Pas de ligne de conduite ..!

Papa Roach - Getting Away With .. download at emp3

Oie... ?

Mais pas de réponse. De toute évidence, le hollow devant lui, dont le langage se résumait à de petits sons étranges, se retourna pour lui faire face.. puis le néant. Il n'osait pas même bouger tant le reaitsu versatile du Hollow blanc, soit Shirosaki, le paralysait entièrement. Il le dépassa sans chercher à le tuer. Non parce que le but premier du double d'Ichigo n'était pas celui de se battre contre de la petite raclure mais contre des bons morceaux, le genre d'Espada qui ne se battra jusqu'à en mourir. Voilà ce qu'il voulait, outre le fait de revoir Ichigo et de l'écraser une bonne fois pour toute. Car ce p'tit con avait un derrière bordé de nouilles pour avoir réussi à le surprendre, lui. Bordel...

Pourquoi trainer alors au sein même du Hueco Mundo... n'était-ce pas le lieu où il aurait dû évoluer en toutes circonstances ? Bien-sûr que non, Aizen avait mis son nez dans les affaires de Urahara, et voilà ce que toutes ses expériences ont données. Le chaos. Après tout, Shirosaki n'en était pas malheureux dans le sens où il pouvait se nourrir de combats bien plus complexes qu'un simple hollow versus hollow. Lui-même connaissait à peu près toute l'histoire puisque Ichigo avait été mis un pied en avant depuis le début de sa "naissance". Mais à dire vrai, il se foutait pas mal de la vérité, et d'en dire plus à ce sujet. Pourquoi vouloir des réponses à tout... Son seul privilège dans c'monde, c'est le combat. Il y avait bien une différence entre deux hommes, c'était l'instinct préservant le caractère dominant de l'un, et la soumission de l'autre.

D'un autre coté, il avait retrouvé Grimmjow en ces lieux, aidé d'Hallibel par la suite. Que voulez-vous, deux Espada rien que pour lui et n'ont pas même été fichus de le terrasser. Shirosaki entendait souvent parler d'Aizen, homme de pouvoir gouvernant ce monde désertique dont le paysage était plus que morne. C'était bien beau tout ça, mais lui ne voulait pas lui tendre une embuscade, sa seule ligne de conduite étant le feeling. L'éducation ne l'a pas suivi depuis le début, contrairement à Mister Strawberry.

Enfin, il fouettait l'air de son reaitsu, tout comme il écrasa les grains de sables à chaque pas consumés, tendant à tuer l'ennui si possible. Malheureusement, pas un chat logeait dans ce trou à rat. (logique vous m'direz) si ce n'est de la petite friture dont il se passerait bien. Il était pépère à coté de ça, et n'avait plus à râler d'être dans un petit cerveau idiot, et de se faire limite planter avec Ichigo dans un combat parce qu'il était tout simplement bon à rien.

Son sourire reprit place sur son charmant minois lorsqu'il vit au loin des passants.. on ne sut quoi, mais ils avaient plus forme humaine que celle d'un hollow en carton. D'un sonido, il se volatilisa de l'emplacement tout en faisant voltiger le sable, et surgit en leur dos, tout sourire aux lèvres. L'on ne put dire s'ils se retournèrent ou non, mais il retint l'attention de deux glandus à l'allure plus que douteuses. L'un sentait le fumé à plein nez, tandis que l'autre peau rouge s'masquait à la façon d'Hannibal Lecter. C'était quoi c'merdier, et qu'est-ce que des touristes foutaient leurs nez ici ? Ya pas de masses de divertissements ici... Sauf lui si on relativise bien.

Toujours est-il que son sourire restait figé quand son corps demeurait résolument figé. C'est au bout d'un long moment qu'il les salua :

Pas de ligne de conduite ..! 767257hihihi

- Yo... lâcha-t-il ronronnant de plaisir. Comment va la compagnie par ici ?

"Cet endroit manque cruellement de cerisiers" Voilà les réflexions auxquelles se livrait l’un des membres du groupe qu’avait aperçu Shirosaki dans le désert blanc. L’un des membres ? Un groupe ? Où ça ? Le Zanpakutô de Kuchiki Byakuya, Senbonzakura, n’avait pas l’habitude de travailler en équipe, à part lorsque « l’équipe » se composait uniquement de son manieur. Il n’aimait pas spécialement la compagnie des autres Zanpakutô. Et encore moins celle de ce drôle qui s’était mis en tête de l’accompagner. Il aurait bien pu s’en tirer tout seul ! Il n’avait pas besoin du lutin rouge qui servait d’arme au vice-capitaine de la neuvième division pour donner l’assaut au Hueco Mondo. Cet endroit recélait uniquement de grandes choses hideuses qui hurlaient à n’en plus finir, sortant du sable à chaque occasion. Des Hollows…

Attirés par leurs fortes pressions spirituelles (enfin, surtout celle de Senbonzakura, l’autre n’étant pas comparable à la sienne), ils s’étaient mis en tête de les pourchasser. Jusqu’ici, il n’y avait pas eut d’incidents notables : le cerisier en armure s’était contenté de regarder le lutin rouge dont il n’avait pas retenu le nom (une perte de temps à son sens), se débarrasser de ces manants aux masques bien moins beaux que le sien, en poussant des cris de guerres barbares et se délectant des combats. Pouvait-on encore appeler ça des « combats » ? En effet, à peine le Zanpakutô avait-il lancé ses faux meurtrières, que son (voir, ses) adversaires poussaient un hurlement qui perçait les tympans délicats de notre cher guerrier masqué, et s’effondraient, terrassés en une seule attaque.

Ce n’était certes pas de l’admiration que Senbon’ portait à ce fou de combats, tellement semblable au capitaine de la onzième division, (comment avait-il pu devenir capitaine celui-là ?!) mais plutôt un mépris suffisant, devant tant de violence et de barbarie. Lui, au moins, lorsqu’il mettait fin à la vie, si inutile, de ces monstres, il ne s’escrimait pas à vouloir faire autant de bruit qu’eux ! Bien que l’envie de hurler un bon coup ne lui manque pas, certaines fois. Comme maintenant, où il aurait bien besoin de se défouler sur quelque chose de plus « consistant » que les Menos ou les Huge Hollows pour se calmer.

En effet, même si son apparence restait calme et impassible d’un point de vue extérieur, le Zanpakutô bouillonnait intérieurement, terriblement frustré. Pour de bonnes raisons pour une fois : en effet, sous l’ordre de Muramasa (ce sale manipulateur qui avait osé s’interférer entre lui et Byakuya), il avait dû se séparer de son maître, à contrecœur, pour le laisser partir avec celui-ci, et quelques autres personnes, auxquelles il avait lancé, de derrière son masque, un regard furieux. Être « une nouvelle fois » écarté de Kuchiki lui semblait la pire punition qu’on puisse lui infliger. Lorsqu’il était tombé sous la coupe de Muramasa, il se souvenait distinctement avec quelle colère il s’était retourné contre son manieur. Il l’avait même attaqué ! Vous rendez vous compte ! La honte le blessait encore, malgré les paroles rassurantes du chef de la famille Kuchiki, il était bien décidé à se racheter aux yeux de son maître.

C’était d’ailleurs pour cela qu’il obéissait encore à Muramasa ! Si Byakuya l’avait laissé faire, il serait allé voir celui-ci et aurait sûrement tenté de le tuer pour racheter son honneur et sa fierté. Mais son compagnon l’en avait dissuadé en lui expliquant qui était vraiment ce Zanpakutô manipulateur, et ce qu’il voulait réellement faire. De plus, il aurait pu retomber sous son contrôle s’il l’avait agressé de front. Il continuait donc de simuler, semblant porter à son maître méfiance et défiance, à l’image des autres Zanpakutôs. Lorsqu’il pensait à ce que son maître avait du faire… Trahir la Soul Society, se rabaisser à ce point… seulement pour se débarrasser à jamais de Muramasa !

Enfin… pour l’instant il avait une mission simple. Regarder un peu ce qu’il se tramait dans le monde gouverné depuis peu par Aizen le traître. Il s’exécutait avec aigreur, agacé par la présence des Hollows. Et terrifié, atterré devant la nudité des arbres autour de lui. Il se rassura en se rappelant les beaux cerisiers qui trônaient dans le jardin de la noble famille des Kuchiki.

Alors qu’il s’étonnait de ne plus voir de Hollows surgir autour d’eux, il sentit une autre pression spirituelle, bien plus importante, se rapprocher de leur position. Il fit signe à l’autre de s’arrêter et se tourna lentement vers leur visiteur. Il l’avait senti arriver de loin. Apparemment, il s’était chargé des monstres à leur place. Senbonzakura lui en était presque reconnaissant. En voyant celui qui venait de les rejoindre, il faillit quand même en perdre son masque : il avait devant lui un clone de Kurosaki Ichigo, le seul Shinigami dans l’univers à avoir pu le mettre hors-jeu (bah, il n’était pas en forme ce jour-là, c’était un accident). Sauf que cet « chose » ressemblait également à un Hollow. Il avait la peau blanche, les yeux noirs et jaunes, une sourire cloué sur son visage et son kimono était également immaculé. Donc, cela ne pouvait pas être Kurosaki. Etrange. Apparemment ce n’était pas Zangetsu, Senbon’ avait déjà été confronté à sa pression spirituelle et il la reconnaîtrait si la recroisait de nouveau. Il fronça lentement les sourcils (personne ne le vit faire bien entendu) et porta lentement une main à son sabre. « L’homme », si c’en était bien un, leur demanda alors :

- Yo... Comment va la compagnie par ici ?

Tss… Quelle impudence. De quoi se mêlait-il ? Senbonzakura, son impulsivité se contenant à grand peine poussa un faible « hum… » avant de laisser la parole à l’autre lutin à côté de lui : s’adresser à cette face de guimauve aurait été superflu. Il ne méritait même pas un regard de sa part.

Assit sur une sorte de rocher, le zanpakuto à l’humeur plutôt nerveux, attendait les ordres de leur soit disant chef, Muramassa. Mais pourquoi fallait-il aller au Hueco Mundo ? Ils n’étaient pas assez ? Puis ça servait à quoi de faire ça ? Alors qu’ils avaient l’opportunité dans finir une bonne fois pour toute avec les shinigamis, (plus particulièrement, avec Hisagi). En plus faire équipe avec Senbonzakura… le type le plus bizarre de la « bande » et le plus détestable, car il était aussi coincé que son manieur. C’était à croire qu’il se partageait le même balai dans le… Bref, tout cela pour dire que le lutin n’avait pas du tout envie de partir pour le monde des Hollow avant d’en avoir véritablement fini avec son manieur. Hisagi Shuuhei, le type qui lui a fait perdre des années de crimes et de meurtres en tout genre. Le zanpakuto n’avait de ce fait, qu’une idée en tête, le tuer. D’ailleurs, c’est pour cela qu’il a suivit Muramassa, même s’il s’en fou complètement des projets du leader. Son seul et unique désir et de faire payer Hisagi.

Bref, c’est après quelques minutes que le leader pointa le bout de son nez et invita les quelques zanpakuto présent à le suivre. Kazeshini toujours de son humeur arrogante, râla comme à son habitude et évidement, pendant tout le voyage. Juste pour taper sur les nerfs de certaines personnes, enfin plutôt une. Ils arrivèrent donc au Hueco Mundo, plus précisément dans une sorte de désert. Kaze’ dernier arrivant, remarqua que pratiquement personne ne l’avait attendu. Le lutin allait s’énerver encore tout seul, mais il sentit une présence à côté de lui… Senbon’ (u_u’). Pourquoi fallait-il qu’il se coltine ce type… Il pouvait se débrouiller tout seul non ? Mais la réflexion du lutin ne dura pas, car des créatures sortaient du sable… des hollows… Kaze’, le sourire sadique aux lèvres et remplit de joie de pouvoir se défouler, n’attendit pas une seconde pour se jeter sur la première créature.

Son rire raisonnait au loin, Kaze’ ne pouvait cacher sa joie de tuer toutes les créatures sur son passage. S’en foutant royalement qu’on l’entendait à des kilomètres à la ronde et de se que pouvait penser Senbon’. Lançant ses faux contre les hideuses créatures avec un masque blanc, le zanpakuto se délectait de sentir sous ses lames le sang frais et chaud de ses ennemis. Regardant avec une certaine satisfaction chaque Hollow tombait et disparaître, on ne pouvait plus vraiment l’arrête, il était tellement emplit d’une frénésie indescriptible, qu’il ne voyait que ses combats. Le lutin retomba sur ses pieds et remarqua qu’il n’y avait plus de Hollow. Il avait déjà tout tuer ? Quoi ? Pas déjà ? Il commençait juste à s’amuser… Il posa l’une de ses faux sur son épaule et regarda le coincé de zanpakuto…

- Tsss… Moi qui pensait m’amuser ….

Bien sûr, il savait que Senbon’ en avait rien à foutre de lui. Mais bon… Ils n’allaient pas faire les muets non plus. Soudain, il sentit une énergie spirituelle assez étrange, mais qu’il connaissait, la question était de où ? Ça il ne serait pas le dire. C‘était tout de même bizarre, car il avait l‘habitude des autres zanpakuto, comme Wabisuke, Haineko ou même Zabimaru, mais là, il ne se rappelait pas du tout de qui venait ce reiatsu. Senbon’ leva la main pour dire au démon de ne pas bouger… Et puis quoi encore ? C’est pas lui qui va faire la lois ! Mais bon, curieux de voir qui arrivé à eux, Kaze’ ne bougea pas et gronda légèrement dans ses dents. Quelques secondes plus tard, un type blanc arriva vers les deux zanpakuto. Kaze’ dévisagea le nouveau venu, même s’il avait une bonne dégaine, il trouva le type bizarre. Surtout qu’il lui rappelait vaguement un shingami, mais il ne savait toujours pas qui. De plus, le blanc-bec avait un sourire débile sur le visage, enfin c’était toujours mieux que l’autre glandu et son masque de Darkvador.

C’est après quelques secondes de contemplation, (il faut dire que Senbon’ n’était pas vraiment sociable et que de voir un type enfariné, bah ça laisse pantois.) le machin blanc prit la parole pour saluer les zanpakuto. Mais c’est qu’il parle en plus ? Voilà qui va faciliter peut être les choses, enfin si l’autre abruti lui répond bien sûr. Chose qu’il n’avait pas l’intention de faire d’ailleurs. Pfff quel snobe… Kaze’ s’avança donc et dépassa Senbon’, toujours l’une de ses faux sur l’épaule et l’autre dans la main. Puis, il prit donc la parole pour répondre à l’inconnu tout de blanc vêtu, (s’il n’y avait que les vêtements u_u’).

- T’es qui toi ?

Kaze’ se mit légèrement en garde, au cas où le type voulait se battre. Haaa ! Une bonne baston comme il aimait, ça lui manquait tellement. Se battre à pleine puissance et savoir que l’adversaire n’allait pas tomber comme une vulgaire mouche. Sentir ses lames pénétraient dans le corps de son adversaire et son sang couler le long de ses faux… le bonheur à l’état pure…

Et voilà ce que ça donne de suivre une gamine et ses deux compagnons dans un grand désert tel que celui du Hueco Mundo. Notre pauvre tache de pétrole ne savait plus dans quelle direction se rendre pour le palais, ni combien de temps elle allait mettre pour faire la route du retour. Il faut dire que Las Noches à beau être visible de loin, ses dimensions étant tellement grande, on se demande encore comment on peut faire pour ne pas y aller à vitesse supersonique vu que, en supposant ses calculs exactes, elle devrait mettre un minimum de 13 heures de marches. C'est le seigneur Aizen qui n'allait pas être content, encore moins si elle n'avait rien à signaler de suspects ou d'intéressant qui pourrait titiller voir rendre heureux le seigneur de Las Noches. Il faut dire que le dieu de ce lieu n'avait pas l'air de bonne humeur ces derniers temps et, comble de l'horreur, il ne cessait de regarder la jeune arrancar avec ce regard des plus étranges, charmeur mais aussi mystérieux et, surtout, très dangereux.
Non pas qu'elle souhaitait finir en charpie mais il serait intéressant de ramender quelque chose d'intéressant à notre cher seigneur non? D'ailleurs, elle semblait ressentir une énorme pression spirituelle. Une pression étouffante pour la majeure partie des hollows présent ici, semblable à celle du seigneur Aizen lorsque celui ci tente de rappeler sa place à Grimmjow ou à un autre espada désobéissant. Elle semblait provenir du nord Ouest, direction Las Noches mais en beaucoup plus proche, environs un bon quart d'heure de marches pour trouver l'individu suspect. Mais serait il seul? Il semble que deux autres formes de vies différentes de celle du Hueco Mundo venait de pénétrer dans le secteur, voir plus. A vu d'oeil, cette pression est très differente de celle d'un shinigami habituel ou d'un arrancar. Elle semblait même appartenir à une nouvelle race. Nouvelle race? Nouvelle race est égal à chose intéressant à donner à Aizen, qui est égal au bonheur du seigneur, qui est égal à plus de jouets. L'arrancar se mit en route vers le lieu de rencontre entre les individus, mettant mois d'une minute à les rejoindre vu la vitesse de déplacement de ce tas de mazoute.

Enfin arrivée devant les trois protagonistes, elle se reforma à deux mètres de distance avec eux, crachant un peu de fioul sans le faire exprès sur les trois participants du combat. Le masque symètrique placé à hauteur du visage de Shirosaki, elle fixa les trois personnages haut en couleurs présents dans la zone.
Le premier était blanc. Tout blanc même. Avec un gros sabre. Un gros sabre cacherait il un complexe sur la taille d'un autre ustensile ? (on parle évidemment de la taille des fourchettes, pas d'une chose perverse que certains joueurs comprendront hein !). Dans tous les cas, le visage étrange et la couleur des yeux de l'individu finirent par donner la chair de poules à la belle arrancarette, sortant sa main squelettique pour cacher ses deux orifices lui servant d'yeux.
Le deuxième ressemblait à un vieux guerrier japonais, portant une armure de l'ère Edo mais elle n'en est pas sur. Il faut dire qu'elle n'a pas de très bons souvenirs... souvenirs... elle à déjà vue cette armure non? Lorsqu'elle à accompagné ses élèves au musée national japonais? Elle avait des élèves? Quand? Où? Comment? Pourquoi? Un Flash Back? Sa vie sur Terre peut être? Elle était peut être institutrice de ce fait. Cette revelation fit couler en elle plus de substances noirs qu'autre chose mais, dans un élan pour retrouver ses instinct, elle tourna sa tête sur elle même, faisant ainsi pivoter la position des différents orifices. Ainsi, sa bouche devient son oeil gauche, oeil gauche devient oeil droit et oeil droit devient bouche. Rigolo n'est ce pas ?
Enfin, le dernier ressemblait à rien. Enfin si mais c'était dur à décrire l'aspect physique de la bestiole, elle le trouvait répugnant et pas classe du tout (notez que c'est un tas de mazoute qui dit ça...). Un aspect sombre et rouge en même temps, laissant paraître des oreilles de lutins. Beurk, on dirait une parodie d'un tueur de céréales et Lynao commença à se demander si elle n'était pas perdue dans un monde inconnu.

'' Ex Ex Excu...sez Moi ! Per Per Per PERDUE HAHAHAHA! Vous papa ..; Papa pas ..... d'ici ! Lyn Lyn Lynao doit vous vous vous ..... c'est où maison ? Et Et Et .... pourquoi vous Vous héhéh Vous etes ...... Moches !!!!!! Hahahahah!! Moche moche moche ! Huhuhu ''

Le tout avec le corps qui ne cessait de s'égoutter continuellement sur le sable blanc du Hueco Mundo, le regard perdu entre les différentes personnes relativement bizarre et qu'elle avait du mal avec son cerveau ramolli. Faut dire que sa manière de s'exprimer est très inattendu, voir surprenante pour des personnes qui ne vienne pas d'ici mais ce n'est pas pour autant qu'il faut baisser sa garde devant des inconnus même si, avouons le, l'homme tout blanc avait l'air plutôt sympathique et proche des autres arrancars qu'elle avait l'habitude de côtoyer à Las Noches lors des réunions ou autres séances spéciaux dans la salle de réunions du dieu des hollows et seigneur suprême du HM. Reste plus qu'à voir la manière de ces personnes de l'accueillir dans le groupe, pendant qu'elle bave sur les pieds de Kazeshini.

Le sourire était garanti. Il ne pensait pas dejà à rameuter autant de monde. C'était bien là un super cadeau de la part... de la part de l'espèce énergumène aussi fin qu'une planche. Enfin, ca devait être le chef des deux larbins restés immobiles parce que Shirosaki intervenait de façon toujours classeuse. Toujours... Il les observait tous les deux, comme si un duel de regards avaient lieu. Le tout premier spécimen n'était autre que cet Indien au masque étrange. Le hollow blanc n'avait pas assez de culture concernant les peaux rouges ou sur la civilisation japonaise pour expliquer l'utilisation de ce masque .. Quant à l'autre, il n'expliquait même pas d'où venait ce charbon collé à sa peau. Considérant que tout ceci était surnaturel, il étrécit des yeux pour le détailler plus en avant, et le trouvait peu couvert. Exhibitionniste.

Un ricanement quitta le seuil de ses lèvres tandis qu'il tapota son épaule avec le dos de son arme, jaugeant l'un et l'autre qui en somme clamseraient quand Shiro, Roi des fraises s'activerait à leur filer une petite correction digne d'un roxxor. De toute évidence, Shirosaki réfléchissait et devinait la nature exacte de cet échantillon d'armée nouvellement surgie de la Soul society. Il avait compris que la longue planche à pain allongeant ses pas dans la périphérie de Las Noches n'était autre que Muramasa. N'était-ce pas lui qui l'avait sauvé ? Exact !

Et ses sbires.. inconnus jusqu'alors devaient être les âmes intérieures de chaque shinigami.. ou bien des Zanpakutoh, puisque Zangetsu avait aussi réussi à quitter l'âme d'Ichigo. En revanche, il n'aurait sû dire qui appartenait à qui. Dans tous les cas qu'il le sache ou non revenait à une seule issue : La mort pour ses deux ptits cons. Non mais le fumé à la tête de lutin lui plaisait de plus en plus de par sa férocité environnante. Puis ce sourire à demi sadique témoignait de sa folie, pareil à Shirosaki. Intéressé au possible, il n'en touchait pas moins un mot. Il préférait installer le doute dans leur âme, tandis qu'il arborait magnifiquement la copie d'Ichigo.. en hollow. Personne n'était sensé savoir qui il était si ce n'est Muramasa et Byakuya, à qui il avait fait coucou lors du combat à mort qui opposait ce cul à serré à son con de double. Très agréable moment que d'avoir surpris ce péteux d'ailleurs.

Toujours est-il que Shirosaki fut interrogé par l'adorable goudronné qui se délectait d'un futur combat.

- N'est-ce pas l'endroit idéal pour un combat, bande de loosers ? lacha-t-il, dévoilant une rangée de dents blanches comme sa peau tandis que sa langue d'un bleu foncé léchait brièvement le rebord de sa lèvre. Mais alors que se lancer sur ses proies devenait son but de la journée, une intrusion fort repoussante intervint et le coupa dans son élan. La chose semblait s'être perdue dans ce monde sableux. Que son allure soit écoeurante laissait de glace Shirosaki qui se mit à rire nerveusement, car ce qu'il attendait particulièrement était de se battre et de poutrer bel et bien ce couple hors norme. Par conséquent, le hollow aux capacités démesurées se rapprocha du mazout ambulant aux cotés de Kazeshini et lui assena un coup de pied dans le cul, du moins ce qui ressemblant à un derrière moulant et gluant avant de l'apostropher tout sourire aux lèvres :

- Bon, tête de gland, dépêche de baver sur l'enfumé, on a du pain sur la planche. ironisait-il tout en rangeant son Zanpakutoh dans le dos, car la minute suivie, il l'envoya valser par la peau du cul ce spécimen rare sur l'autre opportuniste ; Senbonzakura.

- Bande de statues impressionnables, venez tâter du Hollow ou j'me f'rai une joie de vous farcir.

Quel ennui… Pourquoi était-ce toujours à lui qu’il arrivait ce genre de contretemps ? Il n’y avait aucun moyen d’être tranquille ici ? Le principe d’un désert, c’est d’être vide et dépeuplé, non ? Alors, pourquoi devait-il, en plus des Hollows, supporter la présence des ces deux…choses ? Oui, il n’y avait vraiment aucun autre terme approprié, et malgré son vocabulaire assez étendu (pour un Zanpakutô qui avait passé toute son existence dans le monde intérieur de son manieur), Senbonzakura ne pouvait considérer que de haut ces deux…personnes qui n’avaient qu’une vague forme humanoïde. Le premier, le Babybel ambulant, lui, il ressemblait peut-être au Shinigami remplaçant. Mais alors, l’autre, qui venait d’arriver… Impossible de le comparer à quelque chose d’animal, de végétal, et encore moins d’humains. Le Hollow (à moins qu’il ne s’agisse d’autre chose, mais il n’avait pas le temps d’analyser correctement son reiatsu), ressemblait à une masse visqueuse, collante et…qui dégageait une horrible odeur, inconnu de Senbon, qui, même avec son masque, ressentait les effluves flottant autour d’elle. Elle ? Ah oui, il était arrivé à cette conclusion en entendant la voix de la Chose, lorsqu’elle s’était adressée à l’autre marteau.

Enfin, adressée était un bien grand mot. En fait, Senbon’ n’avait que compris la moitié des paroles qu’elle avait prononcées : « Moche ? » LUI ? Tsss… Quelle insolence. Ce n’était pas comme s’il ressemblait au Zanpakutô du cinquième siège de la onzième division, Yumichika, mais il n’appréciait pas trop les moqueries de cet étrange personnage qui venait de les rejoindre. D’ailleurs, il ne supportait aucune moqueries à son égard, qu’elles viennent d’un Shinigami, d’un Hollow, ou d’un Arrancar. Heureusement, pour lui, la plaque de mazout ambulante, avait préféré se rapprocher du lutin qui avait l’air pressé d’en découdre. Quoi de plus normal ? Ces Hollows n’avaient pas dû le contenter. Avec un soupir qu’il se garda bien de reproduire à haute voix, le masqué tourna un regard sans expression vers l’autre. Il semblait un peu désorienté par l’arrivée du Hollow liquide, mais, comme Kazeshini, il affichait un sourire carnassier, témoignant de sa férocité et de son impatience.

Le Zanpakutô de Kuchiki s’impatientait lui aussi. Jusqu’à quand cette « conversation » allait-elle durer ? Il avait des choses bien plus importantes à faire que de s’occuper de ces deux zigotos, non ? Bon, sang, l’enfariné lui faisait tellement penser à Ichigo, qu’il mourait d’envie de lui sauter dessus et de prendre sa revanche. Surtout que ce n’était pas Kurosaki ! C’est-à-dire qu’il n’avait aucune raison de le laisser en vie ! Bien que le rouquin ait rejoint leur camp depuis peu, après le sauvetage de la sœur bien-aimée de son maître, Senbonzakura se morfondait de ne pouvoir se battre une nouvelle fois contre Zangetsu. Il manquait un peu d’entraînement ces temps derniers… Être aux côtés de Muramasa n’apportait pas beaucoup d’occasions d’être confronté à des adversaires dignes de ce nom. Voilà, qu’il en avait (peut-être, rien n’était moins sûr), juste sous ses yeux ! Qui avait la forme et l’apparence de son meilleur ennemi ! Que demander de plus ? Beaucoup de chose… Mais Senbon’ ne pouvait se permettre de demander du thé à cette heure-ci. Il n’y avait sûrement pas de feuilles comestibles ici. Il se demanda vaguement comment Aizen, grand amateur de thé comme lui, se le procurait. Mais il chassa cette pensée futile de son esprit en recentrant son attention sur la scène qui se déroulait juste sous ses yeux améthyste, dissimulés sous son masque.

La guimauve en forme d’Ichigo venait de lancer un défi. Très bien, ça commençait bien… Plus vite ils commenceraient, plus vite ils finiraient. Malheureusement pour lui, il se retrouva avec l’autre drôle sur les bras, que venait de lui lancer l’homme blanc, rangeant par la même occasion son Zanpakutô, copie conforme de Zangetsu. Senbon fronça les sourcils devant l’opportuniste qui se dirigeait à toute vitesse sur lui. Il fit un Shunpô pour l’éviter, le laissant passer juste à quelques pas de lui. Il finit sa course dans le sable un peu plus loin. Senbonzakura se retourna lentement vers Shirosaki, un peu plus loin, qui faisait son petit monologue, tout seul, ce qui est le principe d’un monologue, mais bon… Il jeta un coup d’œil à son « compagnon », le lutin rouge. Il n’avait pas de souci à se faire pour lui ; il se débrouillerait très bien tout seul. Et s’il ne s’en sortait pas…tant pis pour lui !

Lentement, le samouraï masqué sortit son sabre, glissé jusqu’ici dans sa ceinture. La lame, des plus simples et des plus nobles produit un léger bruissement feutré lorsqu’elle sortit du fourreau, attirant le regard des deux autres sur lui. Il jeta un regard lourd de derrière son masque sur les deux fous et annonça, d’une voix atone.

-Nous n’avons pas de temps à perdre avec deux déchets de votre espèce… Chire…

La lame qu’il avait positionné au niveau de son buste, se sépara en un millier de pétales de fleurs de cerisiers, brillant d’un éclair rose et se dirigèrent droit sur l’Ichigo blanc qui avait osé lui balancer la chose mazouté à la figure. D’ailleurs, il préféra rester méfiant par rapport à celle-ci bien qu’il ne pensait pas qu’elle constitue un grand danger. Il n’avait pas l’intention de faire long feu dans cet endroit, pas si désert que ça. Bienvenue à Hueco Beach ! Il détestait être importuné et cette guimauve et ce bidon d’essence qu’on avait dû renverser par terre, allaient bientôt s’en apercevoir.

Le démon examiner le type blanc devant lui, toujours l’une de ses faux sur son épaule. Il ressemblait vraiment à un Shinigami, kimono et une lame comme un zanpakuto… Peut être trop grande au goût de Kaze‘… Il devait avoir un complexe de proportion (et moi je parle bien de ce qu‘il a en dessous de la ceinture XD) … Bref, il était vêtu comme les autres Shinigamis mais en blanc… C’était vachement bizarre… Un des traîtres ? Nan, le lutin les connaissait et il était loin d’avoir la tronche d’un capitaine… C’est dans ces moments qu’on se dit qu’il ferait peut être mieux de penser autre chose qu’à lui… mais il s’en taper de qui ça pouvait être. Car dans tout les cas c’était un homme mort…et ce peut importe de quel côté il était… Rien ne pouvait arrêter Kaze’ depuis qu’il était libre de son manieur. Il pouvait enfin faire ce que bon lui semble… Bien sûr il était redevable au « chef ». C’était tout de même grâce à lui qu’il pouvait en finir une bonne fois pour tout avec Hisagi…

Kaze’ laissa tomber son sourire pour arborer plutôt une grimasse en regardant le machin qui arrivait vers eux… C’était quoi se truc dégoulinant ? Depuis quand il y avait du pétrole dans le Hueco Mundo ? Franchement les espèces de ce monde étaient vraiment dégelasse. Enfin surtout… ce truc qui scruta chaque personne présente… Soudain, ça se mit à parler… enfin prononcer des son plus ou moins compréhensible… Perdu? Papa ? Maison ? Moche? Mais c’était quoi ce truc ? Une sorte de ET ? Il allait nous sortir un doigt et nous faire ET téléphone maison ? Puis c’est qui le moche ? Il sait pas regardé le tas de mazoute… Évidemment connaissant le caractère tellement calme du démon…Il haussa un sourcil et serra les dents ainsi que ses faux, prêt à lui faire mordre la poussière… Mais il ne l‘intéressait pas vraiment, un tas de goudron en valait pas la peine. Par contre l’autre enfariné lui plaisait bien mieux… Peut être aussi sadique que le lutin… ça promettait un combat des plus redoutable et des plus puissants…

Puis l’enfariné dit une phrase qui surprit le démon… Baver sur l’enfumé ?… (Un peu long à la détente pour le coups XD)… Il sentit un truc bizarre sur ses pieds, c‘était froid et sa semblait l‘aspirer… Descendant le regard doucement, il s’aperçu que le… machin… dégoulinait sur ses pieds… Le démon en fit un bon et commença à craché sa rage sur… le truc… et essayant de se dégager les pieds du mazout… Mais ce n’était vraiment pas facile et plus il bougeait, plus le machin visqueux emprisonné ses pieds…

« - Espèce d’enfoiré, bave ailleurs que sur moiiiiiii…. Dégage de la enflure… Lâche moiiiiiiii…»

Suite à cela, le « mazouteux » fut envoyé sur le Senbon, même s‘il l‘avait évité quelques goûtes de cette substance visqueuse s’écrasa sur le Zanpakuto… Kaze’ s’esclaffa de rire, à s’en rouler par terre, d’un tel spectacle. Ho oui !! Le grand Zanpakuto d’un noble remplit de mazoute… C’est vraiment quelque chose à marquer dans un journal comique des humains. L’exclusivité mondiale même, c‘était à peine s‘il ne sortait pas l‘appareille photo pour en faire profiter tout le monde. Haineko aurait vraiment aimé ça… Enfin bref, après s’être essuyé les yeux, tellement il pleurait de rire… Kaze’ se tourna vers l’enfariné… L’échant sa lame avec un air vraiment sadique sur le visage, il lui répondit avec un largue sourire sadique aux lèvres…

« - Fini de rigoler…J’suis ton homme l’enfariné… Viens me montrer c’que tu sais faire… Blanc-bec !!! »

Puis il lança l’une de ses faux vers le blanc-bec, rigolant sadiquement… Fonçant joyeusement sur le Shinigami blanc. Il le fit plusieurs fois avant de voir un pétale de cerisier devant son nez… Il s’arrêta net et tourna le regard vers Senbon… Ses yeux s‘écarquillèrent et son visage montra qui était des plus surprit… Voyant que le samouraï ne voulait pas vraiment rigoler, Kaze’ fit un geste simple de sa main pour récupérer ses faux et sauta dans les airs pour éviter l’attaque… Puis il réapparut à côté de Senbon’ et lui cracha à la gueule des noms d‘oiseaux…

« - Qu’est-ce que tu fous, tu vois pas que je suis entrain de me le faire… Attend ton tour…enfoiré… En plus t‘as l‘autre machin goudronneux là…» Montrant du doigt le machin…

Notre pauvre petite chose s'était encore retrouvé contre son intention au centre de la discussion. Bien sur, il est évident que peu de personnes sensés ne la trouverait pas dégoûtante et non sans odeur corporelle des plus ragoûtant mais, là encore, elle ne s'attendait pas autant de réactions de la part du lutin, de l'homme masquée et du cachet d'aspirine. Mais refaisons un rapide topo de la situation avec les différents mouvements disgracieux que l'on a fait subir à notre pauvre et jolie demoiselle (si si, je parle bien de la tache de mazoute du hueco mundo).

Dans un premier temps, alors qu'elle bavait sans le faire exprès sur les pieds du lutin rouge, celui ci se mit à la traiter, lui demandant de bouger de là. Chose qu'elle exécuta évidemment, prononçant des petits bruits mi aigus et mi grave, manière pour elle de s'exprimer lorsqu'elle se retrouve contrariée, et allant rejoindre dans un mouvement digne d'une chorégraphie de danse classique nommé '' Le Fuel des Cygnes'' le dénommé Shirosaki.
Jusque là, vous allez dire que c'est habituel et qu'il est compréhensible ce lutin énervé : on ne peut pas baver sur les gens, c'est impoli et cela salit le pauvre sable fin blanc de cette region si jolie du monde des Hollows. En attendant, alors que Lynao ne comprenait toujours rien à la situation, la voici projetée sans autre forme de procès sur celui dénommé Senbonzakura. Bien que ce plongeon soit relativement écoeurant à regarder pour les âmes sensibles, le simple fait que l'homme en armure se permettent d'esquiver la tache de fuel vivante provoqua un magnifique geyser de pétrole sur l'ensemble des individus, le masque de Lynao au sol et avec une grosse flaque de mazoute qui s'étendit sur deux mètres de diamètres. Bien évidemment, elle a ressentit la douleur de l'impact, comme tout être humanoïde doté d'un système nerveux fonctionnel, et eu quelques difficultés à se reformer par la suite.
Le masque remit bien droit (les trous ayant été inversé lors de la chute) elle retrouva ses esprits et regarda les trois gugusses. Apparemment, les deux choses étranges voulaient se farcir la face d'aspirine qui semble avoir été un jour roux en vu de sa chevelure blanchâtre. Cependant, cela n'avait pas l'air d'être du goût du lutin et osa pointer du doigt la jolie créature qu'est Lynao. Et là, ce fut le drame.

D'habitude, elle aurait fuit ce genre de situations le plus tôt possible mais vu tous ce qu'elle à subit et enduré en si peu de temps, insulte, lancée, snoob et pointage de doigts sans parler d'insultes concernant son état physique, la chose noire se mit à hurler de colère. Et oui, ça sait hurler. Bon évidemment, il faut imaginer un hurlement digne d'une fusion de jeune femme qui crie, d'un homme viril en plein acte et trouvant le bonheur lors d'une partie de jambe en l'air, d'une vache qui lâche un pet et d'un droguée à tendance psychotique qui à consommé de l'hélium en plus d'autres produits illicites (comment ça Mayuri ?). Bien évidemment, quand elle hurle, cela ne passe pas inaperçu, ça peut même s'entendre dans tous le Hueco Mundo, jusqu'à la salle du trône de Aizen et, quand elle hurle, c'est qu'elle se sent prête au combat et à se déchaîner sur tous êtres organiques qui se trouvent sur son chemin. Une fois son cri fini, elle commença à rire de manière discontinue et sans arrêt, comme si elle se délectait déjà à imaginer le corps des deux individus étrangers gisant sous une tonne de mazoutes avant de finir consommé par le hollow.

'' Vous ... Vous vous Ra ra ra ra ... CLURE !!!!!!! Manger .... Manger..... TU tututu ... ERRRRR ! Haha Vorvor....Vor...vorpaline Néhéhéhéhé!!!!! ''

Sous la colère, la tache de mazoute gênera une vague de substances noires se dirigeant droit vers Kazeshini, celui qui osa la pointer de son gros doigt rouge. Besoin de préciser que cette substance va chercher à engluer le pauvre lutin pendant un moment, l'immobilisant pendant que Lynao le plantera avec sa vorpaline ? Pour corser le tout, des pics de mazoutes tranchants sont de la partie et se génère de manière aléatoire autour de son corps de de toutes les taches de mazoutes se trouvant sur une surface d'un mètre autour d'elle.
Profitant de son attaque, elle se mit à bouger rapidement, ne pouvant user du sonido en vu de son apparence, la lame de son zanpakutoh étant sorti de son corps au niveau de son oreille gauche, si elle avait une oreille évidemment, et sa main griffu prête à saisir son adversaire et à le planter par la même occasion. Mais qui allez vous demander? C'est très simple : cette autre attaque vise aussi Kazeshini.
Et oui, le lutin sera sa première cible, son premier repas en ce jour Fravieux.

Bande de bouses ambulantes bel et bien incapables de divertir notre jeune Hollow aux capacités indomptables et redoutables. Voilà bien une scène qui commençait à lui déplaire dans le sens où il n'avait pas même l'occasion de s'amuser un peu tout comme le faisait ce très cher enfumé brillant dans l'art de l'insulte. Voilà bien un futur bien présenté auquel il aimerait vraiment rajouter son grain de sel pour peu que ca bouge s'il demeurait inerte. Pas glander devant trois idiots impossible à canaliser parce que l'un prenait mal les interventions de l'autre. Cette bande de gamins puérils et stériles.. regardez moi un peu ça. Et Shirosaki se retrouvait dans le lot, affiché en tout premier lieu parce qu'il n'était rien d'autre que le poutreur le plus classeux du Hueco Mundo. Ce n'était pas une grosse bouse de vache à la tête phallique dont la crasse scandaleusement sombre ruinait l'image de l'indien au masque d'Hannibal Lecter, qui parviendrait à lui voler le titre, loin s'en faut. Le héros ici, le Roi, ce n'était autre que lui. Le double d'Ichigo, et meilleur qui plus est.

Les insultes pleuvaient sur les protagonistes, en l'occurrence l'enfulé carbonisé se plaisant à affubler autant Shirosaki, Senbonzakura comme Lynao de tous les noms d'oiseaux qu'il eut connu dans son existence. Cette bande d'énergumène lui était inconnue, mais l'enfumé l'intéressait plus qu'il ne l'aurait voulu. Toujours est-il qu'il semblait se retrouver dans une impasse, et pour cause. Qui se jetait sur lui pour cause de brouhaha nuisible et néfaste. La mazoute woman n'avait pas accepté les affabulations du très cher Kazeshini, ce qui soutira un sourire au Hollow spectateur. Vous y croyez quand même ? Il était ici pour se battre, et attirer aussi le regard d'Aizen-sama sur lui mais il s'était avéré que la situation en étant changée par l'attitude minables de Zanpakutoh gesticulant comme des vers.

Finalement, il prit de l'élan sur ses jambes et bondit du sol sablonneux pour attraper par les cheveux le beau masqué qui devait finalement payer pour ce stoïcisme insolent. Il fit en sorte d'éloigner l'Indien des deux énergumènes tandis qu'il se mit à prendre ses aises devant l'opportun qu'il allait devoir poutrer sans aucun soucis :

- " Ce n'est pas toi qu'j'ai rencontré ce jour où... ce jour où j'ai latté ton maître les doigts dans le nez ? " déclara-t-il de but en blanc.. provocateur au possible. Il souhaitait énerver cet homme qui se tenait droit mais qui n'en paraissait pas moins bouillonnant de l'intérieur. Et puis quoi, Shirosaki ne demandait qu'à s'amuser un peu, ne serait-ce que profiter de sa récente liberté. Grâce à Muramasa qui n'avait su convertir son instinct en des fils manipulables..Il reprit une pause nonchalante à souhait, et traça des sillons dans le sable du bout de sa lame...

- Oh, je m'excuse de t'avoir aussi bien reconnu.. Mais tu as cette même effluve débordante que lorsque je suis intervenu dans le combat qui opposait Ichigo et Cul serré. Il a été incroyablement surpris de me voir avec un Getsuga Noir... tu voudrais le tâter... Senbonzakura... ? Finit-il par ronronner verbalement d'une voix dangereusement sombre. Après tout, son rôle était uniquement de se battre, et si Byakuya pouvait succomber en même temps, ce ne serait qu'un effet d'une pierre deux coups.

Il n’y avait vraiment aucune raison de se trouver ici… Vraiment aucune… Obéir aux ordres de Muramasa pour découvrir où et comment allait-il libérer son ancien manieur, d’accord, voilà un travail digne de l’intérêt de Senbonzakura et de son maître… Mais se retrouver ici, dans cet endroit désertique où le soleil et les fleurs n’avaient pas leurs places, non. Le Hueco Mondo… était un vrai nid de racailles et de brutes en tout genre, du point de vue hautain et dédaigneux de Senbon’… Il en avait les preuves vivants à deux ou trois mètres de lui : une plaque de mazoute bégayante et une guimauve à la fraise… enfin en forme de Fraise plutôt… Pour ceux qui sont lents d’esprit, Le Zanpakutô masqué avait devant lui la copie… non pas conforme de Kurosaki Ichigo, mais presque. Enfin bref, peu importe. Ces deux « choses » (l’une comestible et l’autre non) ne devaient pas leur faire obstacle, en théorie du moins. En pratique, c’était autre chose.

Parce qu’entre Kazeshini qui mourait d’envie d’en découdre et l’autre blanchette là-bas, il n’y avait pas grande différence : les deux n’avaient qu’une envie c’était de se crêper le chignon (enfin façon de parler, se « crêper le chignon » est sûrement un terme trop faible pour qualifier la soif de combat qui les animait à cet instant…). Même la plaque de pétrole ambulante venait de s’y mettre elle aussi ! Furieuse qu’on l’ait jeté de façon si brutale en direction de Senbon’ (qui l’avait évité, il faut l’avouer, sans trop se préoccuper de son état), elle s’était jetée avec un hurlement de rage… non, pardon, quelque chose qui ressemblait à un hurlement de rage, sur Kazeshini et l’avait en quelques secondes, enveloppé dans une masse gluante : son corps. Senbonzakura ne put s’empêcher de frémir en voyant le lutin rouge se débattre avec ce drôle de Hollow : cela devait être tout à fait désagréable de se retrouver avec quelque chose d’aussi étrange que cette chose sur la tête. Enfin, lui, ça ne l’aurait pas dérangé, puisqu’il portait un masque, mais il n’avait pas envie de l’enlever pour le nettoyer. Son visage était un grand mystère et il préférait le conserver en évitant d’enlever son masque à la moindre égratignure.

Il s’apprêtait à aider un peu cet imbécile de faucheur lorsqu’il sentit quelque chose, ou plutôt quelqu’un, lui agripper les cheveux. Il voulut se dégager, outré qu’on puisse l’aborder de cette façon, lorsqu’il se retrouva à quelques mètres de là où se déroulait « l’affrontement »… face à ce drôle d’humain blanc qui gardait toujours un sourire provocant au bout des lèvres, comme s’il se moquait de lui. Il fallait avouer, que la véritable fraise, lui, restait sérieux pendant les combats… Il n’y avait rien de plus agaçant pour Senbon’ que de voir quelqu’un se foutre de lui alors qu’il s’apprêtait à le dégager de son chemin. Il garda donc un air stoïque même si cette fichue poigne sur sa chevelure d’encre commençait vraiment à le gêner.

" Ce n'est pas toi qu'j'ai rencontré ce jour où... ce jour où j'ai latté ton maître les doigts dans le nez ? "

Pardon ? Qu’est-ce qu’il venait de dire ? Non, qu’est qu’il avait osé dire !!? Latté…les doigts dans le nez… son maître ? *Ces gens ont vraiment un sens de l’humour très déplacé* songea-t-il avec humeur. Et cet imbécile ne semblait même pas se rendre compte qu’il rendait le cerisier de plus en plus en colère. Il continua en effet, à déblatérer, comme si de rien était, en insultant Senbon’ et surtout, par la même occasion, Byakuya. Une vague de colère submergea le Zanpakutô qui faillit pousser un grognement de fureur devant tant d’irrespect. Comme il s’en était douté, cette guimauve n’était autre que le Hollow intérieur du Shinigami Remplaçant. Très bien. Puisque ce n’était pas le vrai, il allait s’en donner à cœur joie, sans se retenir. Ah oui, il voulait bien le voir son Getsuga noir… avec plaisir d’ailleurs. Comme ça, il pourrait lui montrer à quel point leur différence de niveau était grande… Enfin, il releva un peu son sabre qu’il avait laissé un peu traîner à terre et observa l’autre avec l’air le plus méprisant qu’il puisse adresser.

- Espèce de gamin arrogant et inconscient… Je t’interdis de parler de mon maître de cette façon… A moins que tu ne veuilles finir six pieds sous terre…

De toute façon, il n’avait nullement besoin que l’autre continue à insulter Byakuya pour le mettre en pièces. Sans même introduire son attaque par un geste quelconque, il accomplit un Shunpô, aussi parfait que celui de son maître et se retrouva derrière Shirosaki :

-Hadō no yon : Byakurai !

Un éclair blanc sortit de la main pour aller percuter l’autre de plein fouet. Le temps que l’écran de sable se dissipe, Senbon’ avait déjà reculé et lancé d'une voix hautaine :

-Trop lent !

Non dans quel galère il s’était encore une fois fourré. Non pas qu’il n’aimait pas se battre, mais en trois contre un c’était quelque peu abusé. Bien sûr, il n’était pas du genre à baisser les bras devant de tel adversaire, mais quand même… Le Dark Vador était de son côté non ? Puis l’autre qui commence à hurler à te faire exploser les tympans… Non mais franchement, c’était quoi cet endroit pourri ? L’autre enfariné qui ressemblé à un Shinigami et une chose mazouteuse… Qui d’ailleurs attaque l’adorable petit démon lutin… déversant son liquide bizarre partout… enveloppant Kaze’ jusque sa taille… Hein… Quoi… Non mais ça va pas… Comment se sortir de là maintenant… en plus c’est froid et gluant… Genre il te bouffe petit à petit… Non mais non … Kaze’ essaya de se débattre mais plus il bougeait, plus la substance l’avalait… Quoi il allait quand même pas finir dans ce truc… Il arrêta de bouger un petit moment et c’est d’un air complètement blasé qu’il dit…

« -Pfff… Fais chier… »

Il tourna le regard vers son dit allié et remarqua que l’autre enfariné lui tenait une mèche de cheveux… Quoi ? C’est quoi ce tripe encore ? Une forme de Yaoi à la Star Wars ? Senbon va lui sortir qu’il est son père ? Franchement, c’est du grand n’importe quoi… Mais bon, Kaze’ avait autre chose à faire que de regarder ce spectacle blasant et franchement hors contexte… Voyant que les deux autres étaient donc entrain de partir un peu plus loin… Kaze’ tourna le regard vers… la chose… et remarqua qu’il y avait quelques tics un peu partout autour de lui… Hum… C’est quoi encore ce truc ? Mais pas le temps de réfléchir que la chose s’avançait à grand pas (ou pas) vers le démon rouge… Celui prépara ses faux en vue d’une riposte ou d’une défense… Mais il faisait bien attention à ne pas toucher le mazoute avec ses lames… On ne sait jamais, sa serait con que ses faux se retrouve elles aussi, coinçaient.

« - Hey ! Mais tu sais pas te battre à la loyale toi… !! »

Effectivement, ce n’était pas vraiment facile de se battre en étant complètement bloqué au niveau inférieur de son corps… Bien qu’il faut dire qu’avec un peu de réflexion, il n’avait pas réellement besoin de bouger. Il pouvait très bien lancer ses faux sur la tronche de la chose. Mais encore fallait-il qu’il y pense… C’est au bout de quelques minutes, qu’il arriva tout de même à se dégager de cette substance dégoûtante. Il sauta enfin sur une branche d’arbre mort et fixa son regard sur la chose, cherchant un moyen d’en finir… Arf !! Réfléchir n’était pas vraiment son fort, mais il ne devait pas foncer tête baiser. Surtout qu’il n’avait pas de point d’attaque fixe… Hum… attendez… Fixe? Mais oui, la tête, enfin le masque, était la seul chose solide. Kaze fit un largue sourire sadique et passa sa langue sur sa lèvre supérieur… Il avait peut être trouvé le moyen de combattre. C’est donc dans cette optique que le démon rouge envoya ses faux en visant la tête de la chose …

La chose mazoutée avait vraiment l'air de mauvais poil, ne supportant pas les trois étranges individus de la carte par ailleurs pour la simple et bonne raison que leurs railleries lui avaient prit le chou. Il faut dire qu'elle s'énerve plutôt vite la jeune demoiselle en y repensant, en particulier lorsque son adversaire n'est pas connue par ses soins. Ici, elle ne connaît personne en particulier hormis la pression spirituelle de l'homme en blanc, lui rappelant quelque chose qui s'est passé récemment d'ailleurs et qui avait impliqué la tercera Espada et Grimmjow. Enfin, l'heure n'est pas aux flash backs et autres souvenirs débiles : nous sommes en plein combat et il est même l'heure de se faire à manger en gobant la chose qui ressemblait à un elfe passé à la casserole et dont l'ork a oublié d'arrêter le four lors de la cuisson.
Si elle aurait pu, un sourire se serait affiché sur le visage de Lynao, contente de voir que son adversaire était coincé dans sa technique. Elle pouvait déjà sentir le goût de Kazeshini dans son organisme bien que, avouons le, celui ci est le goût d'un rôti un peu trop cramé dont on aurait versé une sauce tartare indigeste afin de caché les zones un peu trop carbonisés. Après tout, on ne fait pas de distinctions lorsque l'on se bat et que l'on souhaite améliorer sa condition de hollows en passant à un grade supérieur. Il faut dire que cela ne gênerait pas la petite Lynao : faire partie de l'Espada est toujours bien vu entre hollows. Il faut dire que, la plupart du temps, ils glandent rien à part boire du thé avec Aizen, supporter les perversité de N'noitra, regarder l'oeil de Ulquiorra lors des rapports et autres sauteries de ce genre tandis que les pauvre petites fraccion et autres hollows qui n'en font pas parti de l'élite n'ont rien. Nada. Niet. Et qui plus est, aucun syndicat pour les défendre face à la tyrannie car, soit disant, au Hueco Mundo, c'est les meilleurs qui domine nananinanere. Si seulement elle était courageuse, elle serait déjà morte pour défendre des idéaux d'humains. Finalement c'est plutôt sympa d'être une peureuse en y repensant. Au moins, on vit des aventures palpitantes qui font de vous l'un des personnages les plus étranges de cette dimension alternative d'un manga nommé Bleach.

Sur ceux, où en était on? Ah oui c'est vrai, Kazeshini! Alors le lutin carbonisé avait l'air bien coincé dans du mazoute bien frai qui commençait d'ailleurs par l'attirer dans les abysses sombres du corps de Lynao. Non cette phrase n'est pas perverse à toi qui te fait sourire, espèce de coquin, le pauvre risque de finir étouffé comme les pélicans actuellement. D'ailleurs il se permit une réflexion des plus étranges concernant le style de combat de notre tas de mazoute favori. Pas loyale? Elle? Mais ..... ça veut dire quoi déjà ''Pas Loyale'' ? Sans plus attendre, la jeune femme de mazoute stoppa son attaque et chercha dans son corps un dictionnaire de mots qu'elle feuilleta en attendant que le tas de charbon se décide à faire quelque chose contre elle. Tournant les pages relativement vite, elle finit par mettre sa griffe dessus et, dans un étrange procédé des plus étranges, elle su lire à haute voix et de manière continue la définition du dictionnaire.

'' Pas Loyal : Qui n'est pas Loyal. Exemple : Ne pas savoir se battre à la loyal équivaut à utiliser des techniques étranges que votre adversaire ne comprend pas sous un effet de démence et de manque de connaissance dans les arts martiaux.''

Un grand silence s'installa ensuite tandis que Lynao rangeait son bouquin dans son ventre. Ainsi donc, son adversaire ne connaissait pas l'art traditionnel du Masujitsu! Un art qui permet de contrôler le pétrole et de vaincre les papillons rebelles dans les temps ancestraux qui souhaitais la mort du système et qui aime écouter du Tokyo Hotel en duo avec Justin Beber. Kazeshini sera l'un de ses rebelles, cela se voit qu'il aime Bill et ses chansons, l'heure de l'attaque de l'insecte mazouté contre le papillon de carbone va sonner à nouveau pour apporter l'équilibre dans l'école du Hueco Mundo. Bon d'accord, on est pas un décr typique du cinéma traditionnel japonais mais on peut toujours rêver non? Et tu veut pas non plus une invoque du démon Nobunaga ou Tokugawa tant qu'on y est? Bon d'accord, laissons la masse de pétroles voir que, surprise, le Kazeshini a trouvé le moyen de se barrer de son corps.
Bien que cela surprit la jeune masse de mazoute, elle ne fut pas moins étonner de voir l'ennemi viser sa tête en priorité. Ses drôles de faux furent lancées à vive allure contre le visage de l'arrancar numéro trente-cinq, l'une atteignant sa cible et fissurant un peu le masque de la jeune femme au niveau de sa joue droite. Bien évidemment, le masque est très sensible par rapport aux lames et autres objets tranchant et un immonde cri de douleur sortit du corps de Eldorad. Comment a t'il osé s'en prendre à elle en lui lançant ce genre d'attaque ? Son pauvre masque en forme de boule de bowling !!!! Il le payera de sa vie. Le mazoute se mit directement en mode défensif, le temps de calmer la blessure de l'arrancar et de réparer son masque en usant d'un peu de régénération hollowesque.

'' je...Je...jejje..tetete....je....te...HAIS!!!!!!''

Elle sortit Vorpaline, prenant son sabre avec son unique bras squelettique et fonça en zigzagant sur son adversaire. Pourquoi en zigzag? Simplement pour rajouter encore plus de zones sous son influence pardi. Si jamais il tente une esquive, il devra forcement toucher son mazoute et se retrouvera paralyser, incapable de bouger sous sa prison de Fuel. Elle attaqua le zanpakutoh sur le front gauche, après avoir enliassé sa jambe gauche sous une petite marre de mazoute bien collant et chaud bouillant, cherchant à déstabiliser le pauvre lutin tout en continuant un assaut répété de coup de zanpakutoh et autres pièges mazoutés comme un geyser de mazoutes qui explosa juste derrière le duo avec pour objectif premier de recouvrir son adversaire et de préparer déjà le terrain pour attaquer Senbonzakura une fois son duel avec Kazeshini fini.

Spoiler:

Son étreinte se resserrait de plus en plus, ses doigts agrippant avec panache la ténébreuse chevelure de ce fichu zanpakuto masqué. Senbonzakura hein ? Ah ah ah, que le hasard faisait bien les choses, une fois de plus il seraient donc confrontés l'un à l'autre... Et une fois de plus Shirosaki prendrait un malin plaisir à le terrasser sans vergogne. La touffe bien encrée au creux de sa sénestre, l'opalin combattant dû se résoudre à laisser filer sa prise, sa proie se débattant d'une brusque façon. La tirade provocatrice, suintante d'une vérité inavouable pour le fière trancheur d'âme, frappa avec force l'orgueil mal placé du cerisier. Poursuivant son discours, déblatérant derechef des propos à l'encontre du noble et de son armement, l'alter-ego d'Ichigo proposa une démonstration alléchante de son savoir faire. Oui, le fameux Getsuga Tenshou que ce pseudo roi de rouquin usait à outrance, ne sachant vraisemblablement pas le maitriser... Ne connaissant même pas sa réelle puissance. Un large sourire au détour de ses lèvres, Shirosaki pouvait se targuer d'exploiter la technique à son plein potentiel, démontrant de nouveau sa supériorité apparente face à son hôte.

Sans doute outré à son paroxysme, la face d'Halloween rompit le silence qu'il s'était pourtant efforcé de préserver. Enfin, il succombait, le calme le perdait... Il allait se jeter pieds joints dans la bataille... Du moins là demeurait le souhait présent du Hollow qui s'en léchait dors et déjà les babines. Oh ! Quelle présomptueuse personne, ce zanpakuto faisait montre d'une attitude dédaigneuse au possible, associant à sa vaniteuse sentence une menace franchement peu crédible. Le mettre six pieds sous terre ? Vraiment ? Comment comptait-il y parvenir ? Hein ?! Son sourire s'élargissant encore et encore, le blanchâtre personnage ne put s'empêcher de pouffer de rire, affichant très clairement sa dentition, ses railleries pouvant s'entendre des kilomètres à la ronde.

« Ah ah ah ah... AH AH AH AH AH AH ! ».

Il se gaussait avec joie de cet idiot emplit de principes et de valeurs, fidèle à son détenteur jusqu'au bout... Il ne le comprenait pas, nullement ! Il ne pouvait concevoir un tel dévouement... Après tout, Shirosaki représentait l'exacte opposé de ce coincé de service. Ses esclaffements diminuant, il reprenait le contrôle avant de répondre à cet impétueux.

« Finir six pieds sous terre ? Idiot ! Ne me confonds pas avec ce nul d'Ichigo ! »

Sa voix s'était voulue forte, haute, sévère et profondément narquoise. Tsss, certes ce pourri de roux se ferait battre à plates coutures mais le destin du vrai « roi » était tout autre. Il comptait faire ravaler sa salive à ce Senbonzakura et d'une bien belle manière ! Oui, il allait le dominer, l'écraser et prouver sa suprématie ! Néanmoins, sans préavis aucun, l'adversaire disparu en prompt... Ah ah ah ! Le Shunpo hein ? Assurément, le sifflement s'immisçant dans l'air ambiant tendait vers cette hypothèse... Malheureusement pour ce faiblard, on ne dupait pas sa majesté aussi facilement. Ainsi, il le sentit immédiatement se déplacer, ne bougeant cependant pas, attendant patiemment qu'il se retrouve dans son dos. L'imprudent récita une courte phrase, une incantatoire somme toute, Byakurai ? Encore ce foutu sort inutile ?! Ne savait-il rien faire d'autre, cette fois là aussi il y avait eu droit... Une efficacité proche du zéro pointé ! Le Reiatsu de notre protagoniste se concentra au niveau de ses pieds pour qu'en un instant, il emploie ce fameux déplacement éclair qu'était le Shunpo...

Se déplaçant le plus rapidement possible, il semblait comme dans un autre univers, son univers... Un monde ou lui seul régnait, un monde de solitude et de violence à l'état pur... Oui, ce Hohou offrait ce sentiment si agréable, du moins lui, c'est ce qu'il ressentait. Arrivé à destination, il surplombait des airs les rigolos restés fermement au sol, reposant toujours sur le fin sable blanc du Hueco Mundo. D'un œil amusé il observa le large éclair blanc fusé à vive allure dans le vide, faisant virevolter les grains du parterre, allant s'écraser bien plus... Une détonation retenti, provoquée par une explosion succincte. Il amena sa dextre à hauteur du manche de Zangetsu, le dégainant de sa colonne, saisissant sa lame par le long ruban tout de blanc conçu qui la décorait. D'un mouvement habile du poignet, il fit tourner l'arme au dessus de sa tête à un rythme frénétique avant de la lancer en direction de l'ennemi bien trop sûr de lui. Il n'attendit pas de voir si cette avait touché ou non sa cible, préférant largement poursuivre son assaut, son instinct le guidant, le poussant à continuer et s'acharner sans relâche.

En hâte, il se mut, reprenant saisie sur la garde de son large instrument de mort. On pouvait d'ailleurs y distinguer une aura sournoise s'accumuler tout autour de la lame, se colorant petit à petit d'un noir profond, les ténèbres, une énergie négative hautement canalisée. Il leva ses bras, visant les cieux de l'extrémité de son Zanpakuto, son faciès prit d'un sadisme exacerbé mêlé à une satisfaction non dissimulée. Il abaissa ses épaules, donnant un puissant coup, désireux de toucher le crâne du noble...

« Le voilà ! Le voiiiiilà ! Mon.... Getsuga Tenshou ! »

La démence traduite dans ses mots, Shirosaki ne comptait pas lésiner sur les moyens, cet enfoiré allait mordre la poussière pour finalement en devenir lui aussi... De la poussière... L'amas de Reiatsu hostile contenu au sein de Zangetsu se libéra pleinement en une fraction de seconde... Une vague déferlante s'empara des lieux, recouvrant le sablon d'un voile destructeur qui, suite à son passage ne laissait que chaos et désolation... Bienheureux, le Hollow ne se retint pas et, alors que la Getsuga s'écoulait d'avantage, il éclata en un fou rire dont lui seul avait le secret.

« Ouaiiii ! T'es bien trop lent... Senbonzakura ! »

Quel stupide petit insolent… Il allait voir à qui il avait vraiment affaire… Comment osait-il le prendre de haut, lui, Senbonzakura, l’un des Zanpakutôs les plus puissants existant dans le monde des Shinigami, dont le maître était le noble et fier chef de la famille Kuchiki ? Avait-il les yeux en face des trous au moins ? Se rendait-il compte à quel point il était dangereux de le provoquer ? De le provoquer, alors que, malgré son calme et son stoïcisme apparent, il bouillait de l’intérieur, furieux qu’on l’ait séparé de son maître, frustré par la présence de Kazeshini dans cet endroit glauque et funèbre au possible, où l’on ne voyait pas la queue d’une cerise, ni l’ombre d’un cerisier. Comment se fasse-t-il que l’on y trouve des fraises albinos alors ? Senbon’ aimait presque tous les fruits et légumes, mais cette fraise-là, il avait bien envie de l’écraser ! Surtout après que celle-ci ait osé insulter Byakuya !

Il jeta un coup d’œil glacial lorsqu’il se rendit compte que cette dernière avait réussi à échapper à son sort de Hado. Hohou ? De plus en plus étrange… il faudrait qu’il éclaire tout cela un de ces jours… mais pas maintenant, alors qu’il était soudain pris d’une de ces folles envies de combattre. D’accord… Il n’était peut-être pas si lent que ça… Quel ennui… Cela allait donc lui prendre plus de temps que prévu, d’éliminer ce pseudo-Kurosaki. Contrairement à certains de ces congénères, Senbonzakura n’aimait pas avoir à se battre seul, sans son manieur. Il avait l’impression de ne vaincre qu’à moitié. De plus, si le capitaine de la sixième division avait été là, cet individu provocateur et gênant aurait déjà été enterré. Tant pis, il allait devoir se débrouiller seul.

Le Hollow à forme humaine se précipita vers lui avec un hurlement de dément. En utilisant le ruban sombre qui entourait la lame de Zangetsu, il lança l’immense lame vers le cerisier qui se contenta de l’éviter en shunpotant. Une autre attaque ? Il l’évita de peu, et la pointe du Zanpakutô lui coupa quelques mèches au passage. Un grognement de mécontentement sortit de la gorge du masqué. C’est alors qu’il se rendit compte que l’autre s’était de nouveau déplacé. Il se trouvait juste au-dessus de lui ! *Merde…* Getsuga Tenshou Noir ! Une immense explosion fit trembler les dunes du désert, tandis que l’Autre poussait un long ricanement de fol aliéné.

Senbon avait réussi à éviter la vague sombre de très peu. Lorsqu’il avait utilisé un sort de Bakudo pour se protéger, qui avait été insuffisant pour contenir tout l’afflux d’énergie qui avait déferlé sur lui, cela n’avait pas empêché la guimauve dynamique de lui infliger une blessure sur l’épaule gauche, lorsqu’il avait voulu s’écarter grâce à un Shunpo, qui l’avait ensuite emmené un peu plus loin, loin de la portée d’une autre éventuelle attaque de celui-ci. Mais il y avait plus grave que cela pour le moment : son masque comportait maintenant une large brèche qui s’étendait tout le long du côté droit de son visage. Il s’émiettait ! Un œil améthyste fit son apparition… il fixait l’autre avec une haine glaciale et difficilement contenue… Mais avant ^même que Shirosaki n’ait pu découvrir une autre partie de son visage aussi secret que la marque de gel d’Aizen, Senbonzakura se détourna, sortit un masque de rechange et l’inter changea avec celui qui était âbimé. Chose faite, il se retourna vers la guimauve et lança :

- Je vois… Tu es, en effet, sûrement plus puissant que Kurosaki Ichigo… Cependant… cela ne te permettra pas de me vaincre.

Le cerisier tendit sa lame, la pointe vers le sol, saisissant d’une main ferme la poigné. Lentement, il la lâcha… Une lumière bleutée, sombre, l’entoura et le katana disparut, engloutit par le sol.

- Bankai… Une rangée de lame, à droite et à gauche, sortit du sol. Elles se dispersèrent en une nuée de pétales roses… qui se précipitèrent aussitôt vers l’adversaire qui avait la chance aujourd’hui de voir la forme libérée de Senbonzakura… - Senbonzakura Kageyoshi…

Sans attendre une seule seconde, le masqué lança la vague rosée sur Shirosaki. Il devait le coincer… autant utiliser ses mains pour accélérer la vitesse de ses pétales. De toute façon, si ce…cet insolent avait réussi à le toucher une fois, cela ne se reproduirait plus : la défense de sa forme libérée était impénétrable. Il ne pouvait que gagner…

Kazeshini était, on peut le dire, dans la merde la plus totale. D’une il faisait équipe avec une sorte d’indien avec un masque débile… à quand la plume dans le… et un sens de la sociabilité assez défaillant. Bon, c’est vrai notre démon n’était pas non plus à prendre comme exemple, mais il était tout de même mieux que l’autre énergumène. De deux, les dis ennemis potentiels étaient des trucs bizarres, surtout l’autre gluant, qui s’amusait à faire vire un vrai calvaire à notre diablotin. D’ailleurs la chose s’arrêta un moment pour chercher quelque chose dans… son ventre?… enfin ce qui était de son corps. Elle sortit donc une sorte de bouquin bizarre et commençait à chercher un truc dedans. Kaze’ bloqua un moment, se demandant ce qu’elle était entrain de faire et se fût avec un air complètement blasé qu’il eut la réponse. Il était entrain de lire d’une façon claire et net la définition du mot loyale… Mais elle se doutait de la tronche de tout le monde ou quoi ? En plus, elle pouvait parler normalement ? Non mais franchement c’est quoi ce truc ?

« -… »

Un grand silence se fit, pendant que l’autre ranger son bouquin et qu’il méditait sûrement sur cette définition. C’était une aubaine pour le démon, qui voyant son adversaire dans ses pensés, réussit à se libérer de sa prison de mazoute. Sautant dans les air pour se retrouver sur une branche d’un arbre mort. Puis, il envoya l’une de ses faux dans la tronche de la chose, en pleins dans le mille en plus. C’était à croire que kaze’ avait le compas dans l’œil… ou pas. Cela énerva encore plus la chose, qui reprit son bégayement et sa voix super aigu, chose qui pouvait sans aucun doute, vous explosez les tympans. Bien qu’elle eu du mal à prononcer ses paroles, le démon comprit très vite le sens de ses mots… Elle le haïssait et cela au plus profond de son être… enfin je crois. Kazeshini lui fit un largue et sadique sourire. Ce faire haïr était la chose la plus palpitante et la plus plaisante que le démon pouvait connaître.

Puis, la chose commença à faire des zigzags en fonçant vers le démon. Quoi ? Elle avait quoi en tête encore ? Elle voulait le bloquer ? Tss… Elle rêve, le démon était bien plus agile qu’on pouvait le penser. Mais, il avait trouvé le point faible de la chose, son masque. C’était sans aucun doute le seul moyen pour pouvoir le vaincre. Il devait donc détruire le masque, mais cela n’allait sans doute pas être aussi simple que ça. D’ailleurs la chose fonça sur Kazeshini, en son flanc gauche… Hum… Que faire ? Il pouvait sauté vers la droite, là où il y avait moins de mazoute et vue qu’il était assez agile pour sauté très loin, il pouvait éviter la chose… Mais il pouvait aussi foncer droit sur le masque pour le détruire, surtout que maintenant c’était son objectif… Dur choix tout de même. Il n’avait pas vraiment le droit à l’erreur. Surtout que s’il manquait son coup, il allait encore se retrouver dans cette chose gluante… Beurk…

Le choix était donc très difficile, mais on connaît tous, le caractère tordu du démon. Il fixa donc son regard sur la seule chose blanche de son adversaire. Il prit appui sur son pied droit et sauta dans les airs en direction de la chose. Ses faux en main, il les projeta toutes deux vers son adversaire. S’en foutant s’il allait le toucher ou non. D’ailleurs la première passa à quelques centimètres du masque, mais cela n’était pas fini, car la deuxième arriva elle à destination. Kaze’ ne voulant pas en finir là, il tira sur la chaîne pour faire revenir la faux qui était derrière la chose, afin qu’elle se plante dans l’arrière de sa tête. Avec la rapidité et la force du démon, la faux tournait de plus en plus vite sur elle-même. Elle était donc beaucoup plus puissante que la première attaque.

Un rire étrange.
Un rire aigu et sadique à la fois. La jeune femme mazoutée avait l'air de sombrer dans une folie des plus improbables au fur et à mesure que le combat s'éternisait. Cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas eu affaire à ce genre de combats depuis très longtemps et fort heureusement d'ailleurs, sinon Las Noches aurait dû être reconstruit mainte fois suite à ses combats des plus étranges. Il faut l'avouer, nettoyer du mazoute séchée n'est pas de tout repos, même pour des arrancars et autres sous fifres travaillant dans la demeure du seigneur Aizen, de quoi donner envie à celui ci d'aller chercher une femme de ménage ou une boniche chez les humains dans peu de temps.
Dans ce combat, le gros défaut de Lynao est de subir les assauts aériens de Kazeshini, elle qui n'a pas son aise pour voler dans cette forme, il lui faudra donc passer en mode libération mais, elle le sait bien, si le tas de mazoute se décide à faire appel à sa résurrection, elle risque de faire de nombreux dégâts que ce soit sur ses alliés ou ses ennemis. Et puis, la dernière fois, si Aizen n'avait pas été clément avec elle, elle aurait certainement été exécuté pour avoir osé attaquer ses collègues alors que la mission était finie depuis longtemps. Enfin, elle suppose que son seigneur doit avoir des projets spécifiques pour elle, sentant déjà une grande peur parcourir son corps rien qu'à penser à des choses des plus ignobles qu'elle n'oserait jamais faire d'habitude. D'ailleurs, en parlant de frissons, elle en eu un autre quand l'une des faux de son adversaire passa aux raz de son visage, effleurant du mazoute qui finit sa course sur le sol sablonneux de ce monde sans lumière du jour. Il faut avouer que ce lutin au physique des plus étranges avait l'art de vous faire peur avec ses armes, et dire que ce genre de mecs existent aussi dans le Hueco Mundo. La première pensée de Lynao vient pour Grimmjow, une pure brute mais N'noitra est pas mal non plus, voir supérieur à ce chat pour les combats et pour la peur qu'il installe chez son adversaire.

N'ayant que peu prêtée attention à la deuxième attaque de son adversaire, elle reçut la faux en pleine tronche, contente d'avoir eu du mazoute qui s'est interposée à quelques millimètres seulement entre la lame de celle ci et son visage. Elle commença à dégouliner de peur, sentant que si ce combat continuait dans ce sens, elle finirait par mourir mais, dans une rage folle, elle finit par ne plus rien comprendre à la situation et cessa tout raisonnement, vomissant son zanpakutoh et bloquant la faux de son adversaire avec sa main squelettique. Elle bredouilla des choses incompréhensibles, des murmures encore plus étranges que d'habitude que même l'auteur de ce RP n'est pas fichu de comprendre. Faut dire aussi qu'il n'est pas un Narwhal ou n'importe quel autre créatures parfaites qui existent dans ce monde donc on ne s'attardera pas sur les détails. Dans sa folie, elle finit par bredouiller une phrase importante, enfin un mot mais un mot avec elle fini souvent en phrase de trois lignes. Un mot que seul certaines personnes dans ce monde ont entendu mais qui, dans le monde des humains, est connu pour apparaître dans un roman mais aussi dans un poème des plus étranges.

'' Jabb.... Jabber ..... JABBERWOCKY!!!!!!''

A ce moment là, tous le mazoute présent autour de Lynao finit par engouffrer l'arrancar. Un spectacle des plus atroce finit par apparaître devant les yeux de Kazeshini et des deux autres combattants puisque le peu d'organes et d'ossements présents dans le corps du tas de mazoute finit par fondre et se transformer aussi en ce liquide noire et puant. Le masque de Lynao finit par trôner sur un tas étrange de mazoute d'une hauteur de un mètre cinquante, le regard toujours aussi vide. Elle fixa son adversaire avant qu'une couche de mazoute agit devant le masque comme si celui ci était un oeil. Un nouveau délire de Lynao ? Absolument pas! Elle tourna sur le coté, affichant son nouveau visage qui, dans un immense rugissement, finit par se retrouver à trois mètres de haut, le masque servant d'oeil droit à un dragon mazouté, aux crocs affûtés et à la carrure des plus étranges. Et oui car, à première vue, seul son cou et le visage diforme du dragon dégoulinant était visible. L'une des grande capacités de l'arrancar est justement de pouvoir faire apparaître les partie de ce dragon où elle le veut, par ailleurs, un énorme poing de mazoute attaqua son adversaire de toute ses forces, l'envoyant voler un peu plus loin tandis qu'elle achevait sa transformation. Et oui, le Jabberwocky du Hueco Mundo rugit de nouveau et, cette fois ci, ses ailes finirent par se déplier dans une grande splendeur et devant les trois autres protagonistes, balançant deux ceros au passage, l'un vers Kazeshini et l'autre dans la direction de Senbonzakura et de Shirosaki. Une fois libérée, tant qu'une forme de vie est présente autour d'elle, elle ne souhaitera que la disparition de celle ci, peu importe le prix à payer. Elle vola donc en direction de Kazeshini, répandant énormément de mazoutes sur son chemin. Il faut dire qu'un dragon de cinq mètres de long avec un corps composé de fuel ne passe pas inaperçu non plus. Elle pense même que le seigneur Aizen et les autres protagonistes peuvent l'apercevoir et sentir sa pression spirituelle si particulière. Elle atterrit devant son adversaire et lui hurla dessus, avec une voix digne d'un tyranosaure de Jurrasik Parck.

Le combat de ce jour fravieux va enfin commencer!

Quel pieds, enfin, enfin ! Oui enfin il pouvait se battre et pas contre n'importe qui non ! L'un des plus puissants Zanpakuto de la Soul Society : Senbonzakura. Oh non, il n'hésitait aucunement en ses chances de victoire mais croiser le fer de la sorte, voilà bien longtemps qu'il attendait. Cette sensation de plaisir qui, petit à petit s'emparait de son être, l'englobant, l'excitant au plus au point. L'euphorie était telle qu'un large sourire s'était dessiné sur les lèvres du Hollow immaculé, ne daignant nullement les quitter pour quoi que ce soit. Trancher, mutiler, tabasser et finalement exécuter ce foutu noble, une utopie sans pareille s'offrait à lui. Son instinct le guidant totalement, Shirosaki se laisserait aller, ne se retenant sans façon, bien décidé qu'il était à s'amuser comme un petit fou.

En un réflexe totalement dépourvu de craintes, il esquiva habilement la foudre rectiligne s'abattant, tout du moins essayant de s'abattre, sur lui. La technique allant s'écraser lourdement à de nombreux mètres plus loin, fracassant le sable pourtant si paisible. Ripostant immédiatement sans même un instant de répit, une attaque frontale fut son choix, lançant son trancheur d'âme du bout de son ruban. Feintant par cette occasion, il reprit le pommeau de sa main pour porter une seconde atteinte avant de le déclencher... Déclencher ce fameux et si réputé Getsuga Tenshou à la couleur d'ébène, à faire frémir les plus faibles, les frissons épargnant les braves.

Inutile le comparer avec celui de cet idiot d'Ichigo qui n'en connaissait rien de sa véritable puissance. Non, ici l'ampleur de l'énergie libérée n'avait rien à voir avec un simple Getsuga bleuté. Soulevant le sable fin, il y creusa encore et encore, s'approchant du centre pour au finale venir décorer le désert d'un somptueux cratère. Cratère qui lentement disparaissait, les grains du sablon y chutant inexorablement pour le combler... Ne sachant pas s'il avait fait mouche, l'alter-égo de la fraise analysa les environs de son regard avisé. Ah, il se trouvait donc là ? Visiblement touché, le Zanpakuto arborait désormais une tenue déchirée au niveau de l'épaule gauche, par laquelle un filet empourpré s'écoulait longuement, dessinant de façon sinueuse des motifs sur la pâle peau de l'ennemi.

« Aaaah ah ah ah... Yaaaah ahahahahah ! »

Il ne put retenir ce rire digne d'un sadisme exacerbé, il était satisfait, complètement heureux et enjoué de pouvoir poursuivre ses joutes sans tuer directement celui qui lui faisait face. Assez, il en avait plus qu'assez de ces imbéciles qui lui concédait leur mort en un seul coup. Ricanant toujours entre ses dents, Shiro' observait l'ennemi qui venait de se retourner en prompt, semble-t-il embarrassé, gêné. Tsss, avant cela il avait pu remarquer un œil coléreux au travers de la fissure imposée au masque, ce noble perdait donc son sang froid ? Quoi qu'il puisse en être Shirosaki s'en fichait éperdument, pour l'heure il se contentait de jauger l'autre et de poser ses prunelles sur lui. Il traficotait quelque chose d'étrange, tournée, affichant son dos... Que manigançait-il ? Une attaque fourbe ? Fort peu probable étant donné le caractère ô combien « respectueux » du rigolo.

Ses gestes dissimulés achevés, Senbon' fit volte-face, un nouveau masque fermement posé sur son faciès, c'était donc ça... Tant de démonstration et d'inquiétudes pour un stupide masque ?! S'il l'avait voulu, le hollow en aurait profité de ce moment d'inattention pour mettre fin à ce duel, mais à quoi bon ? Quel en était l'intérêt ? Brisant la glace en balançant une tirade, le coincé admit la supériorité de Shirosaki sur son homologues, tss s'en était insultant. Comment osait-il en douter ? Pire encore, comment pouvait-il le comparer à ce faiblard ?!

« Oï, me compare pas à ce nul d'Ichgigo ! »

Ah vraiment, ça l'énervait, impossible, dire que ce mec osait faire un rapprochement entre la magnificence à l'état pur et ce rouquin... Peu importait, le présomptueux et insultant personnage comprendrait bientôt... Pour l'instant il adoptait une position bien curieuse, l'extrémité de sa lame dirigée vers le sol. Lâchant son étreinte, Senbonzakura laissa son arme s'enfoncer dans le sol, un voile obscure prenant possession des lieux, duquel jaillirent deux longues rangées de larmes aux proportions démentielles... Il l'avait déjà vu... Le Bankai... Eclatant, les monceaux de métal se dispersèrent en des milliers de pétales de cerisiers, plus tranchant les uns que les autres, quelle redoutable chose.

Maniant ses fleures avec panache, du bout de ses mains il les achemina sur l'être tout de blanc constitué. Une vitesse surprenante et un amas imposant difficilement esquivable. Faire face demeurait la seule solution, repousser le tout en une technique puissante. Dors et déjà emballé à cette pensée, Shirosaki leva Zangetsu et se prépara à frapper de toutes ses forces... Quand soudain son attention se porta sur une toute autre menace. Qu'est-ce que ?!
Une vague déferlante rougeâtre fusait sur eux, balayant sans vergogne les malheureux qui se trouvaient sur son passage. Les pétales furent chassés violemment tandis que Shiro' employa un Shunpo pour s'extirper de ce mauvais pas, sa tunique en pâtissant tout de même, écopant de quelques brûlures. Hurlant comme un dégénéré, notre antihéros se rua derechef sur Senbonzakura, s'aidant encore du ruban enroulé autour de la garde, jetant son armement qui étrangement passa littéralement à coté de sa cible... D'un geste vif et brusque, il tira sur le morceau de tissu, ramenant son trancheur d'âme vers lui qui au passage, découperait de part en part le masqué s'il ne se bougeait pas...

« Hey, le tas de goudron, ne t'en mêle pas ! »

Je rappelle que vous avez jusqu'au 30 Juin. Je vous demanderai dans ce cas de finir ce topic, comme vous le souhaitez. Je pense qu'un poste chacun suffira pour un final plutôt rapide. Aussi, il serait bien que Senbonzakura et Kazeshini attendent leur leader qui va venir ici pour vous ramener à la SS, tandis que les deux autres choisiront leur voie. (Je ne connais pas l'état actuel de chaque personnage)

Un fou, un malade mental… un tas de gazole à la voix stridente… un lutin qui joue avec ses faux, sans regarder où elles traînent… au secours. Qu’est-ce qu’il faisait là, lui ? Il avait rien demandé du tout d’abord. Il maudit une fois de plus le Zanpakutô renégat qui les avait entraînés, Byakuya et lui, dans cet infâme complot qui se tramait contre la Soul Society, et dans lequel ils jouaient un rôle primordial : ils étaient « deux taupes » (bien que le terme ne soit pas très élégant et peu approprié, puisqu’ils étaient loin de ressembler à des taupes), et de plus, ils étaient les seuls à connaître le véritable objectif du trancheur d’âmes manipulateur. Et pourtant, lui, Senbonzakura, s’en trouvait réduit à combattre une guimauve même pas comestible (quoique…) et qui désirait se battre, autant que lui, désirait la tranquillité… et la mort de son agresseur qui était encore en train de pousser un rire effrayant de sadique confirmé. Beurk… de quoi mettre la chair de poule à n’importe qui… sauf à lui… évidemment, vous ne pensiez tout de même qu’un mec qui s’était enfui de l’hôpital psychiatrique foutrait les jetons à un noble de son envergure, n’est-ce pas ?

Toutefois, il était vrai que ce drôle avait un potentiel énorme, aussi grand, voir même plus que celui du gamin éternel qu’était ce rustre de Kurosaki Ichigo. Non, pas que Senbon’ porte la moindre considération à ce genre de chose, mais il était toujours agréable de voir qu’il y avait toujours de la concurrence… Après tout, si personne n’arrivait à sa hauteur, il s’ennuierait bien… Il fallait avouer aussi que la perspective d’un combat après tant d’inactivité aux côtés de Muramasa ne lui déplaisait pas… En réalité, derrière ces apparences calmes, le Zanpakutô du Roku Ban Tai Taisho était en réalité un gamin turbulent, qui n’en faisait qu’à sa tête, et dont le seul maître était, est et sera toujours Byakuya Kuchiki, jusqu’à ce qu’il disparaisse en même temps que lui.

Et il ne disparaîtra pas aujourd’hui, on peut l’assurer sans problème. Personne (ou presque) n’avait réussi à sortir indemne d’un combat contre le noble masqué sous sa forme libérée. Il n’y avait strictement aucune raison pour que le destin se déroge à cette règle universelle. Aucune parfaitement. A vrai dire, le noble ne s’inquiétait absolument pas… pour le moment… Et la blessure que lui avait infligée la fraise blanche ? Un coup de chance, songeait-il avec mépris et suffisance. Elle n’était que bénine de toute façon : cela ne le gênerait pas considérablement lors de la manipulation de ses pétales. S

Senbonzakura Kageyoshi... Les Ombres Violentes d’un Millier de Pétales de Cerisier. Un nom parfaitement approprié à ce qu’était sa forme libérée. Une immense vague de pétales roses, aussi meurtrière qu’un tsunami de grande échelle, et aussi coupante que le fil d’un rasoir. La mort assurée pour quiconque, Arrancar, humains, ou Shinigami qui oserait s’en approcher. Shirosaki n’était peut-être membre d’aucune de ses « classes », mais cela n’empêcherait pas l’inévitable : il allait finir déchiqueté par ce magnifique nuage de pétales qui se dirigeait vers lui à toute allure, guidé par la main souple et rapide de Senbonzakura.

Mais un évènement inattendu se produisit à cet instant crucial, où Senbon’ allait peut-être pouvoir reprendre sa liberté et se consacrer à quelque chose de bien plus intéressant que de se friter avec un sadique de première classe. Une immense vague noire-aubrune, dégageant une odeur pestilentielle, et où il manquait un panneau « baignade interdite », se déversa sur les pétales du cerisier, les plaquant au sol, pour la plupart, les autres, sous l’ordre de leur dirigeant, se retirant le plus rapidement possible pour prendre de la hauteur et s’éloigner de cette… marée noire, il n’y avait pas d’autre mot. Shirosaki appliqua un Sonido pour se tirer de cet embarras. Senbonzakura, quant à lui, fixa d’un œil torve cette chose immonde qui ne l’atteint même pas et qui se répandait sur le sable blanc du Hueco Mondo. Re-beurk. Fichus Hueco Mondiens… Aizen ne leur avait pas inculqué le sens de la propreté et de la réserve apparemment… Quant à la politesse… n’en parlons même pas.

Mais le Zanpakutô à la chevelure longue et aussi sombre que le ciel d’encre sous lequel il se trouvait, dût renoncer au projet de déplorer les malheureuses conditions de vie des Hollows, Menos Grande, et autres qui se promenaient dans ce désert froid et inhospitalier : la guimauve tranchante venait de lancer contre lui une nouvelle attaque. Cette fois, il ne lui laissa pas le temps de lui infliger une nouvelle blessure. Il fit un Shunpô et se retrouva hors de portée de la vague puante et de la fraise n°2. Il jeta d’ailleurs à celui-ci un regard agacé avant de shunpoter à nouveau pour se retrouver dans les airs. Kazeshini semblait se trouver en bien mauvaise posture. Poussant un énorme soupir, il lança une partie de son nuage rose en direction de Lynao… enfin de son masque, la seule chose encore visible sous cette plaque de pétrole gluante et peu appétissante. L’autre partie, la plus importante, se dirigea vers Shirosaki et l’engloba en une sphère brillante, l’empêchant d’agir pendant quelques secondes, juste le temps qu’il s’occupe de cette… chose noirâtre. Elle devait d’ailleurs venir de libérer son Zanpakutô et en avait profité pour les attaquer, Shiro et lui. Bon Dieu, même en plein combat il ne pouvait être tranquille ? La seule solution était de neutraliser cette chose au plus vite. Il se contenta de lancer une attaque des plus rapides sur elle qui ne pouvait que la toucher, suivie d’une réplique (d’une gentillesse et d’une délicatesse honorable) à l’adresse de Kazeshini :

-Ne peux-tu pas t’en occuper tout seul ? Et évite de la laisser m’asperger de mazoute pendant que je combats, d’accord ?

C’était plus une question rhétorique qu’autre chose, enfin… Senbon’ avait l’habitude de s’exprimer ainsi avec les autres Zanpakutôs, et il n’avait pas l’intention de changer d’habitudes… Il retourna à son mouton qui venait de se libérer de la masse informe de ses pétales et se propulsa vers lui à toute allure, ses pétales à ses côtés, tels de multiples petites flèches lumineuses. Son reatsu commençait à éclore autour de lui, lui donnant l’air encore plus menaçant. Il avait l’intention d’en finir… tant pis s’il devait se donner à fond dans ce combat. C’est alors qu’il sentit une autre pression spirituelle se rapprocher de leur postion… Une énergie qu’il reconnut. Il grimaça : *Tssss…On peut pas être tranquilles deux minutes…*

Spoiler:

L'opération s'était déroulée sans incident notoire. Après s'être introduit dans le palais, Muramasa y avait cherché la présence des shinigami, chefs des arrancar ; il avait trouvé leur chef, Sôsuke Aizen, et avait franchi la barrière de son monde intérieur, cette partie de son âme qui renfermait son zanpakutô et ses pouvoirs. Comme toujours, ledit zanpakutô n'avait pas été difficile à convaincre... Peut-être trop facilement, même, mais Muramasa doutait que la jeune fille qu'il avait libéré ait succombé à son influence, comme tout ceux qu'il avait rallié sous sa coupe. Cette petite excursion au palais lui avait également permis de tourmenter un peu les âmes des arrancar qu'il avait croisé ; c'était une belle pagaille, la plupart des occupants de Las Noches avaient perdu une partie d'eux-mêmes ; certains s'étaient peut-être déjà faits tuer, allez savoir... Ce n'était pas le problème de Muramasa. Certes, découvrir que son pouvoir fonctionnait aussi sur des êtres qui n'étaient qu'à moitié shinigami avait été une expérience intéressante, mais il se souciait peu de ces créatures, et de ce qu'elles avaient engendrés sous son influence ; il ne portait d'intérêt qu'à leurs chefs, à ces hommes qui risquaient de s'opposer à Kôga dès que celui-ci serait libre.

Le zanpakutô avait bonne mémoire, il ne lui fut pas difficile de revenir sur ses pas et de retrouver le désert. Une fois dehors, avec comme toujours les mains dans les poches de son manteau, il fouilla le grand espace vide qui s'étendait tout autour de lui, à la recherche des reiatsu de ses hommes. Il repéra assez vite deux d'entre eux, qui se battaient non loin de là ; Byakuya Kuchiki n'était pas parmi eux, mais une fois qu'il se fut rendu sur place, Muramasa reconnut le zanpakutô du noble : Senbonzakura. Lui et Kazeshini, un fou furieux avide de combat, affrontaient deux adversaires, dont l'un n'était pas étranger au leader de la rébellion...
Il s'agissait du hollow tapi dans l'âme d'Ichigo Kurosaki, celui qu'il n'était pas parvenu à convaincre de rejoindre ses troupes. Ça avait été vexant, sur le coup, que son pouvoir n'opère pas totalement sur lui, mais après tout, malgré son incroyable puissance, les choses étaient sans doute mieux ainsi : un élément aussi incontrôlable que lui n'aurait pu que semer la zizanie et compromettre ses plans. En se déclarant ouvertement leur ennemi, il avait le mérite de clarifier la situation.
Enfin, pour l'heure, ce n'était pas une priorité de s'occuper de lui.

Trop rapide pour que ses mouvements puissent être perçus par un individu normal, Muramasa sembla se matérialiser à à peine deux mètres de Senbonzakura. Ses sourcils étaient froncés et il ne souriait pas ; même si l'opération s'était déroulée sans encombres, il ne voulait pas se réjouir avant d'avoir quitté le Hueco Mundo, et surtout, donner des ordres le sourire aux lèvres ne lui ressemblait pas. Son expression sévère était tout particulièrement adressée à Kazeshini : qu'il soit ou non en train de se battre, si on chef lui disait de se replier, il se repliait sans discuter. Il y aurait d'autres occasions... sans doute plus existantes que cet étrange tas de mazout qui lui faisait face, et qui demanda à Muramasa un petit effort pour ne pas hausser un sourcil intrigué.

« Nous en avons fini ici, dit-il aux zanpakutô qu'il était venu chercher, Il est temps pour nous de rentrer. »

Aussitôt après, il leva l'une de ses mains et traça un trait dans le vide. Ce fut comme si ses ongles avaient déchiré l'air lui-même : une longue fissure noire apparut, dont les bords irréguliers s'ouvrirent comme une bouche pour découvrir l'entrée d'un garganta, ce long couloir obscur qui reliait le Hueco Mundo aux autres mondes. D'un signe de tête, Muramasa fit signe à ses hommes de s'y engouffrer. Avant de s'élancer à son tour dans le passage, il dévisagea une dernière fois le hollow du jeune humain.
Histoire qu'il sache qu'il n'aurait pas autant de chance la prochaine fois.

Spoiler:

Ce combat semblait pleinement entamé entre nos deux protagonistes qu’étaient Ichimaru Gin et kuchiki Byakuya, mais cependant, le sort décida que ce n’était apparemment pas en ce jour qu’ils règleront leurs compte. Telle une vieille farce, surtout vis-à-vis du noble Roku ban tai Taisho, qui malgré son obstination première, ne pouvait point couper à cet appel. En effet le noble reconnu parfaitement le reiatsu de Muramasa qui lui intimait de revenir au plus tôt. Sa lame rencontra une fois de plus celle de son opposant, avant qu’il ne se décide enfin à coopérer. Byakuya ne pouvait se soustraire à ce pourquoi il était aux côtés de ce zanpakutoh et cela ne calma nullement sa frustration grandissante en son sein, bien que son visage semblait parfaitement hermétique. D’un shunpo il se recula de Gin et rangea son sabre en son fourreau non sans voiler ses yeux gris, concédant à un faible regain de déception, où était ce un rêve..sur ces traits si placides et indifférents ? Non vraiment, le noble réagissait à contre cœur, mais sa conduite ne devait point se soustraire à son désir, car sa situation n’était point des plus solides. Ses lèvres s’animèrent lentement afin de concéder envers Gin quelques mots bien atones :

- Je me dois de rompre notre échange Ichimaru gin….

Puis il lui tourna le dos avant de disparaitre sous plusieurs shunpo dans la direction de Muramasa ainsi que de Senbonzakura. Le désert ne devait point être une chose apprécier par ce dernier, mais qu’importe, ils savant tout deux ce qu’ils avaient à faire après tout. Le reste n’était que futilité et abscond. Son allure ralenti un peu alors que Byakuya entraperçut les différents protagonistes des lieux, et se stoppa juste à quelques pas de Kazeshini. Sans lui porter le moindre regard, il passa au devant de lui et vint se poster juste aux côtés de Muramasa, qui ne semblait point vouloir attendre plus que cela. Aucun mot ne fut échangé, comme à l’ordinaire. Le noble n’avait rien à proférer, et n’avait aucun compte à rendre… Lentement la frustration fut étouffé au plus profond de son être, sachant pertinemment que ce combat ne serait que parti remise et une raison de plus pour ne point s'arrêter et continuer à avancer sur ce fil de fer. Sa respiration se fit plus profonde, imposant un calme des plus dérangeant pour certains et afficha un air totalement indéchiffrable. Il se contenta simplement d’observer discrètement Senbonzakura qui avait essuyé quelques combats apparemment au vu de ces étranges taches de mazoute sur son vêtement. Ses yeux balayèrent rapidement l’assistance avant que le leader de tout cela ne se manifesta de sa voix calme et trainante. Apparemment ce dernier n’avait point languit en cet endroit car d’autres Zampakutoh s’étaient joint à eux.

Quelques secondes plus tard le passage se fit et le noble attendit simplement que Muramasa intime le mouvement pour le suivre. Chose qui le changeait de l’ordinaire car en tant que noble s’était constament à lui d’ouvrir la marche. Mais ici il n’était plus que Kuchiki Byakuya, un traître envers les siens et ses amis..uhm….amis, en avait il réellement après tout. Qu’importe la solitude avait toujours été sa compagne durant ces cinquante dernières années, en quoi cela changerait….oublierait-il Rukia ? ….Renji.. ou encore cet avorton d’Ichigo ?.. non surtout point ce dernier, il lui devait déjà bien assez en réalité. Ses yeux se dévoilèrent lentement au fil de sa progression, arborant un air des plus insondable, snobant parfaitement par son silence tous ceux qui l’entouraient, ressentant la présence de son seul allié en cette histoire, son zanpakutoh, Senbonzakura. Le froissement des tissus couvrait le silence, et fut réduit au silence lorsque la porte se referma derrière eux. Seul, sur le sable les traces de leurs pas restaient encore visible….mais point pour longtemps car dans le désert tout est mobile et changeant…. Tout comme le voulait le dicton « Tout est mobile ou bien périt dans le désert. » Le vent souffla sur les dunes et peu à peu les traces disparurent pour ne former que des sillons harmonieux sur ce paysage soit disant mort….

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