Areku Kaerizaki ► Arrancar Exilé • Ex-secunda Espada •
█ Messages : 8 █ Date d'inscription : 27/05/2010
PROFIL Faction: Karakura Points : (0/1000) Votre affilié : Salamandra
| Sujet: Areku Kaerizaki Mer 9 Juin - 17:38 | |
| Votre personnage Nom : Areku Prénom : Kaerizaki Âge : 478 ans dont 35 de vie charnelle. Sexe : masculin Camp : Karakura Race : Arrancar / Si mon niveau me le permet : ex-Espada (Le grade propice à mon niveau)
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Versatile. Lunatique. Voila deux adjectifs qui qualifieraient correctement l'arrancar. Ses traits nonchalant sont à l'instar de son apparente placidité. Mais les traits de caractères de l'ancien espada sont bien plus complexes à discerner. Sa forte addiction à toutes sortes de substances psychotropes voilent en partie ses penchants destructeurs et son coté bestial. Dans une torpeur médicamenteuse presque continuelle, ses songes éthérés inhibent l'énergie de la démence qui sommeille en cet ancien mangeur d'âme. Bien que sa transformation en arrancar lui ait permis de recouvrer une humanité dont il n'est pas peu fier, il a conservé une certaine soif de puissance, ainsi qu'une faim de violence. Peut-on donc conclure que le fait que cet homme soit un drogué est une preuve de bon sens ? Le rendant plus sociable, ou plutôt moins dangereux pour son entourage ? Hâtive conclusion, car nous pourrions aussi nous interroger si le fait d'être en manque de substances enivrantes le rendrait plus dangereux encore qu'à l'habituel.
Nous avions dis nonchalant, et c'est un fait. Un volcan endormi à l'apparence inoffensive est une parfaite comparaison avec cette individu. D'une fainéantise incomparable, il ne rechigne jamais à un moment de repos et on le retrouve souvent divaguant seul, avachi dans un canapé ou tout autre support plus ou moins confortable. Il en oublie même les fondamentaux qu'incombent un arrancar de haut rang. Missions, entrainements, peu lui importe, et ce flegme dédaigneux a le don d'exaspérer et ses subalternes et ses supérieurs. Quel intérêt ? Les preuves de discipline sont tellement futiles. Le fait d'obéir le rebute, la simple pensé d'acquiescer à un ordre l'irrite. Sans doute cette fierté inconsidéré, à la limite de l'insubordination, lui valut une réputation d'anarchiste, et d'homme auquel on ne peut faire confiance. Il est vrai qu'attendre quelque chose d'Areku est inutile, si cela ne peut servir ses intérêts. Nous pourrions parler d'égoïsme. A cela il préférerait parler de profit ... Deux termes proches l'un de l'autre bien que le second ne soit en fait qu'un euphémisme.
Lorsqu'à de rare moment, il entre en rage, il devient réellement incontrôlable, et cette perte de contrôle s'incarne souvent lors de ses combats dans lesquels il n'est pas capable de jauger son énergie. Ni même d'évaluer la force de son adversaire ou encore d'amoindrir les risques de dommages collatéraux. Un réel voile de désir de destruction, sublimé par la cécité d'une haine infondée masquent sa raison déjà si fragile. Néanmoins, il prend un plaisir inconsidéré à ce genre de risk, se sentant comme submergé d'un sentiment d'allégresse et de puissance qu'il compare souvent à l'extase que lui procure ses diverses drogues. Plus que la victoire, il recherche surtout l'excitation de l'adrénaline, cherchant à s'enivrer par n'importe quel moyen. et cet recherche perpétuelle du plaisir l'enfonce un peu plus dans une débauche dans laquelle il semble se complaire. Il a orienté sa vie d'une façon peu commune, et certes peu recommandable.
Déstabilisé, Areku est en fait un être sans attache au monde dans lequel il vit. Il renie toute sensation extérieur et s'est érigé une bulle d'ivresse. Cet état extatique dans lequel il était plongé s'ouvre peu à peu depuis son exil, apprenant à vivre en société, ou plutôt avec des colocataires peu banals. L'amitié lui était inconnue, la compassion aussi. Non pas qu'il entretienne de réelles relations d'amitié, mais ce semblant d'affection qui s'incruste peu à peu dans son coeur végétatif, vermoulu par des années de totale indifférence le fait sortir de sa torpeur de solitude et d'oubli.
Il vit au jour le jour, sans réel souci de l'avenir, néanmoins, la perspective d'une vie plus épanouie, d'une brèche, d'une faille dans son cocon tapi d'une soie de déchéance, commence à le faire se projeter vers des desseins moins prosaïques que la recherche d'états seconds.
Physique :
Un physique à l'instar de son esprit embrumé. Il possède un faciès des plus ternes. Des cernes béantes soulignent ses yeux mi-clos, incarnation de ses nuits de délires où l'esprit ne s'apaise pas. Ses deux prunelles à l'iris brune ne brillent d'aucun éclat. Son visage semble exempt de toute substance, sa peau mat et terne lui donne un aspect fantomatique, souligné par sa démarche nonchalante et son accoutrement sinistre. Physiquement, l'arrancar n'est pas impressionnant, mince, voir même anémié. Son pardessus noir, large en dessous des hanches est taillé pour être cintré au niveau de la taille, soulignant la maigreur de l'arrancar.
Il porte sans cesse des manches longues. Nous pourrions croire que se sont simplement ses gouts stylistiques qui s'affirment, se donnant ainsi un genre. Mais ses raisons sont autres. S'il dissimule ses bras c'est du aux marques qu'il s'inflige en s'injectant des substances prohibées. Des veines grossies et bleuies, une peau tuméfiée et criblée de petits creux. Voilà de parfaits bras pour un junkie, matérialisation de sa dépendance.
Il porte son trou hollow à l'abdomen, symbole de son insatiable faim de sensation, son masque brisé est quant à lui dissimulé par sa chevelure brune et mi longue qu'il laisse choir sur son front, dissimulant en partie son regard taciturne. Son masque se résume en apparence à une simple corne anguleuse qu'il porte sur le coté droit du crâne, mais la majeure partie de celui ci est dissimulé, car il parcourt une petite partie du front ainsi que l'arrière du crâne de l'ex-espada. Areku ne cherche véritablement pas à voiler son appartenance aux mangeurs d'âme, il laisse juste sa chevelure prendre forme naturellement. Apparence négligé nous pourrions dire. Et bien que l'arrancar attache une importance non négligable à l'hygiène, son apparence physique ne lui importe que trop peu.
Son visage, nous l'avons dit, est terne et sans brillance, il n'apparait pas lumineux, ni même singulier. Il est tout bonnement d'une banalité affligeante. Des traits tirés parmi tant d'autres, la mine blafarde d'un insomniaque, un regard aux yeux cernés et aux paupières ankylosées par la fatigue. Deux narines rougies par l'irritation de la "neige" comme on aime l'appeler. Et ce rougeoiement vire parfois au flots de sang. Il n'est pas rare que dans un sursaut d'émotion, un filet de sang sombre et épais s'échappe d'un des naseaux de l'ex-espada.
En effet, l'arrancar suppure la débauche par tous les pores de son être, il attise les regards par sa présence malveillante, ou il serait plus juste de dire, par son existence presque fantomatique. Histoire & Test RP [Je tiens à préciser que l'histoire est totalement fictive et n'inclut pas les personnages de la série Bleach, le contexte historique est lui aussi, purement fictif] Histoire:Chapitre I : Vie charnelle Premier épisode : Donner la vie ... Donner sa vie ... Madame Kaerizaki, magnifique femme, d'origine simple au tempérament humble. Issue d'une famille d'agriculteur modeste elle devint femme charmante et aimante qui continua sa vie dans les bras d'un samouraï. Guerrier froid et discipliné, Monsieur Kaerizaki se dévoila être un homme chaleureux et attentionné pour son épouse. D'un naturel protecteur, presque paternel, il prêta une attention démesurée envers sa compagne, souhaitant lui épargner les souffrance d'une vie âpre qu'il connut avant de la rencontrer. La guerre et la violence furent composantes quotidiennes de la vie du militaire avant sa retraite. Combattant valeureux dans des risks toujours plus barbares, animé par la flamme de la victoire pour une juste cause, pour la liberté. Pourquoi combattre pour cette dite liberté? A cela il faut préciser que l'époque dans laquelle vivait le couple n'était pas des plus propice à la libre expression. L'empereur de l'époque dirigeait de vile manière ses terres et déléguait à ses seigneurs une grande part d'autorité. Viscéralement avide de pouvoir et de richesse, il n'eut aucun remord à éliminer toute personne entravant sa progression vers les sommets de la puissance. A l'apogée du despotisme, il décida d'annihiler toutes formes d'autorité qu'il ne put asservir. Plusieurs familles de glorieux combattants furent décimées, néanmoins, certaines d'entre elles survécurent et rentrèrent dans une coalition ayant pour but de renverser le pouvoir en place. Ils surent s'associer, et cela malgré une rivalité ancestrale qui les animait. La rébellion prit une forte ampleur, et les rangs grossissants de rebelles arrivèrent aux portes de la capitales. Et c'est avec rage que ces bretteurs incontestables prirent d'assaut la citadelle. néanmoins, l'opposition fut forte et la progression des opposants au régime s'arrêta là. Submergés par un nombre incessant de gardes royaux, la révolte fut noyée dans le sang et les larmes et les rares survivants jurèrent allégeance à l'empereur ou durent s'exiler. Kaerizaki ne pouvait concevoir la première option, et partit donc vers les plaines du nord. Endroit où il fit la connaissance de sa future épouse. Vivre une vie simple, exempt de toute dorure et autre poudre aux yeux, telle est la vie qu'ont mené le couple dans une maisonnette des plaines du nord, vivant des récoltes annuelles, n'ayant d'autre distraction que de s'aimer mutuellement. De cette amour fusionnel naquit Areku Kaeziraki. Malheureusement, la frêle jeune femme ne put se rétablir d'un tel accouchement, et perdit la vie peu de temps après, conservant auprès d'elle son fidèle amant, père de l'enfant, qui resta à son chevet jusqu'à son trépas. Deuxième épisode : Le fardeau de la culpabilité, mal-être existentiel. Trouver un équilibre psychologique dans une famille monoparentale n'a jamais été une mince affaire ... Tout au long de sa jeunesse on lui fit l'éloge de sa défunte mère. Ayant donné sa vie pour le mettre au monde, il s'imaginait qu'elle planait encore au dessus de lui, et tel un ange, recouvrait son âme de ses chaleureuses ailes. Il créa un ersatz d'amour maternelle à travers cette allégorie divine, tentant inconsciemment de combler son manque affectif. Manque affectif encore accentué par un père aimant certes ... mais emprunt à ses habitudes froides et sectaires d'ancien guerrier. Son éducation fut des plus strictes, néanmoins la culture de son géniteur lui permit d'étudier les grandes lignes de l'histoire de son pays, l'arithmétique et la littérature. Areku s'avéra d'ailleurs être bon élève, intéressé et consciencieux. Les cours de son père restèrent tout de même assez prosaïques et il préféra lui inculquer l'équilibre du corps plutôt que celui de l'esprit. Maître d'arme aguerri et bon stratège, il enseigna le maniement du sabre et les plus complexes techniques militaires à son fils qui se dévoila avoir des talents innés en ces manières. Jeune adulte, le disciple avait dépassé le maitre, et son père vieillissant n'avait plus rien à lui enseigner. Sa dextérité au maniement du katana était à l'instar de sa vivacité d'esprit. Il avait muri et bien qu'encore jeune, avait acquis une vision du monde exemplaire. Néanmoins, il conservait en son fort intérieur une once de mélancolie, un soupçon de reproche, un doigt de culpabilité envers sa défunte mère et s'interroger sur le fait de son existence ... Perdre la vie pour la donner était un acte noble et poétique, pourtant le jeune homme voyait en sa naissance la conséquence de la mort de sa mère .. Mal-être qu'il dissimula avec habilité à son père et maitre. Digne successeur du samourai, son père l'invita à prendre congé de lui, pour enfin s'épanouir librement. Il lui tint un discours sobre et aimant, lucide aussi : "Il est temps que tu t'en ailles, non pas que je te chasse, mais tu ne peux continuer à vivoter de cette façon à mes cotés. Je suis déjà âgé et bien plus proche de la mort que de la vie. Il est temps pour toi de partir et de faire ta vie comme tu l'entends. Je t'ai appris comment vivre une vie correct, à toi d'appliquer mes enseignements ou de les ignorer, mais quoi qu'il en soit ... vit ..." Les paroles sages de son vieux père résonnèrent aux oreilles du jeune Kaerizaki, il était temps pour lui de descendre vers le sud, là où les âmes grouillent, là où il pourra s'intégrer. Une vie d'ermite ne l'intéressait pas, mais son cœur se déchira à l'idée d'abandonner sa seule famille. Les adieux furent protocolaires, aucune embrassades, aucune larmes, deux hommes liés par le sang se disaient adieux ... et pourtant ni l'un ni l'autre ne transparut une quelconque émotion, si ce n'est un profond respect. Il partit, sans se retourner, un sac de toile rapiécé en guise de seul bagage, le sabre de son ailleul à la taille. Foulant d'un pas lent le chemin de terre qui le conduirait au monde civilisé et citadin. Troisième épisode : Aperçu de la capitale Le voyage fut long et fatiguant, mais calme. Il fut même étonnant que le jeune Kaerizaki ne croise aucun brigands, tant les routes étaient infestées de coupe-jarrets. Apparemment sa bonne étoile brillait encore au dessus de son être et irradiait son âme de ses rayons bienfaiteurs, le préservant ainsi de toutes mésaventures. Devant Areku s'affichaient les portes de la capitale, dernier bastion encore impénétrable du Japon. Un mur d'enceinte énorme surplombé par des gardes aux regards vigilant et belliqueux. La porte principale devait faire la taille d'au moins quinze hommes et restait close la plupart du temps. Ce rempart si imposant ne laissait qu'entrapercevoir le palais impérial, qui reflétait un tel écart entre le peuple et les hauts dignitaires de ce monde. Dorures, pierreries, une telle ébauche de richesse donna un haut-le-cœur au jeune homme qui ne pouvait concevoir un tel despotisme et un tel asservissement des travailleurs ... Les histoires si romanesques que son père lui contait jadis étaient donc vrai ... Après un court intermède avec deux gardes aux allures tout aussi bourrues que leurs congénères la porte s'entrouvrit pour lui permettre le passage. Ce qu'il vit une fois dans l'enceinte de la capitale contrasta littéralement avec l'apparence extérieure ... Devant lui, la pauvreté et la misère arboraient leur plus médiocres haillons. La crasse, la puanteur et la déchéance faisaient parti intégrante du quotidien de ces pauvres habitants ... Des personnes gémissaient à même la terre boueuse des rues ... Des cris retentissaient, des pleurs aussi ... Toutes les sonorités de la tristesse et de la détresse se faisaient entendre ... Pas une fois il n'entendit un rire. Il traversait encore et encore les rues sinueuses de la ville basse, se noyant toujours un peu plus dans les effluves nauséabondes. Le but de sa venu dans la capitale n'était pas clair à ses yeux ... Il errerait un certain temps, tentant avec plus ou moins d'ardeur de se hisser et se mêler au classes aisés ... Seul lui savait pourquoi ... Quatrième épisode : Une ascension et une rencontre. Plusieurs années se sont écoulées, années de déchéance, puis années de prélude à la réussite. Kaerizaki avait su s'extirper de la pauvreté des bas quartiers, avant d'être recruté dans la garde impériale il avait bâti de ses mains un dojo dans lequel il enseignait l'art ancestral du bushido. Il était considéré comme l'un des dernier représentant de la doctrine militaire, et son audace ainsi que sa rigoureuse discipline lui valut d'être repéré par l'empereur lui même. Emmené au gré des desseins de son "Maitre" il participa à plusieurs bataille dont il sortit victorieux et il prouva ainsi ses compétences et sa supposée "fidélité". Fort de ses succès et sa renommé en recrudescence il finit par appartenir au corps d'armée en charge de la protection de l'empereur. En effet, la politique de la contrée n'avait pas changé, et l'homme à la tête du pays cumulait de plus en plus de rivaux et d'ennemis. Mais pourquoi donc un tel revirement de tendance ? Pourquoi Areku, qui jusqu'alors tenait en haine ce personnage engraissé de puissance et enivré de pouvoir, se rangeait à ses cotés ? Ses ambitions étaient autres ... Durant son ascension il s'était pris d'affection pour une femme de la cours de l'empereur. Plus que de l'affection, un amour naissant entre les deux personnes émergeait. Amour impossible certes, mais les sentiments n'ont ni maitres ni prédestinations, et dissimulant leur attirance mutuelle, ils s'aimaient à l'abri des regards. Cet amour passionnel, surplombé par l'innocence du samouraï, le poussa à dévoiler ses intentions vis à vis de son avenir, ainsi que l'avenir qu'il souhaitait pour son pays ... Cinquième épisode : Trahison ... L'heure approchait avec hâte. détresse, excitation et crainte culminaient au siège des sentiments du garde royal. Mais pourquoi une telle anxiété ? Bien qu'ayant muri, ses idéaux de liberté, hérités en grande partie de son géniteur, n'avait pas perdu de leur éclat. Il espérait tant pour ce pays qu'il aimait, qu'il portait à la plus haute estime. Seul cette tâche rémanente, seule cette gangrène subsistait, l'epereur était un membre pourrissant d'un organisme fébrile. Et la seule option qu'il laissait entrapercevoir était de couper ce membre. Son ascension, son accession aux hautes sphères du royaume n'avait que ce but, chaque jour de sa vie, il n'avait penser qu'à son pays, qu'à sa patrie, seule son amour l'extirpait de ce fanatisme naissant. Ce jour signerait sa gloire ... Il avançait, serein et déterminé, la paume de la main caressant le tsuba de ce katana qui ne l'avait jamais trahi. Il poussait alors lentement les portes imposantes de la chambre impériale, personne ne devait s'y trouver, personne ... Jamais personne ne s'y trouvait, hormis sa cible ... Personne n'aurait du être là. Mais pourtant, au chevet de l'empereur se trouvait son amour, le regardant, des larmes scintillantes aux coins des yeux. La suite fut vague, son échine le fit souffrir. Son uniforme prit une teinte écarlate ... il vacilla, tomba, puis ... Il succomba, tranché de part en part, d'un coup vile et pernicieux. Trahison ... Chapitre II : Perte et furie Premier épisode : Liens brisés. Trahison ... Toute sa vie n'avait qu'un but, but qu'il n'avait dévoilé qu'à une personne, une seule ... elle ... Pourquoi ? Pourquoi l'avait-elle trahi ? Pourquoi n'avait-elle pas gardé le silence ? Pourquoi avait-elle opté pour la soumission, plutôt que pour la lliberté ? un nouveau monde s'offrait à eux, il allait s'épanouir pour chaque être, vivre de paix, expier les fautes d'un seul homme. pourquoi alors qu'Areku avait endossé cette telle responsabilité, son amour ne l'avait pas suivi ? Ses sentiments étaient-ils sincères ? Avait-il été manipulé ? N'était-il donc qu'un fantoche, manipulé par son bourreau ? un marionnette démantibulée par ses sentiments ? Tant de question sans réponse. Un échec qui reste ancré dans l'âme, qui reste imprimé dans l'esprit. Un gout d'inachevé, âpre odeur de la défaillance, il ne trouverait pas le repos, jamais ... Il était là, enchainé au lieu de son trépas, et il voyait, il hurlait, il désespérait de n'être que spectateur de cette pièce burlesque. Personne ne l'entendait, ils n'étaient que chien, qu'animal avide de pouvoir. Des rapaces, des vautours fondant sur la carcasse du pouvoir, enfonçant leurs serres dans la chair du despotisme, se délectant de leur autorité. Ils paieront ... Il paieront tous pour leur égoïsme ... Il délivra ce monde de l'idiotie d'un homme. Il ne se résignera pas, pas même dans la mort ... Acharnement aveugle, la noirceur envahissait son âme, il n'abandonnerait jamais son pays, quitte à abandonner son âme, il resterait là, tel un phare, guidant le navire de sa patrie au gré de sa clairvoyance. De là où il était, il voyait, il observait, il sombrait un peu plus. Son âme devenait intangible, il ne percevais plus même sa raison, il devenait démence, il devenait furie, se débattant tel un animal éperdu avec les chaînes de son esprit. De tels liens qui l'emprisonnaient au lieu de sa déchéance ... Ils cédaient peu à peu sous le lourd poids de la folie ... Il était libre ... Deuxième épisode : Vengeance. Son corps n'était plus sien, il ne paraissait plus humain, il avait revêtu une silhouette animale, reptilienne. Il scrutait de ses deux prunelles d'or un monde méconnaissable, et pourtant familier. De son corps quadrupède il ondulait son échine, se déplaçant sans bruit, humant l'air avec avidité. Tel un prédateur, il parcourait l'horizon de son regard éthéré, emprunt à une faim nouvelle, à une envie insatiable de corps, à une soif d'âme. Il était libre de mouvement, mais son esprit n'était plus ... Il raisonnait par la primalité de ses désirs, seul était audibles ses cris, il ne s'exprimait plus que part interjections râleuses. Il crut étancher sa soif mille fois, mais toujours il conservait sa gorge sèche, continuellement en cherche de se repaitre. Bien vite le palais impérial se vida de sa substance. Son corps imposant pliait les couloirs, fendait les murs, cela n'importait plus, il se déchainait, expiait cette haine qui le rendait ainsi. Simple émissaire de la trahison, il voulait faire ressentir ce qu'il avait subi, personne ne l'arrêterait, personne même ne le voyait, plaisir inconsidéré de pouvoir agir à sa guise, semant destruction derrière lui. Une faim insatisfaite, mais un désir de vengeance assouvi, il gagnait pour la première fois l'antre des morts. Par instinct, il rejoignit l'hueco mundo, laissant derrière le sillon ondulant de son corps, le chaos ... Chapitre III : Une certaine Humanité ... Premier épisode : Errance. Fouler le sable pâle et froid, baigner dans une nuit sans fin, errer sans but dans ce désert d'âme. Sa vie d'hollow ne se résumait qu'à cette errance perpétuelle et placide, âpre sentiment d'une vie sans saveur, d'une vie sans aucun but, guidée par un désir rongeant. De sa démarche féline, il rampait en traçant le sable, se délectant de ses congénères, simple animal à la limite du cannibalisme. Chaque être qu'il croquait, chaque vie qu'il terminait, le rapprochait un peu plus d'une nouvelle humanité, sentant son corps durcir, devenir fort et imposant. Continuant de quêter de nouvelle proie, il se battait avec bestialité, terrassant les mangeurs d'âme les uns après les autres. Son esprit se réveillait, peu à peu, il émergeait de sa torpeur, il recouvrait une certain humanité, toujours emprisonnait dans ce corps difforme. Un jour, repu d'un repas sans gout, sa fureur de vivre se réveilla. Paradoxe de la vie, paralysé dans un état végétatif, il se débattait, il tentait de rompre d'autres chaînes. Liens de la déraison, sa geôle n'était autre que son masque. Le griffer, le saisir, le tuméfier, par instinct, ou dans un éclat de lucidité, il tentait en vain de l'arracher, de se défaire de sa prison. Ses doigts glissait sur celui-ci, ses griffes rappaient à son contact. Puis une partie rompra, dans un craquement strident, il se disloquait, perdait de son éclat, et se fendait. Il redevenait ... humain ? Non ... autre chose ... Mais sa raison se réveillait après s'être enivré de rage. Deuxième épisode : Un guide.
J'étais moi, enfin, je vivais, mon corps me paressait lourd, difforme encore, mais j'étais moi. Je sortais de cet enfer de sensations primaires; Je vivais enfin, j'étais fort de cette genèse, je humai l'air avec bonheur. L'ennui me hantait déjà, mais qu'importe, je me complaisais de cette nouvelle humanité, je vivais pour la première fois. Je naissais, je ne savais que mon nom, mais cela ne m'importunait pas, ma vie d'avant ... En avais-je seulement eu une ?
J'ai vécu je ne sais combien de temps ... A fouler ce sable blanc, le sentant sous mes pieds, les trainant pour m'émerveiller des sillons qu'ils laissaient. Au file de mon avancée, je ne voyais qu'étendu désertique, l'horizon se parait sans cesse d'un ciel sombre, longue nuit sans fin dans laquelle je veillais. La voute céleste de mon monde, linceul du sommeil, sombre et épais, se ponctuait lentement de millier de points lumineux. Il tranchaient de leur scintillement, et accompagnaient telle une cours, la dame lune, dressé fièrement dans sa robe aux contours intangibles. Un nuit sans pareil, belle et pure, seule les rugissements lointains perturbaient sa présence silencieuse. Des râles que je m'empressais de faire taire. Avec violence, ces ombres, fantoches exempts de raison, baissaient l'échine, je les terrassais, avec autant de violence qu'auparavant. Je continuais de me délecter de ces ébauches d'énergie futiles, dans le ballet de deux corps se déchirant, je prenais gout à danser, virevolter frénétiquement, porter atteinte à mon ennemi avec un plaisir inconsidéré, un sadisme profond sans doute.
Un jour, me vint une apparition, une personne à l'allure humaine, à la voix glaçante, une de ces présences qui force le plus barbares des individus à éprouver un profond respect, mêlé de crainte. Il me pria de le suivre. A un moment, je crus que je pourrai donner vie à ces instruments que je souhaitais entendre, mais aucun son ne se fit entendre, j'étais aphone devant cet être imposant. Pas même un gémissement. Rien. Pas un son, aussi infime soit-il ne s’extirpa de mes lèvres entre-ouvertes. Je restais derrière ce shinigami, alignant mon pas lourd à sa marche silencieuse, je le suivais ... il était mon guide ...
Troisième épisode : Dans une citadelle, l'ennui perdure.
Las noches, citadelle inébranlable au remparts cristallins. Chacun de mes pas dans ses vastes couloirs résonnait d'un tonnerre sourd rompant avec maladresse le silence de cette antre. D'un ennui inégalé. J'étais sans doute l'un des précurseurs de notre espèce, j'étais seul, à peine aiguillé par cet homme que je croyais être mon guide. Mais congénères se faisaient attendre, avais-je été le seul à être dépossédé de ma bestialité ? Quel endroit mélancolique, à travers une meurtrière j'observais le désert que j'avais quitté avec une certaine nostalgie. La nuit sans pareil de cette endroit, aux milles feux immaculés, à l'astre inatteignable, que je comparais malheureusement à l'enceinte blanche au dessus de ma tête.
Lors de ma première sortie dans le monde réel, je découvrais avec stupeur le soleil brûlant, astre rayonnant irradiant mon être de sa chaleur bienfaitrice. Une sensation que je ne comprenais pas encore, une sensation orgasmique, jouissante, baigné dans cette océan de chaleur, je nageais, flottais au dessus de l'Atlantide qu'était Karakura. Le but de ma visite m'échappait totalement, et tel un enfant empreint à une irrésistible envie de découverte, je parcourrais les rues linéaires et grouillantes du centre-ville. Sans doute est-ce là que j'ai pour la première fois, gouté à l'enivrante sensation de perdre pied, de tomber littéralement dans un torrent de sensation, au détour d'une ruelle, je m'étais pour la première fois rendu dans la déchéance et la débauche.
Mon retour tarda, L'Hueco mundo me paraissait être d'un ennui mortel quand je l'opposais à l'effervescence des cités humaines. Mais le devoir m'extirpa de ce monde onirique que je quittais avec regret. Je m'engouffrais donc à contre cœur dans cette bouche béante aux dents anguleuses et à la gorge de suif, je retournais à Las Noches par le garganta.
Quatrième épisode : Le retour
A mon retour, les choses avaient changé, j'étais donc parti plus longtemps que je ne le pensais. D'autres arrancars avaient rejoins l'espada. Des visages lubriques, à mi-masqués, des faciès tous différents les uns des autres, la mixité du monde à son paroxysme. Néanmoins je ne m'entendais avec aucun d'eux, je ne partageais pas les mêmes passions, les mêmes désirs, je m'ennuyais toujours, même accompagné, alors qu'eux, ne se souciaient que peu de ce lugubre endroit, ils se complaisaient dans le silence des couloirs longs et froids de Las Noches. J'avais beau être leur doyen, leur indifférence à mon égard était sans égale. Conflit d'intérêt, jalousie, ou encore pure méchanceté, les relations avec mes congénères étaient des plus tendues.
Vide de sentiments, je recherchais avec une faim insatiable des sensations inédites. Cercle vicieux de la dépendance, je m'oubliais dans diverses substances toutes plus insolites les unes que les autres, en quête d'excitations prosaïques, catalysées par des poudres au couleurs bucolique, aguiché par des couleurs éclatantes je sombrais peu à peu dans la débauche? Plus rien ne n'importait et je revêtais peu à peu mon apparence actuelle. Je ne partageais de sentiments que pour deux personnes, dont l'une d'elle n'était que peu recommandable. De son patronyme Kaoremas Ethohaseth, il n'était ni plus ni moins que celui qui me fournissait, nous partagions les mêmes moments de divagation, nous nous entendions dans le délire omniprésent, dialogue d'interjections de deux personnes plongées dans le brouillard épais de leur esprit. J'avais une dette envers lui, non pas une dette morale, mais réellement une dette financière, bien qu'homme de mauvaise mœurs, il n'en restait pas homme d'affaire. Cynique et froid, calculateur, je lui avais prêtais sans considération mon amitié ...
Les rangs avaient été établi, Las Noches se parait d'une hiérarchie empirique. Apparemment, malgré ma nonchalance et mon dégout de l'ordre, j'étais parmi les plus brillants épéistes, une dextérité que je n'avais pas cherché à acquérir mais que je possédais, inné pourrait-on dire ... Trop ancré dans mes dérives psychédéliques, je ne pouvais suivre aucun ordre, à peine les entendais-je d'une oreille perturbée par les bruits cinglants et stridents de la drogue.
Obéissance, devoir et soumission ... Ce shinigami croyait donc véritablement que je lui obéirai aveuglement ? Quelle idiotie. De belles paroles sous lesquelles la majeure partie de mes compatriotes se pliaient. Et même dans une torpeur médicamenteuse presque totale, je restais assez lucide pour ne trouver en cet être qu'un coté sombre et destructeur pour notre race ...
L'exil me parut inévitable. Lors d'un moment de calme, où le silence prend siège sur le trône des murmures, je m'éclipsais, en tentant de rejoindre l'endroit de mes désirs, l'endroit qui m'avait charmé, Karakura ...
Cinquième épisode : La vie ...
Karakura ! Lieu de la démesure, cité concentrée du japon, mon arrivée passa inaperçu. Pendant quelques temps encore, j'errais seul dans les rues sinueuses de la cité, de mon déhanché reptilien, à la limite de la nonchalance.
Plus tard je rencontrais quelques personnes avec lesquelles je me suis maintenant attaché, mes problème de drogue n'aident pas à la socialisation, mais apparemment, J'entretiens de bonne relations avec deux colocataires plutôt ... atypiques ...
Je ne sais pas ce qu'il advient de Las Noches, mais j'ai ouïe dire qu'une certaine personne ne me voulait pas que du bien ...
Aptitudes Nom du Zanpakutô : SalamandraSalamandra, incarnation d'un animal mythique que l'on supposait vivre dans les brasiers les plus incandescents, se réchauffant au cœur des plus violents volcans car il ne craignait pas les flammes. On l'espérait éternel, régénérant son corps en totalité et dont l'espérance de vie dépassait l'entendement. La quintessence de cet animal réside dans sa placidité, dans une certaine force tranquille qui ne semble perdre de son éclat avec le temps. Là est la force de sa ressureccion. | - Forme scellée :
La forme scellée de salamandra se compose de deux armes distinctes. Pourtant seule l'une d'entre elle est le réel zanpakutoh de l'arrancar. Le tanto, de couleur ébène est la véritable composante du pouvoir D'Areku. L'autre arme, un katana de la même teinte n'est autre qu'une parcelle dissociée de l'âme du hollow, celui ci ne change pas de forme lors de la ressureccion et est d'ailleurs la seule arme offensive que possède l'ex-Espada. Il porte les deux armes à la ceinture, némoins le tanto est dissimulé des regards tandis que le Katana dépasse allègrement de la taille du guerrier.
- Description :
Le katana : Lame longue de 69 centimètres, le tsuba (la garde) s'arbore d'un cylindre gris anthracite dont le seul motif est une salamandre discrète, feuilleté d'or. Le manche est recouvert de peau de raie blanche surplombée d'un tressage de soie noire. le pommeau du manche possède le même symbole allégorique de salamandre que le tsuba. La lame quant à elle, façonnée dans un alliage léger et résistant est à gorge affûtée, creusée sur le plat des deux cotés.
Le tanto : Lame courte d'une vingtaine de centimètres, il dévoila la même manufacture que le katana, néamoins le tsuba de celui ci est totalement exempt de signe distinctif et est de forme ovale et non ronde à l'instar de son comparse le katana.
| Description et prononciation de la libération : "Vives, Salamandra" | "Vis, salamandre", cette phrase de libération reflète entièrement le pouvoir de cette resureccion. Physiquement peu de chose change, le masque de l'arancar se reforme et une deuxième corne apparait sur le crâne de l'ex-espada. Ses yeux prennent une apparence reptilienne, la pupille se fend et l'iris ce teint d'or. Ses membres prennent un peu plus d'envergure et son épiderme devient légèrement translucide au niveau de ses membre. L'extrémité de ses mains et de ses pieds se recouvre d'une matière plus dense et plus résistante, sans être d'une dureté exceptionnelle. Mais la chose la plus notable de cette libération réside dans un appendice très long et souple. Une queue de plusieurs mètres à la dextérité remarquable.
| Compétence classique de l'arrancar :Cero : L’une des attaques basiques des Menos, elle n’en reste pas moins également une des plus puissantes. Comme tout bon Espada qui se respecte Areku maitrise le cero qu'il lance à partir de la corne de son masque. Il se matérialise d'une teinte pourpe sombre. Cero Royal : Deux fois plus destructeur que le Cero de base Areku ne l'utilise que très rarement. Il le lance à l'instar d'autre cero, grâce à son masque, mais la pression dégagée par cette attaque le pousse à incliner le visage pour amortir le recul du tir. Bara : Technique bien moins puissante qu’un Cero mais bien plus rapide, Areku emploie très rarement cette technique la jugeant trop peu efficace et une perte de temps et d'énergie futile. Hierro ignifugé : La résistance du hierro de l'arrancar est véritablement médiocre, Elle peut certes parrer avec plus ou moins d'aisance un sabre de vice-capitaine, mais se fera trancher de part en part par une lame de niveau de capitaine. Les seuls points Légèrement plus résistants sont les extrémités de ses membres, notamment sur le dos de sa main. Néanmoins le hierro de l'arrancar possède une particularité, il est ignifugé, il ne craint que très peu les flamme, à l'instar de l'animal qu'il incarne, la salamandre. Sonido repercuto : S’il ne possède pas un Hierro extraordinaire, il réhausse le niveau par un Sonido convenable. Il peut se montrer suffisamment rapide pour surprendre la plupart de ses adversaires, il n'est pas maitre de cet art mais à dépensé une partie correct de sa puissance dans le déplacement. Son sonido se diffère des autres car il laisse une image partielle de sa position initiale, pouvant donc duper l'adversaire, on pourrait comparer ce mirage à une mue qui se désagrège rapidement. Régénération instantanée : C’est dans la régénération rapide qu'Areku excelle. Peu de choses sont irréparables chez l'arrancar. Hormis sans doute le cerveau et le coeur, la quasi totalité de son corps peut être régénéré aisément, bien que cette technique requiert beaucoup d'énergie spirituelle et fatigue le corps. Pesquis : L'art de détecter l'énergie spirituelle. Certains sont experts en cette technique de reconnaissance, mais pas Areku, il distingue correctement les reiatsu dans un périmètre restreint mais peine à les différencier. Gargantua : Comme tout Arrancar, Areku est capable de créer une brèche dans les dimensions et de s'en servir pour passer entre les différents mondes. Néanmoins, depuis son exil du Hueco Mundo, il ne se sert plus de cette technique devenue inutile pour lui. Technique propre à la libération :Double cero : Areku est capable de lancer deux cero simultanés à l'aide des deux cornes de son masque, il peut aussi les fusionner pour en créer un plus puissant et surtout d'envergure plus importante. Son cero devient doré lorsqu'il est lancé sous la resureccion. Régénération améliorée : Technique passive tirée des capacités de l'animal qu'il incarne. Tout ce qui ne touche pas les organes vitaux est facilement réparable et ne requiert pas énormément d'énergie. Ses membres fragiles se restaurent donc correctement suite à cette technique et lui permet de conserver son énergie pour des réparations plus ardues. Embrasement de l'âme : Sous ses allures reptiliennes, animal à sang froid, il est capable d'augmenter sa température corporelle et de diffuser cette énergie dans la lame qu'il conserve. Celle ci s'embrase de flammes vives et étincelantes. Ces flammes ne sont néanmoins pas contrôlable, à l'instar de son possesseur et elles peuvent très bien s'attaquer au manieur du katana. Son hierro ignifugé lui est donc extrêmement efficace dans des cas comme celui-ci mais ne pourra que partiellement éviter les brûlures occasionnées par cette technique. Reflet de son tempérament destructeur et d'une rage engourdie et enivré par sa vie. Vous Âge : 18 ans Disponibilité : [5/10] jusqu'aux vacances [10/10] pendant Expérience dans le monde du RP : Pas de grosse expérience Quelque chose d'autre à nous dire : *ronronne :]*Comment trouvez vous le forum ? Sympa Comment avez-vous connu le forum ? Une fille bizarre qui m'a menacé (spéciale dédicace Kiwi x3)[UC]
Dernière édition par Areku Kaerizaki le Jeu 1 Juil - 22:04, édité 37 fois | |
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