Juan Primavera, écolo-terreur version arrancar.

Nom : Primavera (bien mettre l'accent sur le VERT, et ne pas rouler le R... il est très arrêté sur la prononciation de son nom xD)
Prénom : Juan
Âge : 19 ans d'apparence, 467 ans 1/2 en réalité (ça fait un bail... mais il compte chaque année, et même les demis ^^)
Sexe : Masculin
Camp : Hueco Mundo
Race : Arrancar N°66, ancien Fraccion de Nel, avant qu'elle ne quitte Las Noches

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Caractère : Etrange, certainement pas sobre, Juan Primavera (ou « de Primavera », ça dépend de son humeur), est un personnage bien à part, bien différent, et qui en est fier. La première chose qui saute aux yeux, chez lui, est d’ailleurs une forme de narcissisme : il se permet de regarder de manière condescendante, voir ouvertement méchante, quiconque ne remplit pas ses « critères ». En fait, les seules personnes qu’il ne snobe pas sont le trio en tête du mouvement : Aizen, Tousen et Gin. Même les espadas n’échappent pas toujours à ses regards ou mots désapprobateurs et critiques. Oui, à défaut d’un terme plus poli pour décrire cet aspect de Juan, je me permet de dire que c’est une très grande gueule xD.

Mais ceci n’est que peu dire sur l’arrancar N°66, qui pousse son originalité -quoique le terme « tentative » soit approprié ici- au delà du raisonnable. Tâchons donc de décrire, avec force détails et explications, les divers recoins de la personnalité de l’énergumène :

Juan Primavera est, avant toute chose, un Arrancar démarqué des autres par son affiliation. En effet, il ne correspond ni à un animal, comme Grimmijow, Halibel, etc., ni à un concept, comme Yammy ; Ni même à un objet, comme le Fraccion de Noitora, dont j’oublie le nom. Non, cet arrancar-là est lié à… une couleur ! Je vous l’assure, Juan Primavera est, à la base, l’arrancar du vert !

Ce détail, en apparence anodin, explique en fait les trois quarts à peu près de son caractère. En effet, chaque arrancar, si l’on regarde bien, est associé à une forme de péché, de faute ; tous, pas seulement les espadas (il n’y a qu’à voir le comportement de certains, du style Findor ou Shawlong, pour s’en convaincre). Si l’on devait associer à Juan une faute, ça serait celle de l’obsession hyperbolique, une fascination exagérée à l’extrême, au point que toute sa vie même repose sur l’objet en question de la fascination. Ici, en l’occurrence, c’est le vert ! Juan est irrémédiablement obnubilé par cette couleur, qui symbolise pour lui l’absolu, le divin, le tout ! La vie nouvelle avec le printemps, le mystère, la magie ; il lui attribue toutes les qualités qu’on peut lui attribuer, et même celles qu’on ne peut pas. Juan tente de faire du vert un concept universel… ce qui au fond, il faut le dire, est désespérément con !!! Mais ce n’est pas pour ça qu’il va lâcher l’affaire. Déjà, à tout moment de sa vie, il est vital pour lui de porter du vert sur soi, et beaucoup de préférence, d’où le fait qu’il ait troqué l’habit habituel des arrancars pour un similaire, mais vert de partout. Cela explique aussi son narcissisme ! Oui, en réalité, tout ceux qu’il snobe, excepté Aizen et compagnie, sont en fait ceux qui ne portent pas de vert sur eux ! Si la personne en porte tant soit peu, il lui sera courtois. Si elle en a beaucoup, il lui sera très respectueux. Si le vert fait partie intégrante de sa physionomie, il sera en admiration la plus totale (vous comprenez maintenant pourquoi c’était le fraccion de Nel… ^^). Un conseil : regardez attentivement l’arrancar que vous croisez dans les couloirs. S’il a du vert sur lui, alors qu’habituellement ce n’est pas le cas, c’est qu’il s’est attiré les foudres de notre cher Juan. Les jours où il est vraiment en pétard, on croirait que c’est la St Patrick chez les bas-rangs de Las Noches !

En raison de sa fascination pour le vert, Juan a aussi développé un style de vie hyper-respectueux de l’environnement, d’où son petit surnom « éco-terreur » (non, pas « éco-terroriste », il est tellement inquiétant avec sa manie qu’il fout la frousse à lui tout seul). Les jours où il sort de ses quartiers sans aller en mission, il est généralement en train d’essayer de faire pousser un jardin des plantes dans l’enceinte principale du palais… mais il ne semble pas vraiment capter que ça ne marchera pas dans un désert ! Ou alors on le verra repeindre un élément de décoration en vert, ou autre activité similaire. Il est très pointilleux et engagé dans ce qu’il fait. Il adore aussi les balades en forêt dans le monde réel ou dans la Soul Society, ce qui explique souvent qu’on ne l’envoie pas en mission dans ces endroits-là pendant les saisons chaudes: il passerait trop de temps à admirer le paysage, sans compter qu’il n’oserait pas faire usage de son plein pouvoir, de peur de saccager un si bel endroit… il serait encore plus un boulet qu’il ne l’est déjà quoi ! Tout ce qui n’a pas de vert est moche à ses yeux, à l’exception d’un peu de gris… mais mas n’importe lequel, le VERT-de-gris ^^ ! Désespérant n’est-ce pas ? Juan Primavera se veut une âme d’artiste, raffinée et subtile… ce qui le rend excessivement pompeux ! Et vu son obsession première, soyez certains que chacune de ses peintures, lorsqu’il s’y essaye, sont faites avec toutes les variations possibles, imaginables ou non, de la couleur verte. Ses poèmes et chansons (il accompagne généralement avec une guitare sèche peinte en vert avec le trou central en forme d’arbre… un M écolo quoi ^^), comportant au moins une fois la syllabe « Ver » bien accentuée à chaque ligne, produit un effet similaire à Assurancetourix au milieu d’une horde de gaulois bourrés. Le seul point qui lui réussit, c’est la botanique. En fait, ses quartiers sont ressemblants à une forêt tropicale (on se demande comment il a réussit à faire ça…), tellement dense qu’on sent l’humidité à 10 mètres avant de s’approcher de l’entrée.

Juan a un tic verbal qui est de prononcer la syllabe « ver » les trois quarts du temps avec une brusque hausse de ton qui fait sursauter ses interlocuteurs. Ceci se produit de façon imprévisible et même quand il chuchote. Et le pire, c’est qu’à la base, sa voix est très douce. Autant vous dire que la principale chose qu’on entend de lui à longueur de journée, c’est « VERT !!! » ^^ ! Plus encore, il ne peut s’empêcher d’utiliser cette syllabe au moins une fois par phrase, quitte à prendre des tournures des plus alambiquées et stupides, ce qui ne le gêne pas outre-mesure : il adore les métaphores et les jeux de mots de toute façon ! Il a aussi, pour en rajouter une couche à ses nombreux défauts, une attitude gamine lorsque son égo est blessé. Là, vous vous demanderez certainement : pourquoi un tel manque de répartie, vu son âge si avancé ? Très simplement, Juan ne peut pas concevoir qu’autre chose que le vert puisse triompher, même si on le lui démontre une infinité de fois, et il est toujours si confiant de sa supériorité colorante qu’il ne prend jamais la peine de deviser un plan B en cas de défaite, verbale comme martiale. Il y a certaines fois ou son instinct prend le dessus, et auquel cas, comme un enfant pourri gâté, il entre en colère noire, et là, mieux vaut filer doux. Mais sinon, on entend généralement de sa part « mééééheuuuuu » pour toute réponse à une vanne ^^. Un gros mioche de presque 500 ans en somme !

Lorsqu’il n’est pas dans cet état, Juan peut être tellement à fond dans ses activités destinées à honorer le vert que c’en est maladif. Ses yeux ont souvent une lueur psycho-maniaque, malsaine, voire sadique et menaçante sur les bords, lorsqu’il pense à quelles misères faire subir à quelqu’un. Oui, il est gamin jusqu’au bout, donc aussi dans la manie de rendre la monnaie de sa pièce à celui qui l’embête, en traître s’il le faut. Et il n’est pas direct dans son approche : il est très raffiné dans la torture, et en connait long sur les venins végétaux, par exemple… Son allure générale est délibérément calculée pour être sensuelle et charmante, à la fois noble et suggestive. Il a pas mal le démon de la luxure en ami, oserais-je dire ^^. Après tout, si l’on honore le vert, pourquoi le héraut du vert n’honorerait-il pas en retour, hé hé hé…

Enfin, un autre conseil entre amis : ne JAMAIS sortir une phrase comportant trop de mots en « ver ». Il se lancerait dans des discours interminables, et le vanner n’est pas toujours la meilleure des solutions, surtout lorsqu’on est du menu fretin à Las Noches.

Physique : Que dire sur le physique de notre cher « ami » Juan Primavera ? Un corps jeune, très bien préservé par le temps (surtout lorsqu’on connait son âge ^^). Une taille d’environs 1m70, pas très grand, mais pas non plus nabot. Les muscles sont finement sculptés sur son corps, saillant mais pas trop, pas de démonstration gratuite de virilité mal placée. Il est élégant sans avoir l’air imposant, jouant tout dans la subtilité. Ses ongles sont toujours soigneusement manucurés, et si l’on regarde de plus près, ils sont en fait discrètement taillés en forme d’épines au bout du bout. Imberbe, son visage arbore des traits angéliques, irradiant l’innocence enfantine d’un gamin de 10 ans. Innocence qui fait un contraste inquiétant avec ses yeux. Verts émeraude, dotés de nuances sur les feuilles de printemps nouvellement écloses, ils sont tout à fait magnifiques, et le seraient bien plus si ce n’était pour cette flamme qui brûle derrière, pratiquement démoniaque sur les bords, en tout cas on ne peut plus maniaque. Il peut toutefois se contenir et la cacher, notamment lorsqu’il fait une requête à quelqu’un, auquel cas il a réellement on ne peut plus l’air d’un bout de chou adorable à qui on ne peut rien refuser. Son sourire est celui d’un tombeur, et combiné à son regard, ils lui procurent, par moments une allure enfantine qui donne envie de le câliner (avis aux amateurs : qui s’y frotte s’y pique), ou encore lui donne un côté romantique, et par d’autres une aura extrêmement suggestive, une force séductrice qui n’a absolument rien à voir avec le sentimentalisme pur, et qui semble dirigé vers une autre forme d’affection, si vous voyez ce que je veux dire... Non pas que ce soit forcément le cas, mais on ne peut jamais s’empêcher de penser ça dans ses moments-là. D’ailleurs, présentez-lui une jolie fille, qu’importe qui elle soit, qui porte du vert sur elle et qui ne donne pas l’impression d’une forte personnalité, regardez-donc comment il va la scruter, ça fait peur… Si c’est par contre une fille dans le style forte tête comme Nel, il sera plutôt à lui faire la révérence et des déclarations sentimentales à genoux xD. Son masque n’est qu’une excroissance sur la joue gauche, une simple forme oblongue et arrondie, assez visible, mais aussi peu influente sur son apparence qu’un petit grain de beauté. Il lui confère même une petite touche de mystique supplémentaire. Toujours dans le registre purement physique, nous en arrivons enfin aux cheveux… et c’est là que le bas blesse ! En effet, ses cheveux sont blonds comme les blés. Ils ont un brushing d’enfer qui vaut bien L’Oréal, une texture soyeuse, une longueur jusqu’à la nuque qui accentue sur son aspect jeune… bref, ils sont de toute évidence très bien entretenus. Seulement voilà, Juan aime le vert, et veut en porter sur lui le plus possible lorsque l’occasion le demande. Ainsi, lors des évènements publics comme les réunions des troupes au grand complet, ou même aller en douce mater un festival humain, il va se les rendre vert. Mais la bombe à cheveux n’est pas forcément facile à trouver, et fastidieuse. Alors à la place, dans son zèle et sa connerie, il va se… plonger la tignasse dans une bassine de chlore ultra-concentré qu’il a caché quelque part dans sa piaule ! Et comme ses cheveux sont blonds, ils vont bien passer au vert ! Et il va rester comme ça jusqu’à ce que ça s’estompe. Les ragots fusent comme quoi son oreiller porterait des traces de carbonisation… on se demande pourquoi… ^^

Pour ce qui est des vêtements, Juan porte le même habit que tout arrancar. Toutefois, comme dit plus haut, le sien est entièrement vert. Certains disent qu’il se l’est fait faire, d’autres qu’il a vu l’habit pour la première fois, l’a prit sans dire mot, a filé dans sa chambre et l’a touillé dans le bac de peinture verte indélébile avec lequel il repeignait sa chambre à ce moment-là pendant le reste de la journée. Il le porte quelque peu décontracté, laissant le col ouvert jusqu’à son sternum, laissant apparaitre son trou de Hollow à ce niveau-là. Rien de bien particulier à part ça, si ce n’est qu’il porte une bague en forme de feuille stylisée, en émeraude, à son annulaire gauche.

Histoire:

Vie humaine, avant le noir…
L’histoire de Juan de Primavera commence il y a longtemps, très longtemps ! En fait, son nom à la « Spanish Fashion » des arrancars ne lui et venu qu’après sa métamorphose par les soins du Hogyoku. Auparavant, et jusqu’à aussi loin qu’il se souvienne, il fut Eristate, éminent philosophe, botaniste et mathématicien de sa ville, située non loin de Marathon, dans une enclave isolée vivant selon les traditions des ruines de l'empire Grec. Il excellait en le domaine de soins végétaux et était fin professeur, des élèves affluant de la région pour apprendre directement de lui son savoir. Tous les mois, il mettait au point un remède nouveau, ou améliorait drastiquement un ancien. Connu, aimé de tous, Eristate avait tout pour lui. Sa femme lui avait même donné un fils, honneur suprême. Il adorait chaque jour Déméter, Athéna et Asclépios, les trois plus grandes incarnations de la nature, du savoir et de la guérison. Bien évidemment, les grands attirent toujours les envies, et il ne lui tarda pas de voir les critiques à l’encontre de ses méthodes fuser contre lui. Critique qu’il assumait pleinement, et contre lesquelles il répondait avec calme et sagesse. Il savait tirer de ses erreurs. En fait, il semblait pratiquement intouchable. Mais bien entendu, le destin n’allait pas le laisser s’en tirer comme ça. Ainsi, se rendant un jour à Delphes, pour visiter un ami herboriste également doué en son domaine, il alla voir, comme tout croyant qui se respecte, la Pythie. Celle-ci, prise dans ses fumerolles douteuses, qu’Eristate regardait avec scepticisme, lui annonça une terrible prophétie : son fils allait mourir aux mains d’une mal qu’il ne saurait guérir. Malgré son regard critique sur les paroles de l’oracle, Eristate vit germer en lui la graine du doute, et, afin de s’assurer que ce jour n’arrive jamais, il prit la décision d’étudier et de trouver un remède absolu, don des dieux par les plantes, grâce auquel l’homme pourrait enfin devenir immun à toute maladie. C’était en soi une légère faille à son raisonnement initial, qui voulait que chaque « essence » végétale permette de guérir un certain mal, et que chaque plante comportait une mixture d’une ou plusieurs de ces essences, qu’il fallait identifier pour savoir ses propriétés. Mais cela ne le gêna pas outre-mesure, et lui et ses apprentis se mirent à la tâche.

Le plus ironique était que lui et ses élèves progressaient à vitesse fulgurante et dans le droit chemin. Eristate ne le savait point, mais il était doué d’un reitai (ou corps spirituel) très développé, plus que la moyenne, lui permettant une capacité intellectuelle supérieure, et une aisance à dénicher la vérité même si ses raisonnements en eux-mêmes étaient faux. Il trouvait la vérité par instinct. Ainsi, jour après jour, lui et ses apprentis achevaient ce qu’ils nommèrent le « vert divin », l’essence végétale ultime, qui guérirait tout. Malheureusement, les jaloux étaient toujours présents, et sans sommation, un éminent politicien, descendant de l’un des accusateurs de Socrate, le déclara coupable d’hérésie pour tenter de braver les dieux. La nuit-même, de soldats saccagèrent l’atelier, l’école, et le jardin des plantes d’Eristate. Tentant vainement contre 30 hommes en armes de défendre son travail, ce dernier prit un coup de glaive dans le foie et mourut lentement dans une douleur lancinante et atroce.


la vie dans la mort par le venin du guérisseur…
Obsédé par son œuvre inachevée, Eristate devint un esprit terrestre, liée par sa chaîne du karma à son domaine. Un mois plus tard, son fils fut victime d’une variante archaïque de la syphilis, attrapée par une coupure, maladie encore à ce jour incurable lorsque les symptômes sont déclarés. Dans l’heure qui suivit la mort de son enfant tant aimé, tourmenté par les remords et les regrets, Eristate devint un Hollow monstrueux, peu imposant de taille, mais dont le reiatsu et la force du regard pourraient faire fondre l’acier. Laissant sa famille, son instinct premier fut de maudire et tuer ses malfaiteurs, avec son nouveau pouvoir. Il tenta aussi de s’en prendre à la Pythie, mais un Shinigami apparut et le blessa, le forçant à fuir. Ce qu’il ne sut jamais, c’est que pendant qu’il était affairé, un autre Shinigami vint accompagner l’âme de son fils à la Soul Society. Plus tard, il devint un puissant Shinigami de la huitième division, atteignant même le grade de troisième siège. On ne sait rien quand à son existence ou activités de nos jours.
Poussé par sa rage surnaturelle, Ersitate dévora âme après âme, hollow après hollow, sans se soucier de quoi que ce soit. Une âme là, il ne réfléchissait même pas, il ne donnait même pas dans l’orgueil : il bouffait. Cinq Shinigamis de bas rang finirent même dans son ventre. Lorsqu’il se trouva parmi ces regroupements de puissants hollows cannibales, qui donnent naissance à un Gillian au terme d’un sanglant combat, il croqua sans sommation tous les partis présents, sans qu’ils aient pu se défendre ou se battre entre eux. De fait il devint un Gillian tout à fait inhabituel, préservant son sens de l’individualité.

La suite, on l’imagine bien. Continuant de dévorer les siens, Ersitate passa rapidement de Gillian à Adjuchas. Plus petit que la moyenne de ses derniers, il avait aussi la forme la plus humanoïde, en raison de ses pouvoirs, que je préciserais dans la section appropriée. En fait, on aurait cru, à distance, avoir affaire à un Vastorode. Seul son reiatsu nettement moins fort le trahissait.Bien que redouté dans le désert blanc, il s’en est prit de belles, et s’est déjà fait croqué à plusieurs reprises. On ne remercie jamais assez la régénération instantanée dans ces moments-là, mais la nature étant ce qu’elle est, il suffit qu’un menos de même niveau que soit avale quelconque partie de son corps pour stopper toute progression ou régression, et figer la victime dans son état actuel. C’est ce qui arriva à Eristate. Il n’en restait pas moins craint des Adjuchas, et inspira la terreur dans leurs rangs pendant plus de 400 ans. Son pouvoir misant sur le psychologique, vicelard à souhait et mortellement efficace, attira un jour l’attention d’un certain Shinigami traître, qui se constituait une armée de hollows étrangement spéciaux et puissants. Il recruta donc notre ami comme assassin, lui proposant une vie nouvelle. A terme d’essais en mission plus que fructueux, il fit de lui un arrancar. Ersitate devint dès lors Juan Primavera. Le Hogyoku l’ayant transformé en quelque chose à mi-chemin entre humain et hollow, une partie de son ancien être refit surface, mais pervertie par son coté obscur. D’où sa manie on ne peut plus étrange et inexplicable pour le vert. A la différence des autres arrancars, il fit des pieds et des mains pour choisir son propre numéro, le 66. Pourquoi ? Simplement, lors de ses missions dans le monde humain, il prit un bref intérêt pour l’informatique et le code HTML. Et il se trouve que le 006600 est l’un des codes hexadécimaux du vert, de même que 009900. Ce dernier étant un 66 retourné, quoi de mieux pour emblématiser sa passion ? Il n’est donc pas numéroté comme les autres arrancars, c'est-à-dire par ordre de naissance, et contrairement à eux il arbore fièrement son numéro, un peu comme les espadas. Il est néanmoins l’un des plus anciens serviteurs d’Aizen dans le Hueco Mundo, bien que certainement pas le plus fort ni le plus efficace (mais Aizen était dans ses débuts. Faut faire avec ce qu’on a xD). Il devint l’un des Fraccion de Nel, à qui il vouait une admiration et une loyauté sans faille, pour la simple raison qu’elle avait des cheveux verts très visibles. Suite à son départ de Las Noches, il préfère rester au service direct de Aizen, la seule personne qu’il respecte sans qu’elle ait à porter du vert pour le flatter… et c’est là qu’on commence notre histoire !


Test RP: (Que pour les personnages prédéfinis - incluant les Zanpakutoh. Minimum 30 lignes, sujet au choix.) Test à venir, je n’ai juste pas encore définit le point de vue narratif du personnage.