Caractère : (Minimum 15 lignes)
Que dire sur cet homme, si ce n’est qu’il est d’un naturel patient, attentif et observateur. Sans doute un fait des gènes ancestraux qui animent son être. En effet, Wonsul est natif d’une noble famille d’érudits, autant dire que s’occuper de livres illustres et anciens mérite une certaine application et maîtrise concernant ses agissements, même les plus simples. Pourtant ce n’est pas sans ignorer son air un peu fier, fierté qui n’est cependant pas aussi poussé que celle qui vous amène au pire des extrémités. Non elle se basait certes sur le nom même de son clan, mais aussi sur le respect d’un monde qui restait des plus insolites beaucoup. Le désert, cet univers sans cesse changeant et presque mystique, un monde où peu de gens aimeraient se confronté, un lieu façonné par le vent et les contes. En vérité le caractère de Wonsul se lie à celui du Sareer (étendu de sable estimé à des milliers de kilomètres. ) Son calme accompagnait sans heurt le souffle du zéphire sur les dunes de sables, aussi chaud que cet air qui vous effleure le visage. Conquérant, tout autant que cette immensité qui ne cesse de s’étendre où que votre regard se pose, cet hadhdhab (désert profond) qui semblait vouloir vous murmurer tout au long de votre Hajr (Voyage), et seulement si vous êtes attentif, son essence même. Une chose que ne cesse de rechercher notre jeune D’Ongil, qui depuis son enfance n’ait de crainte à le parcourir suivant les rites décrient par les livres anciens. Autrement dit marcher sans une once de rythme sur cette surface si peu stable. Cet air si paisible et serein s’accompagne d’une dureté ferme, tel le roc face au Coriolis (Tempête de sables pouvant aller dans les 800 km/h) qui sévit parfois lorsque l’on s’aventure par delà les prémisses du Sareer.
Passant cela, Wonsul à toujours aimé s’assoir sur les toitures de ses propres quartiers, alors que l’astre du jour commence à poindre à l’horizon. C’est là et depuis sa naissance, une sorte de répit qu’il s’accordait avant d’entamer la journée. Un fait qu’il n’avait jamais tenu de rompre. Cela soulignant surement un certain désir de solitude, chose encore plus marqué lorsqu’il rentrait en sa propre chambre pour y fumer une longue pipe, tout en songeant à divers choses qui s’étaient passés ou non. La réflexion avait toujours fait partie de son esprit cartésien, sans cesse en train de voir la rationalité des évènements, tout en se préservant un silence parfois bien dérangeant. Wonsul n’était point un bavard, mais un parfait laconique. Préfèrent l’écoute à la parole, ce qui parfois induisait en erreur bien des gens, car étant de noble lignage ceci paraissait souvent être traduit par de l’orgueil. Ohhhh notre homme n’en était point dépourvu comme je l’avais souligné précédemment, mais cette arrogance ne s’apparentait pas au mépris. Dédain qui pouvait franchir quelque fois les frontières de ses lèvres lorsque l’on venait à insulter son clan et son devoir. Car oui, le jeune D’Ongil était un être pourvu d’honneur et de droiture. Dans un sens il ne semblait pas difficile de le faire sortir de ses gonds, et pourtant notre shinigami gardait une profonde placidité douce et presque frustrante, alors qu’elle ne s’apparentait point aux traits de la froideur et du snobisme.
Ses manières sont calculées et emprises de noblesse, témoignant ainsi de son appartenance. Ses mots découlent sans difficultés de sa bouche, mais il me faut vous souligner qu’il n’est pas rare qu’il vous faille froncer des sourcils sous certaines de ses expressions ou qualificatifs. En vérité, depuis qu’il possède cet amour du désert et de ses coutumes, le noble n’a de cesse de proférer des termes liés à ce monde, et plus encore alors que son zanpakutoh accompagne ses pas. Tout deux serviteurs de l’hadhdhab, ne soyez point stupéfait si jamais il vous arrive de vous confronter à un regard des plus inquisiteur s’il vous arrivait à renverser votre verre d’eau, car cela souligne la négligence, et ce dernier point n’est pas dans les mœurs de tout marcheur du désert qui se respecte. Oui, l’exigence et la discipline font partie de son caractère, ajoutant une pointe de sévérité dans les traits pourtant conciliants du personnage. Ceci est surement un peu paradoxal, mais c’est ce qui fait la complexité de Wonsul. C’est être dépourvut de froideur et pourtant aussi droit que Kuchiki Byakuya..Mais le serait on moins alors qu’il avait été sous ses ordres durant quelques années ? Point qui ne sera point débattu dans cette partie consacré au caractère cependant. D’ailleurs pour en revenir au sujet, il ne serait point juste que je ne vous révèle pas son petit pêcher mignon et véniel. Si jamais vous le surpreniez en son bureau en train de faire une pause, ne vous offusquez pas de le voir glisser en sa bouche quelques sucreries… tout du moins une seule et unique amuse bouche, car mise à par celle-ci le reste ne l’intéresse point. Les nounours au Chocolat et à la guimauve. D’autre part, le noble s’est découvert son plus jeune âge un attrait pour les arts, notamment pour les croquis et portraits. De ce fait, c’est souvent qu’il profitait d’un peu de temps libre pour venir s’isoler afin de s’offrir le luxe de crayonner sur un petit carnet en cuire toute chose qui était susceptible d’attirer son œil averti. Cela pouvait passer d’un paysage à un entrainement de ses propres troupes. Malgré cela, rare sont les personnes qui ont pu jeter un œil sur ses dessins. Était ce par crainte du jugement d’autrui où simplement parce qu’il conçoit qu’il n’avait point à partager cela ?...jamais ceci ne fut précisé et accentua cet impression de mystère sur son être.
La moquerie et l’ironie font souvent équipe en ses agissements, surtout lorsqu’il s’avère être en position de combat. Parlant peu, et analysant toutes choses, Wonsul savait trouver les points qui pouvaient créer l’erreur chez l’adversaire, mais cela ne le mettait nullement à l’abri d’un quelconque faux pas. Même s’il n’oubliait jamais qu’une confrontation avait ses fragilités, sa jeunesse lui faisait parfois commettre des actes encore empreintes de témérités. Gestes qui se retrouvaient marqué par des cicatrices visibles ou non sur son corps encore bien jeune. Très protecteur notamment envers sa famille, ses agissements pouvaient paraître inflexibles et pourvu de sévérités, bien que la rancune n’accompagne pas son cœur. Un cœur qui ne fut jamais prit par quiconque, et qui ne suivait que le Sentier d’or afin de mieux comprendre le désert.
Physique : (Minimum 15 lignes)
Du haut de ses 1m70 le noble n’est donc point des plus grands, mais pas non plus l’un des plus courts sur pattes. Cela ne l’empêche pas d’adopter une allure respectueuse et fière. Ses traits sont encore bien juvéniles sur son visage, ne ressentant plus cet arrondi si caractéristique de l’enfance. Un visage fin, concédant à sa ressemblance envers sa mère, affirmant un côté un peu trompeur pour des yeux mal avisés. Ses yeux sont d’un noir aussi profond que les abysses d’une caverne souterraine que l’on pouvait trouver dans les zones rocheuses des déserts. Sa chevelure l’est tout autant, marquant un peu plus cette peau laiteuse qui le caractérise. Un épiderme qui parait sans heurt au premier abord…et pourtant. Une fine cicatrice d’environs cinq centimètres orne le bas de son dos, rappelant sans cesse à son porteur un passé maintenant révolu. Cette dernière bien que presque invisible avait sut marquer le jeune homme bien plus profondément qu’on ne saurait le dire et rare était ceux qui en avaient eu connaissance. Ses pupilles sombres ne semblent pas vouloir délaisser une once d’émotion trahir cette face si paisible. Il n’y avait cependant, jamais aucune froideur, mais cela suffisait pour instaurer une certaine distance entre Wonsul et ces contemporains. Parfois un fin sourire venait marquer les commissures de ses lèvres fines et pâles, notamment lorsqu’il se retrouvait un peu seul et ravit d’une quelconque journée. Pourtant il était de loin une personne si heureuse que cela et sa mimique en témoignait. C’était là un sourire presque trop artificiel et nullement appuyé qu’on lui connaissait depuis son adolescence. Sa gestuelle semblait fluide et empreinte de détermination dans chacun des aspects de son existence. Détermination venant de cette éducation qui était le joug de tout être soumit à la noblesse.
Afin de retenir cette masse de cheveux pleuvant le long de son dos droit, une sorte de peigne au bois sombre et précieusement travailler en arborant le dragon des armoiries familiales, se trouve jucher sur l’arrière de son crâne, accentuant un peu plus ce contraste des plus basiques. Ses doigts sont un peu court et fermes, idéale pour tout dessinateur qui se respecte. Ses phalanges témoignaient d’elles même de son appartenance à ce monde si envié pour beaucoup, de par ses ongles parfaitement soignés, pourtant il y résidait quelques traces et fines coupures due sans doute, à la pratique du sabre et des exercices répétés. Son corps était des plus sveltes et n’aspirait pas véritablement la force brute, bien que ses muscles soient parfaitement fuselé et enclin à résister à toute offensives. Son allure n’a rien à envier à quiconque, dynamique et rapide, elle parait même un peu trop hâtive, ce qui contrastait étrangement avec cet esprit si patient au demeurant, mais collant parfaitement à cet envie de ne jamais cesser d’avancer, adoptant la philosophie première du monde désertique. « Dans le désert tout est mobile ou bien périt ». Son uniforme ne diffère pas réellement des autres taishos, observant une simplicité respectueuse.
Ses mimiques et ses tocs ne sont que peu nombreux, si ce n’est cette tendance à faire une certaine moue naissante aux bords de ses lèvres lorsque l’embarras le possède. Son rire est fort discret mais empreint de sincérité, nullement faussé. Parfois l’on peut entrevoir ses yeux s’illuminer lorsque la colère l’anime, d’une étrange lueur. Des iris qu’il n’était pas tenu d’y échapper sous peine de voir une colère certes retenue mais parfaitement ressentit, s’abattre sur l’importun. Quand bien même le jeune D’Ongil n’était pas du genre colérique, il n’était pas à l’abri d’un tel ressentit. Ses sourcils ne se haussent que pour démontrer une certaine incertitude ou bien une surprise des plus contenues, alors qu’à contrario son visage à tendance à ce refermer lorsque la tristesse s’éprend de lui-même, laissant seulement ses yeux trahir un peu cet état mélancolique, alors que ses paupières s’abaissaient tardivement et lentement. Une autre de ses particularités est qu’il porte à son oreille gauche une boucle d’oreille en or gris, sous la forme d’un anneau nullement abouti. Simple présent de son jeune frère envers lui, le jour où il fit ses premiers pas au sein même du Gotei Treize il y avait de cela quelques années déjà. Wonsul possédait désormais plus d’un siècle de vie et pourtant son menton était dépourvu de toute pilosité affichant un peu plus des traits aussi fin qu’une jeune épouse. Un fait dont il ne souffrait pas tellement, mais qui accentuait si bien sa douceur que l’ennemi s’en trouvait souvent trompé et n’éprouvait que fourberie lorsqu’il comprenait enfin de la fermeté de notre Go ban tai Taisho.
Histoire & Test RP
Histoire: (Que pour les personnages inventés)
Première partie :Le clan D’ongil est gérer en ce temps là, par Teyu d’Ongil, époux de Kewil Su et père de trois enfants. L’ainée se nomme Pyong, le second Wonsul et le petit dernier, Yongil. Teyu est un homme sage et avisé, comprenant que la valeur d’une personne ne se jugea pas par sa naissance mais par sa façon d’être. Ce qui n’était pas toujours la manière de voir les choses des anciens. Malgré ce différent, l’on ne pouvait nier qu’il était un bon leader, faisant passer l’intérêt de sa famille avant le sien. Depuis près de six cent années, le clan d’Ongil lutte afin de conserver un certain pouvoir qui leur est contesté par le clan Saito. Ces derniers avaient jurés de leur ôter leur titre ainsi que leur ornement. Qu’ils considèrent comme leurs. (Symbole des d’Ongil dans la noblesse.). En effet, par le passé, les d’Ongil étaient devenue bien populaire au sein de la noblesse instaurée et de la population. Ce clan ne regorgeait point de fervents combattants, mais il possédait un certain savoir. Ce fait reconnu, le clan Saito ne supportant pas que de simples érudit soient du même rang, provoqua les d’Ongil dans un duel. Teyu d’Ongil releva donc le défi et se mesura dans l’art du sabre, contre Beryo Saito. Les écrits disent que leurs combat dura deux jours et une nuit, avant que la lame froide du 11e héritier des d’Ongil ne transperce le cœur de son adversaire. Fou de rage le clan Saito ne reconnu point ce duel, mais fut contraint de sertir la coiffe du leader des d’Ongil avec l’ornement doré qui arbora un dragon. Reconnaissant ainsi la supériorité du clan face au clan perdant.
Wonsul naquit Sept ans après son ainée, en pleine été. Il n’était pas rare de les considérer comme des jumeaux, car leurs apparences étaient quasi similaires. Etant donné que Pyong était l’héritière, il eut une vie un peu plus souple que cette dernière, en son début. Comme tout noble qui se respectait, il eut une éducation des plus poussés, grâce aux érudits de sa maison, et développa son amour pour les écrits anciens et l’Histoire de ce monde. D’un naturel patient et calme, Wonsul développa aussi très tôt l’envie de reproduire en croquis tout ce qu’il jugeait intéressant, profitant de ses pauses, entre deux études où entrainements. D’ailleurs Pyong se complaisait souvent à venir près de lui et l’observer s’exercer en son crayonnage… et de lui relater les légendes qu’il avait appris de son propre chef sur le monde du désert. Sa sœur n’avait jamais véritablement compris pourquoi il parlait autant de cet univers..Mais elle aimait voir cet éclat de passion qui animait le regard si clair de son frère.
Le temps passa encore et Yongil naquit, agrandissant encore la branche principal du clan qui estimait vivre des temps plus que prospères. Pyong venait d’atteindre ses 48 ans, et Wonsul allait sur ses 41 années….des années où les rêves étranges ne cessaient de se profiler en l’esprit du future shinigami. Des songes emplis de sable et d’une voix étrangement douce et camoufler par le vent…un vent chaud…. Brûlant… une tonalité, mais des paroles incompréhensibles. Ceci était devenu si quotidien que ses recherches sur le monde désertique s’intensifièrent, tout comme ses croquis tentaient de représenter ses rêves…Mais restaient malheureusement imprécis.
Un jour de printemps, Les anciens ainsi que Teyu estimèrent qu’il était temps pour que le fils ainé du clan entre à l’académie. C’était un fait rare au sein de cette famille où les écrits étaient si bien conservé, mais cela fut décider lorsqu’enfin Wonsul se confit à son père à propos de ces songes. Hors donc lors de ses 42 ans, le noble fut reçut à l’académie. Très vite on dénota ses capacités d’analyse et son sens de la stratégie, qui palliaient agréablement son manque de force, tandis que son maniement du sabre semblait moins développer que son Kido. Cependant..Cela ne résolvait point cette voix qui le hantait en son sommeil… et se sifflement incessant, comme si un corps se déplaçait en rampant sur du sable…Il n’était pas rare qu’il s’éveille en pleine nuit, avec la sensation d’avoir tellement chaud que ses lèvres en étaient asséchées tout comme sa gorge. Quelques fois, lorsque l’académie le lui permettait, le noble regagnait sa demeure et profitait un peu de son jeune frère et de la présence de sa sœur afin de se ressourcer. Cette dernière lui ressemblait toujours autant et gardait un silence respectueux et attentif, lorsqu’il lui parlait encore de ses songes… Des rêves bercés par un vent aride, et un sifflement constant, comme si quelque chose se mouvait sous l’instabilité du sable….
Le temps s’écoula encore, et c’est à l’aube de sa sixième année, lors d’un entrainement acharné que son shikai lui fut révélé…Ghanima….elle s’appelait Ghanima…Celle qui retenait toute chose d’un combat. Elle disait qu’il venait à peine d’entrevoir l'hadhdhab, cette omniprésence du désert. Dans son monde intérieur, il pouvait en effet, voir à perte de vue un désert des plus immense…bien plus que ce qu’il imaginait en lisant les livres de son clan. Il pouvait ressentir en son cou le souffle chaud du vent et la morsure du soleil en sa peau blanche… mais il n’en éprouvait pas pour autant de la douleur ou une sensation désagréable..Non plutôt de la fascination et de la curiosité, car enfin ce monde temps approcher en ses rêves semblaient vouloir se présenter enfin à ses sens. Mais c’était sans compter l’aspect si fier et indomptable de Ghanima, qui concéda cependant à lui prêter sa force. Depuis se jour, si particulier, Le jeune D’Ongil passait de longues heures durant la nuit à converser et à comprendre le langage que lui enseignait son Zanpakuto, celui qui le nommait curieusement Shadout (Celui qui creuse les puits). Une langue venant des temps lointain où les grands faiseurs régnaient sur ces dunes et ce vent si chaud. Chaque entretient agrandissait un peu plus cette relation de complicité, apprenant à Wonsul à mieux percevoir le sens du devoir de Ghanima et sa logique. Tant et si bien qu’au final le langage de notre jeune noble évolua en devenant tout aussi mystérieux par moment que toutes ces légendes ensablés.
Deuxième partie :Lorsqu’il fut disposé à rejoindre le Gotei 13, Wonsul entra au sein de la sixième Division en tant que Sixième siège. Au départ tout ne fut qu’entrainement et mise à l’épreuve afin de s’intégrer pleinement parmi les autres officiers ainsi que subordonné. Dans un premier temps cela ne fut guère si simple car même s’il possédait un air calme et presque avenant cela ne plaisait pas toujours à tout le monde, notamment lorsqu’il employait des mots que peu, pouvait comprendre. Que l’on soit du monde des vivants ou non, l’étrangeté accompagné d’une touche de noblesse était toujours empreinte de réticence. Pas une seule fois cependant, Wonsul ne s’en plaignit, concédant qu’il se devait à son devoir et qu’au final ses actions parleraient plus que son nom où bien ses manières. Au fil du temps, cette impression de rejet s’estompa, jusqu’à disparaitre des esprits de certains et les missions se succédèrent inlassablement. A l’époque le Fukutaisho n’était autre qu’ Hanabishi Recca, un être respectable et qui par simple ironie du sort possédait un pouvoir bien voisin du sien. Pourtant ils ne se parlèrent jamais réellement, comme s’il n’y avait rien à partager, si ce n’était que implicitement apparemment. Du moins c’est ce que l’on se plaisait à croire. Le futur fera que cet homme disparaitra, délaissant une Division bien ébranler par cette trahison… notamment Wonsul, qui observait un goût pousser pour ce qui était de la droiture… Cependant, ce jour fatidique, le noble D’Ongil avait été envoyé en mission. Une brèche venait de se créer non loin de la zone Est du Rukongai et les Hollow n’allaient certainement point se privé d’en profiter. A son retour, on lui annonça la traitrise et ce n’est que quelques jours plus tard qu’il se vit prendre la place de troisième Siège.
Forgé par le désir inassouvi que de comprendre le désert, et ainsi démontrer que cet élément n’avait en rien été entaché par Recca, Wonsul redoubla d’acharnement concernant son entrainement, n’ignorant jamais cependant ces autres facultés comme le Kido et son devoir au sein du Gotei Treize. Cela bien sur ne passa point inaperçu et au lieu d’être rabroué pour cette tentative, Son taisho le guida bien que indirectement, cherchant à le faire réfléchir par lui-même, le laissant parcourir le chemin qui le mènerait à son but. Les jours et les années défilèrent, sans que Wonsul ne cède d’un pouce en ce qui concernait sa volonté. A l’aube de sa neuvième décennie, le noble plongea en son monde intérieur, profitant de sa journée de repos….Son visage semblait concentré et paisible aux yeux de son jeune frère qui s’était glissé en douce dans la pièce, et c’est silencieusement qu’il vint prendre place à ses côtés. Le souffle qui se dégageait de cette poitrine, semblait lent et imperturbable. Pourtant l’heur était venu, et le D’ongil se confrontait à Ghanima, ce Zanpakutoh qui tel un fremen le combattait de toute sa puissance et sans retenu. Les coups paraissaient précis et inflexible, laissant entendre le son clair du métal de leurs lames, chacun recherchant à devenir le maître du désert. Le combat dura de nombreuse heures…qui dans la réalité s’était couvert en une journée entière. Ce n’était point la premier fois que le noble s’y évertuait..cela faisait maintenant plus de dix années consécutives… Une tempête se leva soudain en ce désert intérieur, un vent Coriolis des plus violents, qui se dirigeait vers nos deux combattants sur le haut des dunes du Sareer. La lutte cessa dès lors que les premiers grains de sables ne vinrent érafler leurs peaux, délaissant un peu de sang s’écouler de leurs joues. Quel gâchis d’eau. Cela semblait intolérable pour Wonsul comme pour son Zanpakutoh qui se réfugièrent dans le Siètch ( abris) afin d’y reprendre un peu leurs souffles et préservant leurs eaux. Deux heures passèrent avant que le calme ne revienne..et l’affrontement reprit de plus bel. Ce n’est qu’a l’aube du cinquième jour que quelque chose changea. En effet, impressionné par la ténacité de son porteur Ghanima lui proposa d’affronter le Shai hulud, car il ne pouvait en aucun cas servir plus que cela un être qui n’était fremen que de nom. Sans plus attendre l’être aux yeux de l’Ibad frappa avec force et régularité le sol instable, et ce n’est que quinze minutes plus tard qu’un grand faiseur manifesta sa présence par d’immenses éclairs de chaleur. La peur grandissait en la poitrine de notre shinigami, qui pourtant s’imposait un calme des plus absolus en récitant la litanie contre la peur.
Cette dernière fit son effet, car bientôt chacun de ses muscles se décontractèrent, jusqu’à laisser une paix sans nom s’installer en son être… L’air était suffoquant, et sa tenue claquait fortement sous le souffle, ses phalanges restaient sec et sûr de leurs prises, tandis qu’enfin le grondement des plus gutturaux se manifesta de manière assourdissante, et le sol devenant instable vibra sous ses piedsIl ne ne bougea point, conscient de ce qu’il devait faire, attendant patiemment l’approche du Shaï hulud. Celui-ci surgit enfin des sables et se profila juste devant lui, rejetant une odeur des plus intenses et enivrante….l’epice..comme dans ses livres anciens….Wonsul observait une position des plus parfaite, tandis que les anneaux passaient juste devant lui, effleurant ses jambes qui ne tremblaient point. D’un mouvement appliqué, le shinigami bondit sur ce flanc immense, se laissant transporter par ce bruit assourdissant et cette odeur enivrante, sur ce géant qui devait faire dans les quatre cent mètres… prestement Wonsul gravit petit à petit la distance qui le séparait du sommet. Une fois sur le dessus, le sentiment de la prudence ne disparut pas, bien au contraire elle s’accentua un peu plus en ses gènes, tandis que d’une voix parfaitement maîtrisée et affirmée, il ne put s’empêcher de dire :
- Bénit soit le faiseur et son eau, bénit soit ses allés et venues, puisse son passage laver le monde. Haiiii-yoh ! La créature usa d’un grondement des plus puissants, à cette injonction qui n’était autre que le cri du meneur de ver des sables, alors que Ghanima fort de constater de la domination de ce vieux père de l’éternité, se rangea à ses côtés….désormais l’un comme l’autre étaient devenu des serviteurs du désert.
Depuis lors le noble obtint donc son Bankai et ce n’est que quelques années plus tard encore qu’il ne parvint à le maîtrisé pleinement et se confronta à la recommandation de son propre supérieur aux examens des capitaines.
Aptitudes
• Shinigami/Vizard...•Nom du Zanpakutô : Ghanima
Forme scellée :
Ghanima veut signifier en langage du désert : la somme de toute expérience. Sa forme est d’un genre sobre, le fourreau est d'un noir plutôt mat et sa garde est ornée d'un petit poisson doré semblable à une truite, sans aucun doute une référence aux truites des sables qui peuplent les légendes du monde désertique. Tout comme son manieur son apparence basique est typique des plus humbles des Katanas, refusant cette arrogance si noble. Ce dernier mot ne devait se faire comprendre que dans l'action et non dans l'objet en lui même.
Son apparence dans son monde est mi animal mi humaine, mi homme, mi ver des sables. Le haut de son corps ressemble en tout point à tout ce qui est de plus masculin, bien que camouflé par une tenue souple et fine, qui lui permet de récupérer l'eau de son corps et de la boire quand le besoin se fait sentir, par un simple tube fixé sur le haut de sa tenue, autrement dit un Distille. A la place des jambes, on peut observer des anneaux laiteux qui sont caractéristique à ceux d'un Shai hulud décrit dans certains livres humains. Cette queue mesure bien quatre mètres de long, et forme des sillons dans le sable lorsque Ghanima se déplace. Quand à son visage il était tout aussi lisse que celui de Wonsul, bien que mate et que ses yeux sont d'un bleu sur fond bleu, appeler aussi yeux de l’Ibab. Ses cheveux sont cuivrés et renforce son teint bronzé.
Description et prononciation du Shikai :
Afin de le libérer, Wonsul se doit de se couper légèrement la dernière phalange de son pouce, délaissant ainsi son propre sang s’écouler le long de la lame en acier. Cela témoigne de la tradition chez les peuples du désert, lorsque toute arme blanche est dévoilée au grand jour. Elle ne doit jamais regagner le fourreau sans que le sang ne fût établi. Hors donc une fois cela accomplie, la lame devient aussi translucide que le verre, et ne se laisse découvrir et trahir que par la luminosité conférer par le soleil, si tend est que l’on soit un bon observateur. Ainsi il est simple de tromper dans la distance de la porté d’action de notre noble. Sa phrase de libération est : « Enseigne-moi Ghanima »
• techniques :
El-Sayal : « pluie de sable ». Elle se manifeste lorsque Wonsul libère son sabre. Cette pluie de sable peu aussi bien gêner la vue de l'adversaire comme de lui infliger des coupures multiples et profondes. Mais le El Sayal peut aussi former un dôme de protection vis-à-vis de Wonsul.
Mur de protection : Le sable comme chacun sait, n’est pas si volatile. Il peut être aussi dur que le béton s’il se retrouve compacter. Aussi Wonsul peu en user ainsi pour se défendre de certaine attaque directe. Mais si l’attaque est bien trop puissante, cela ne fera qu’amortir avant de céder.
Le clone de sable : Le sable prendra la forme de notre shinigami un court instant pour tromper l’ennemi. Technique pouvant être usé en mode Shikai, comme en mode Bankai.
Description et prononciation du Bankai :
Ce n’est que sous le terme de : Ya Yawm Coriolis et alors que d’un geste simple et sans rappeler les mouvements calligraphiques de ses peuples si mal connu dans ses endroits si dépeuplés et arides, de sa lame sur le sol, qu’une gigantesque tempête de sable se manifestera juste derrière lui. Cette première forme est d’autant une technique de défense, comme d'attaque. Elle formera un mur infranchissable (bien plus efficace que le El Sayal) ou le déchiquettera de sa violence. Wonsul contrôlera ce bankai avec les mains, car son zanpakutoh se divisera en de multiples grains de sable qui se mêlera à la tempête coriolis.
• Bankai :
Ya Yawm Coriolis : C’est une tempête de sable, bien plus conséquente et plus violente que le El-Sayal. Cette fois si son sabre est diviser en particules de sable pour se mêler à la tempête et de ce fait, Wonsul peut user de cette attaque avec plus de vélocité et de précision.
Hai Yoh Shaï Hulud (l’arrivée du vieux père éternité.): Le sable prend la forme d’un énorme ver des sables, (Un Shaï-hulud) et englouti l'adversaire sans préavis.
Tahaddi Sareer (le défi du Sareer): Le sable se compact et devient de multiples lames de verres qui se suspendent en l’air avant de se diriger d’un seul coup sur leur adversaire. C’est une technique que Wonsul ne peut pratiquer qu’une seule et unique fois, cependant il retrouve son sabre en sa main droite, contrairement au deux autres techniques.
Spécialisation de combat : [] Zanjutsu ; [] Hakuda ou [X] kido
Vous
Âge : 27 ans
Disponibilité : [8/10]
Expérience dans le monde du RP : 6 ans de RP
Quelque chose d'autre à nous dire ; La vie est belle [X] VDM [] Options "corde" ? "Huitre" ? "Herbe" ?[]
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