hurlement terrible, empreint d’une rage immense, d’une folie sans nom, d’un désespoir abyssal. Sa puissance chassa le sable autour de lui et remuait l’air comme une mer agitée sous un orage. Jamais Juan n’avait-il hurlé aussi fort ! Pas même lors de sa première transformation en hollow, et Verdieu seul sait comment il était désespéré à cette époque ! Le hurlement continua un long moment, évacuant la noirceur accumulée en lui depuis longtemps. Puis, lentement, se calma.

Juan respirait difficilement, mais cela n’était pas si pénible. Plus la respiration d’un coureur après un 1500 mètres haies en sprint. Il examina son armure. Il y avait une fissure au niveau de l’épaule droite, là où le Shinigami avait frappé, il la sentait. Fort heureusement, l’invisibilité n’avait pas été endommagée. Le Shinigami sait-il pour ce pouvoir ? Possible. Avec tout le sable soulevé, il aurait pu peut-être voir les contours de sa forme libérée, qui ne coïncidaient pas avec sa forme humaine. Son bras bougeait un peu mieux. Il mettrait un temps avant de récupérer complètement, alors il lui faudra être prudent sur son flanc droit. Mais le plus important était fait : il avait récupéré son esprit. Le visage de Juan avait brutalement changé. Récemment si malade mentalement qu’aucun asile en aurait voulu, il semblait désormais presque normal. Presque… La lueur dans ses yeux perdurait toujours, mais sous contrôle, domptée. Il se sentait nettement mieux à présent. Bon, ce n’est pas tout, mais le pain était encore sur la planche, à ce qu’il savait. Il se permit donc de sourire son sourire carnassier naturel à son ennemi :

Pas mal du tout, Foa Requiem… ah, ton nom me revient, je commençais à me demander… c’était renVERsant. Pour ton attaque, tu as mes VERidiques remerciement. Sois-en reconnaissant, tu ne me VERras pas faire ça deux fois à un Shinigami dans ton genre. Mais ironiquement, si ton attaque avait été un peu moins forte, tu aurais déVERsé mon âme en enfer avec ton deuxième coup. Tant pis pour toi, il est VERement trop tard pour toi désormais.

Juan se tenait tranquillement, observant Foa. Comme il l’avait pensé, celui-ci finissait de se débarrasser d’une surprenante poussée de ronces et de lianes qui s’étaient enroulées autour de lui. Là était la véritable propriété de son Cero Primaveral : toute chose touchée par ce dernier ne subirait que peu de dégâts (et en l’occurrence de Foa, aucun ne lui fut infligé), mais serait inexplicablement enserré de plantes rampantes. Faciles à dégager, elles pouvaient néanmoins faire perdre un temps précieux à son ennemi, qui devait avant tout s’en dépêtrer au plus vite, avant que Juan ou un allié n’en profite. Cette botte secrète lui avait permit d’échapper au second coup de Foa.

Juan se tâta une seconde. Attaquer, ou recevoir ? Habituellement, il préfère la seconde option, quand ses ennemis lui foncent dessus, pour s’apercevoir que le Juan qu’ils combattent n’a absolument rien à voir avec son apparence. Mais ici, il avait également fait peur à son ennemi. Laisser l’initiative à Foa dans ces conditions lui laisserait une opportunité pour fuir, et Juan n’est pas le meilleur en courses poursuites. Il lui fallait donc la prendre, cette initiative. Fonçant à nouveau sur Foa, il engagea à nouveau la bagarre, déversant coup sur coup, et essayant aussi de parer ou esquiver ceux de son adversaire, qui semblait posséder un bon instinct pour tenir à égalité avec son armure invisible. En tout cas, ça devait le surprendre de voir ses coups bloqués avant même de toucher la peau de Juan. Ou se prendre un choc avant que les mains ou les pieds de Juan ne fasse contact. Mais il tenait bon… amusant…

Dis-moi, gamin, t’es VERitablement doué ma foi ? Allez, réponds-moi donc pendant que je te tatanes : c’est quoi ce que tu fais ici ? Allez, si tu le fais pas maintenant, je te l’aVERtis, ça va être plus long et pénible pour toi à Las Noches !
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MessageSujet: Re: Des Vertes et des pas mûres (PV Foa Requiem)   Des Vertes et des pas mûres (PV Foa Requiem) Icon_minitimeSam 29 Mai - 17:14

Foa qui était quand même un peu essouflé après la technique qu'il a fait endurer a son adversaire, ouvra grand les yeux et se prépara a lancer une technique quand tout a coup :

Cero Primaveral

Un Cero vert se dirigea vers Foa. Une courte durée de seconde passa et Foa ouvrit les yeux. Il regarda ses jambes et commença a sentir les branches qui commencer a l'immobiliser, il se démena comme un beau diable mais se fut sans resultat. les branches commençèrent a ateidre sa taille puis son nombril jusqu'au cou en immobilisant les bras au passage. Foa ne pouvait bouger que ses doight et sa tête. Foa resentait une grande peur de mourir en plus sa serai un déshonneur pour lui, alors, il degaga tout le reiatsu de couleur jaune qu'il pouvait dans le but de casser les branches solide mais se fut son reussite. Foa leva la tête et regarda le ciel bleu et le soleil qui se posait sur les cumulus blanc qui faisait des formes d'animaux...

Foa repensait au pire comme au mauvaise chose de sa vie, a son beau parcourt en tant que shinigami, a ses amis et amies en pensant qu'il allait mourir dans peu de temps. Puis en un quart de seconde il repris ses bon esprit cria de toute ses forces et cria :


Hado no san jû ichi (31e technique de destruction):
₪ Shakka Hô (canon de feu rouge)


Foa tenda ses doight et le rayon de feu rouge fit brulée les branches et le bras droit de Foa fut liberer. Il tendit le bras le plus qu'il pouvait pour aller attraper son zampakuto qui se trouvait a côter de lui. Il le pris puis il coupa les branches et se delivra entièrement. Foa se leva puis eu une petite perte d'équilibre il esseya de s'appuyer sur son zampakuto, mais Foa avait la tête qui tournait et tomba a terre puis s'evanoui.

Il reprit ses esprit, il ouvrit ses yeux et vu Juan Primavera debout devant lui.

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