Des tentacules, encore des tentacules ^^

Fiche technique

Trancheur d'âmes

Nom du Zanpakuto : Trepadora

Forme scellée : Sous sa forme scellée, Trepadora ressemble à un kôdachi, autrement dit un petit sabre de 40 cm de long. Attention, il n’est pas à confondre avec la Wakisashi, qui est plus lourde, un peu plus longue et sensiblement moins courbée. La Tsuka est façonnée en ivoire, recouverte de deux tissus différents, de deux nuances différentes de rose bonbon, soulignant le coté très « poutchou » de Luppi, y comprit en combat, qu’il soit verbal ou martial. D’apparence plus douce que le textile habituel recouvrant les poignées de Katana, ils seraient s’une consistance proche au coton. Les deux tissus sont cousus ensembles dans une version quelque peu plus complexifiée des habituels tressages en losange sur une Tsuka normale. La garde, elle, est en forme d’étoile à quatre branches, de forme assez semblable à un losange. Elle est inhabituellement large pour une arme de ce gabarit, et semble être là dans le but de procurer une défense optimale au porteur. Elle est forgée dans un alliage de fer assez foncé, et quelque peu terne en apparence. Un psychanalyste en herbe y verrait un rappel de ce qui a été dit plus haut, à savoir le fond assez morne de ce personnage obligé de constamment se défendre sans fautes permises à chaque moment de sa vie. D’un point de vue plus concret pour l’observateur avisé, on notera une ressemblance frappante avec la garde de Hyorinmaru, le zanpakuto de Hitsugaya. Même taille, même forme, juste une couleur différente. La lame, pour le leu que l’on ai vu d’elle, est assez courbée, et d’un gris un peu plus foncé que la moyenne, faisant de ce sabre une combinaison frappante de couleurs nyan nyan et de sobriété terne. Le fourreau donne dans le même style, mais en inversé. Ici le rose prédomine sur quasiment toute la longueur, tandis que le gris se trouve sur le capuchon du fourreau et à sa pointe. Contrairement aux armes classiques, il est porté par Luppi au niveau des côtes et non à la ceinture, et attaché à ses vêtements de façon presque fusionnelle, disposé à la perpendiculaire de Luppi.

Ce qui surprend dans l’utilisation de Trepadora, c’est surtout le manque de celle-ci. En effet, Luppi n’utilise jamais son arme en combat direct sous forme scellée. C’en est à se demander pourquoi elle est là. On notera que généralement, un Kôdachi est une arme utilisée soit en double, soit comme sabre d’appoint avec une arme plus grande. Seule, il s’agit plus d’un outil de défense personnelle, et au vu du caractère du personnage, c’est probablement dans ces situations où il se sent le plus menacé qu’il va oser la dégainer. Autrement, Luppi combat au Hakuda, c'est-à-dire à main nue, laissant son arme au fourreau, et ne la dégainant, que lorsqu’il est sur le point de libérer son pouvoir. Il se bat essentiellement dans les airs, son pouvoir requérant un grand espace pour pouvoir être pleinement utilisé.

Description et prononciation de la libération Shikai - Bankai : Pour relâcher sa pleine puissance en tant que Sexta Espada, Luppi dégaine son zanpakuto partiellement, laissant apparaitre environs la moitié de la lame, et prononce les mots suivants : « Kubire, Trepadora » (étrangle, vigne rampante). Une forte propulsion de reiatsu rose se produit alors, forçant tous ses ennemis à reculer le temps de sa transformation. En même temps, une épaisse fumée blanche à la consistance évoquant quelque chose de bien moins subtil et propre émane de son corps, cachant sa vue aux autres sur le terrain. Elle se dissipe quelque temps après la transformation complète de Luppi, lui donnant l’initiative lors de la suite combat. D’ailleurs, il ne perd jamais de temps pour sonner la charge. Lorsque la fumée se dissipe, on découvre Luppi sous une forme quelque peu altérée, quoique très légèrement. Sa forme humaine est complétée par une sorte de harnais en os blanc comme neige, et se moulant parfaitement à son corps. Il est composé de quatre « boucles » passant par-dessus les épaules et sous les bras de Luppi, qui sont attachées au devant, au niveau de son sternum, par quatre accroches ovales, blanches elles aussi. La tête de Luppi est coiffée, en lieu et place de son maque en forme de barrette, d’un caque assez semblable à un casque de sécurité comme pour un cascadeur ou un cycliste, mais dénué sur le sommet du crâne et laissant les joues à l’air libre. La forme du masque de Luppi en mode humain est désormais située à l’avant du casque et joue de point central à sa symétrie parfaire. Toutefois, le plus important est ce que le « harnais » le Luppi soutient : une forme de roue, assez ressemblante à une roue à aubes, comportant huit « pointes ». Ces pointes sont en fait des sorties en forme de tubes d’où émanent huit tentacules blanchâtres et extensibles pratiquement à volonté. Il semble que la roue qui les maintient en place dans le dos de Luppi soit mobile et puisse tourner dans un sens comme dans l’autre, et ce à Haute Vitesse.

Technique(s)

Pouvoir N°1 : Luppi peut étendre ses tentacules à une longueur indéfinie, mais on a observé des pointes allant jusqu’à la centaine de mètres. Il peut le faire à vitesse suffisante pour anticiper un Shunpô ou un Sonido Basique et avec ses huit tentacules en même temps. Ce pouvoir lui procure une admirable portée et la capacité de se battre avec jusqu’à huit adversaires en même temps. Luppi peut donner des coups puissants avec ses tentacules, qui font environs la largeur d’une tête humaine et sont donc par conséquent assez lourdes. Leur faiblesse est leur relative fragilité : elles peuvent facilement être tranchées par une lame moyennent forte. Luppi compense cela en étendant toujours plus loin, mais cela lui coûte de l’énergie.

Pouvoir N°2 : Luppi immobilise ses ennemis à l’aide de ses tentacules, en les enroulant autour d’eux. Il peut ainsi leur taper la tchatche, ou les taper tout court, selon son humeur. Il peut le faire jusqu’à huit ennemis, mais ne peut alors infliger de réels dégâts, ses tentacules pouvant étreindre fortement, mais pas assez solides pour réellement serrer un adversaire au point de lui briser les côtes. Il peu toutefois lui limiter le souffle. Luppi ne peut infliger de sérieux dégâts à un ou plusieurs adversaires immobilisés seulement s’il possède autant de tentacules libres pour la sale besogne (donc immobiliser et blesser en même temps limite son nombre de victimes à quatre maximum).

Pouvoir N°3 : Technique défensive de zone, Luppi fait tourner sa roue dorsale et ses tentacules à haute vitesse, façon ventilo surdimensionné, dans le but de violemment repousser tous ses adversaires et rétablir une portée adéquate. Cette attaque doit impérativement jouer sur l’effet de surprise, sinon elle est facilement esquivable.

Pouvoir N°4 : Technique la plus forte de Luppi, il concentre la force de tous ses tentacules sur un seul adversaire. Cette technique, surtout combinée à son Pouvoir N°5, est suffisamment forte pour percer pas mal de hierros et autres barrières (il a tout de même démoli de Bankai de Hitsugaya) et infliger d’important dégâts.

Pouvoir N°5 : Luppi fait tout simplement pousser une forêt de pointes sur le bout de ses tentacules, pour infliger des dégâts supplémentaires. Cette technique peut être combinée avec tous les pouvoirs, excepté lors d’une immobilisation (à savoir : Luppi ne peut pas se servir de pointes avec un tentacule qui retient déjà un adversaire), mais alors cela coûte beaucoup plus à Luppi que d’ordinaire


Autres pouvoirs : Comme tous le Espadas digne de ce nom, Luppi possède les pouvoirs suivants :
Hierro, Sonido, Bala, Cero, Gran Rey Cero.