Julian LMorpheus [Terminée]

Votre personnage

Nom : Morpheus
Prénom : Julian
Âge : Séculaire
Sexe : Masculin
Camp : Neutre
Race : Arrancar | Ex-cuarta Espada

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Caractère :

Une description morale hein? C’est pas facile de faire ça sans être trop objectif vous savez? Puis vous voulez savoir quoi exactement? Mes ambitions? Mes défauts? Mes qualités? Mes rapports avec le chien du voisin? Tout?! Mais vous êtes des grands malades !…M’enfin bref, c’est la règle du jeu et j’ai bien envie de jouer alors…

On va peut-être commencer par l’objectif que j’ai donné à ma vie non? Celui-ci, mon objectif je veux dire, n’a pas toujours été le même. Lorsque le Hueco Mundo était ma demeure, il m’a d’abord fallu survivre et dans ces cas là, je vous assure que vous n’avez rien d’autre à penser. Le tout est de manger ou de se faire manger, de chasser en étant sur de ne pas être soi-même une proie. Si cette période de ma vie est plutôt loin maintenant, elle a toujours un impact sur ma personnalité actuelle et c’est sûrement ce passé commun à tous les arrancars qui nous donne une combativité souvent supérieure aux hommes et shinigamis. Aujourd’hui, alors que je mène une existence bien tranquille dans la ville de Karakura, le but de celle-ci a bien changé. Oublier ses vieux démons et profiter du soleil, enfouir ses vieilles peurs pour s’immerger dans un paisible train-train quotidien au delà de tout souci. Ceci résume bien ma vision du monde à présent. Il y a tant de choses à faire ici bas qu’on ne pouvait même pas imaginer dans le monde creux. Se mettre à la fenêtre pour profiter du rayonnement solaire, manger une glace quand ce dernier est trop enthousiaste, faire une sieste sur un banc, emplissant ses songes des bruits des enfants jouant tout près de là. Cela vous semble invraisemblables que de tels propos s’échappent des lèvre d’un arrancar? Monstre démoniaque, fils d’une âme en peine et aussi puissant qu’un dieu? Qu’il en soit ainsi. Je n’ai aujourd’hui de compte à rendre à personne et cette vie simple, une vie d’homme en somme, me convient parfaitement. La dernière centaine d’années que j’ai passé parmi ces frêles êtres a été la plus fabuleuse période de ma vie, et celui qui m’y arrachera n’est pas encore né.

Oula…je me suis emporté et vous ai ouvert mon cœur plus que je ne pensais le faire à l’origine. Enfin tant pis, je n’ai pas honte de ce que je suis et de la vie que je mène après tout, c’est une manière comme une autre de vous le faire comprendre. Bref, qui dit portrait moral dit détail des qualités et des défauts si je ne m’abuse ? Je vais commencer par les défauts si vous voulez bien :

Ils sont assez nombreux et pour qu’il me reste un tant soit peu de dignité à la fin de ce monologue, je vais simplement m’attarder sur les plus imposants. Le premier de ceux-là n’est autre que la paresse. Quoi qu’il m’arrive, je serais toujours beaucoup plus attiré par mon lit que par quelque chose pouvant pourtant sembler plus palpitant. Il y en a qui naissent hyperactifs, moi je préfère en faire le minimum. Faire du sport, la vaisselle, le ménage, appuyé sur le bouton de la télécommande : tout ça me fatigue l’esprit avant que mes membres ne songent à bouger. L’ennui ? C’est une notion plutôt abstraite pour moi. Ayant vécu longtemps dans un univers mort, froid et léthargique, rien que la vue d’une grand mère traversant la rue relève de l’événement du jour. Me poser à la fenêtre et observer la ville vivoter suffit à me divertir pendant des heures entières. Bref, vous l’aurez compris, moins j’en fait et mieux je me porte, et de ce point de ma personnalité en résulte un second que je considère encore aujourd’hui comme une tare. Je n’aime pas me battre. Ne vous y trompez pas, ma nature profonde, celle d’un hollow monstrueux m’oblige à aimer le sang et la douleur d’autrui. Seulement, le combat est une activité demandant beaucoup d’énergie et n’est qu’une suite d’actions comparable à un cercle vicieux. On me frappe, je frappe, on me frappe, je frappe…La logique qui est la mienne consiste à rompre ce cercle fatiguant en ne cherchant simplement pas le conflit. Evidemment, un tel comportement de la part d’un arrancar à de quoi choqué, mais dites vous bien que mon humanité grandit chaque jour que je passe parmi ces êtres insouciants.

Comme précisé ci-avant, je ne vais pas m’appesantir sur mes défauts étant donné que j’aimerais bien équilibré la chose avec les qualités et que ces dernières ne sont guère nombreuses d’après moi. En fait, en tout et pour tout, je ne m’en trouve qu’une seule et même si ce que je vais dire pourrait vous paraître quelque peu prétentieux, j’ai put à maintes occasions prouver ce fait. Avec mes jambes, l’organe le plus développé chez moi n’est autre que le cerveau. Oui, je suis intelligent, et je n’use d’aucune arrogance en vous l’annonçant puisque c’est tout simplement la vérité. Je suis le genre de personne à tout calculer pour minimiser ses efforts, à tout observer pour maximiser son potentiel. Le hasard n’existe pas et ce qui semble être parfois de la chance n’est que le résultat de l’alliances de diverses forces parfaitement contrôlable. Je suis un stratège, un pleutre pour certain, mais quelqu’un qui n’a cependant jamais été vaincu une seule fois dans sa vie. La raison en est simple, lorsque la difficulté rend le succès impossible, la fuite est le meilleur moyen de ne pas perdre, lorsque la probabilité de réussite est trop faible, il ne reste plus qu’à contourner le problème. Cette faculté que j’ai de cerner tous les aspects et enjeux d’une situation d’un coup d’œil est-ce que j’appelle de l’intelligence. C’est une capacité innée que mon évolution dans le désert du Hueco Mundo à rendu unique, un trait de caractère qui a modelé tout le reste de ma personnalité. J’ai quitté le Hueco Mundo car je n’avais plus rien à y gagner, je reste à Karakura car c’est ici que mes chances de ne pas m’attirer d’ennuis est la plus forte. Bref, tout ceci pour vous expliquer qu’en dehors des apparences, il n’est pas conseillé de me sous estimer dans quelque domaine que ce soit.

Je crois bien que j’en ai finit avec la description de mes traits moraux et physiques ? Ouais? C’est bon alors, je peux entrer maintenant? Non ? Mon histoire ? Vous êtes du genre chiant ici en fait !

Physique :

Euuh…Salut la compagnie. Je suis arrivé ici motivé, prêt à déculotter shinigamis en robe et arrancars prétentieux quand on m’a dit que je devais passer un casting d’abord…Bref, le gars qui m’a annoncé ça, un type bizarre, assez moche d’ailleurs…Shirotruc? Enfin le big boss du quartier quoi, m’a dit qu’il vous fallait une description complète de ma personne. Franchement, je peux pas simplement vous filer une photo?…Non? Bon, bah c’est parti alors…

Je suis un mannequin, le genre de type qui vous rend aveugle tellement il vous éblouit, qui vous fait tomber à la renverse lorsque sa beauté vous frappe. « Sexy Julian », c’est comme ça que les filles m’appellent, et je vous fais pas la liste des blazes qu’elles me filent après la première nuit. Bref, y’a dieu et puis y’a moi…Vous y avez sérieusement cru? Non mais vous m’avez bien regardé? Au mieux, avec des chaussures aux semelles bien balèzes, je dois difficilement atteindre le mètre soixante-quinze, rien que ça ruine totalement ma carrière dans le mannequinat. Sinon, il faut avouer que j’ai rien de vraiment remarquable. Assez mince, je me faufile plutôt aisément et ça m’avantage pas mal quand je me bats. La nature n’a pas été trop dégueulasse avec moi dans le sens ou sans jamais rien faire, sans aucun exercice et en dormant une bonne moitié de ma vie, j’ai toujours eut un corps bien bâti, robuste et propice à encaisser les coups. Sûrement le fait que je sois mi-hollow qui ne me permet peut-être pas de prendre du poids…pratique hein? Et pour finir, si vraiment j’entre dans le détail, je dirais que la partie de mon corps qui me donne le plus de fierté, si tant est que je possède une quelconque estime de moi, serait ma paire de jambe. Ouaip, j’ai jamais eut de problème à la course, et le sonido : vous savez le truc qui permet aux arrancars de se déplacer super vite? Ben ça a toujours été mon point fort. Faut avouer qu’on organise rarement des compétitions d’athlétisme au Hueco Mundo, mais quand j’y étais, je me faisais souvent courser pour un oui ou pour un non par les autres espadas, et je me souviens pas m’être fait chopé une seule fois.

On va peut être passé à ma trombine? Parce que c’est pas avec ce que je vous est dis de moi que vous allez me reconnaitre si on se croise au détour d’une ruelle. Sans vous mentir, sans être ni modeste, ni prétentieux, et surtout sans l’ironie déjà expérimentée dans le paragraphe antérieur, j’ai bien envie de me considérer comme une beau gosse. Si ma silhouette n’a rien de vraiment érotique, on peut dire que je me rattrape avec la tête. Mes traits étrangement harmonieux s’inscrivent dans un ovale, certes plutôt prononcé, mais qui ne choque pas outre mesure. Je suis le genre de gars qui sourit rarement si ce n’est par nervosité. Pour autant, mes lèvres et leurs expressions ont un effet magnétique et en disent plus qu’elles en n’ont l’air sur le fond de mes pensées. Au dessus, et je ne vais pas vous pondre un roman, il y a mon nez, bien centré, droit…Bref, un appendice nasal des plus ordinaire, le nez de monsieur tout le monde en somme. L’encadrant, mes yeux à la teinte seulement déterminé par l’éclat du soleil et de la lune sont sûrement les deux diamants attirant la gent féminine à mon chevet. Vibrant d’honnêteté, on y trouve également une bonne touche d’intelligence et de cynisme. Parfois bleus pâles, d’autre fois gris ou encore décorés de minuscules éclairs dorés, ils sont le trait physique dont se rappellent mes interlocuteurs et que le regard de ces derniers ne quitte jamais. Enfin, et pour en terminer avec cette foutue description que je qualifierais d’organique, parlons donc de mes cheveux. Cascadant non sans se rebeller jusque dans le bas de mon cou, ils sont grisâtres et m’ont souvent valus les regards étonnés d’inconnus que je croisais dans la rue. Je ne vous dirais pas qu’ils sont difficiles à discipliner puisque je ne m’y suis jamais essayer. La coiffure qui est la mienne n’est que le résultat de ma précédente nuit de sommeil.

Je pensais en avoir terminé mais je viens de me souvenir que dans votre imaginaire, je dois me trouver actuellement nu…’Fin bref, dans ce dernier paragraphe je vais devoir vous expliquer comment je m’habille sinon je crains que vos pensées dépassent les limites du raisonnable si vous tenter d’imaginer ce que j’ai passé sous silence dans cette description. Alors, on peut difficilement penser que mon look vestimentaire déroge aux principes de bienséance. J’ai des goûts assez banals dans l’ensemble, préférant les fringues qui n’attirent pas les regards, ceux qui rendent discret la personne qu’ils habillent. J’utilise dans la majorité des cas des modèles plutôt sombres, souvent carrément noir d’ailleurs, jouant parfois avec le contraste en usant de couleurs plus clair pour faire ressortir telle ou telle partie de ma tenue. Les vêtements amples ne sont vraiment pas faits pour moi. Le frottement incessant et le bruit monotone qui m’accompagne lorsque j’en porte m’irrite au plus haut point. A l’inverse, les pantalons serrés et les tenues près du corps me donnent une liberté de mouvement que j’apprécie réellement, surtout que dans un monde tel que le nôtre et pour un être comme moi, on ne sait jamais quand la prochaine agression viendra. Il serait idiot de perdre la vie car son pantalon s’est coincé sous sa chaussure vous ne pensez pas? Enfin bref, je crois que ce coup-ci, j’en ai réellement terminé. Je vous conseille de faire une pause avant de reprendre la lecture de cette chose censée me présenter…j’ai malheureusement bien conscience que mon éloquence soit tout sauf enivrante mes amis. =‘(

Histoire & Test RP

Histoire:

Bon, je crois que j’ai pas à vous faire le topo sur la naissance d’un hollow? En bref, c’est un homme qui meurt et dont l’âme maléfique est transférée au Hueco Mundo. Il se transforme alors en monstre difforme avec un très mauvais caractère et tente sans cesse de s’échapper de son univers pour aller bouffer des âmes pures restées sur terre. Et ça, c’est-ce que je suis, ou en tout cas, c’est-ce que j’étais il y a quelques centaines d’années. De ma vie d’humain je ne garde que des bribes de souvenirs, quelques vagues images qui ont en commun de me faire souffrir aussi bien moralement que physiquement. Je suppose qu’un hollow n’a le droit de se rappeler que des causes de sa transformation, c’est sûrement un juste châtiment pour ce que nous avons put faire dans notre vie antérieure. Mais passons, je ne pourrais plus développer cette partie de mon existence puisque je ne m’en rappelle pas. Cette biographie commencera donc à mon arrivé dans le monde mort et froid dont on dit qu’il est creux, ce désert immonde, inhospitalier et rempli de prédateurs que l’on nomme habituellement Hueco Mundo.

Je ne sais pas si la forme que l’on prend lorsqu’on se transforme en Hollow est déterminée par notre personnalité ou notre âme. J’ai en tout cas gagné le gros lot pour ma part puisque la nature m’a doté d’une paire d’aile et m’a donc donné un très bon moyen de survie dans cette lande infestée de créatures affamées. Alors que nombres d’entre nous deviennent fou rien qu’à ce stade là, j’ai, moi, étrangement gardé ma raison et cette dernière m’a poussé à aller de l’avant. Pour un hollow, aller de l’avant est synonyme de ne pas se laisser dépérir, de se nourrir continuellement et de lutter pour accéder au sommet de la chaîne alimentaire. J’ai triomphé de ce parcours du combattant et suis devenu maître d’une zone plutôt imposante dans ce désert sans fin. Je passe rapidement sur ces détails car ils sont communs à tous les élus ayant réussi l’incroyable : ressusciter sous la forme d’un arrancar.

Ayant gardé ma conscience intacte, je me suis nourris de mes congénères, sachant que là était ma seule chance de survivre. Un jour, la force et le reiatsu que j’avais ingurgité depuis mon arrivé fut si importante que mon corps se métamorphosa: je devins menos grande. Encore une fois, cette transformation est dans quasiment tous les cas propice à créer la confusion dans notre esprit. Un menos grande que je qualifierais de « basique » n’est qu’une chose sans pensée si mémoire, une créature grotesque qui vit sans vivre. A l’heure de ce changement et à l’instar de nombre de mes congénères, j’ai une nouvelle fois pus protéger mon esprit de la folie qui le gagnait et je pus ainsi conserver ce qui fait l’avantage d’un hollow face à ses pairs : l’instinct de survie. Comme je le faisais depuis déjà longtemps, je recommençai à dévorer tout ce qui croisait ma route. Doté de cette nouvelle puissance, les hollows normaux ne me suffisaient plus, il me fallait engranger toujours plus de reiatsu pour oser espérer ne pas finir ma vie sous cette forme.

Peut-être vais-je abréger? Vous devez sûrement vous doutez de ce qui est arrivé ensuite. Les années passant, j’ai absorbé de plus en plus de mes congénères et ce qui devait arrivé arriva. C’était un jour, ou peut être une nuit. ♫ Près d’un lac…ouais enfin bref, mon corps ne pouvant en supporter plus s’est une nouvelle fois transformé et je devins un Gillian. Pour l’une de ces créatures, je n’étais, il est vrai, pas très grand. A peine plus haut qu’un homme et un masque recouvrant toujours la totalité de mon visage, j’étais devenu moins impressionnant qu’avant mon évolution. Pourtant, une puissance incroyable déferlait soudain dans mes veines et une phrase commençait à doucement résonner à mes oreilles. Elle disait : « ton règne commence, à peine le chemin est encore long » et cette voix qui la murmurait sans cesse me poussait à continuer mon ascension vers la toute puissance. J’étais un élu, et lorsque le temps de passer Adjuchas vint, je me trouvais étonnement loin d’être satisfait. Il m’en fallait plus, toujours plus. Mon cœur était celui d’un roi et mon âme celle d’un dieu. Cette forme ne me satisfaisait pas, je devais encore pouvoir en changer.

J’ai franchement la flemme de radoter et ne vais pas tourner autour du pot. Mon destin était scéllé depuis ma naissance, j’étais l’un des quelques élus parmi les hollows qui devaient régner sur ce monde creux : j’évoluai bientôt en Vasto Lorde. Sous cette forme, il commençait à être compliqué de me différencier d’un homme ou d’un shinigami. Pourtant, il ne se faisait aucun doute sur mon origine, et pour cause, un dernier vestige de masque blanc traversant mon visage au niveau de l’arrête du nez et se prolongeant dans une autre direction vers l’arrière de mon crâne m’identifiait aux hollows. Aussi, une paire d’ailes, différentes de celle qui m’avaient été offertes précédemment, composées de plumes noires de jais décoraient mon dos et me permettait d’atteindre les cieux à des vitesses inimaginables. Enfin, dans mes mains trônait une arme, une lance munie de trois pointes disposées en croix. Ainsi, je ressemblai à un ange, un ange maléfique, mais un ange quand même et je me donnai par la même un nom. Pourquoi à cet instant? Pourquoi pas avant? Je n’en ai aucune idée, ça ne m’avait tout simplement jamais frôlé l’esprit. Je ne me souvenais pas de mon nom antérieur, mais deux mots résonnaient dans ma tête, dictés par la même voix qui m’avait poussé à m’élever jusqu’au sommet : Julian Morpheus. Était-ce cela mon nom? Peu importe, je trouvais que ça m’allait plutôt bien…

Vous avez remarquez? Je ne suis toujours pas devenu arrancar, et pour cause, ce n’est qu’avec la rencontre avec l’un de ces êtres quelques années plus tard que j’atteins enfin le stade ultime de l’évolution. Au début, je pensais avoir affaire un humain égaré je ne sais comment sans ce désert hostile. Après coup, cette pensée me semble en tout point ridicule puisque personne d’autre qu’un hollow ne peut créer de passage entre le Hueco Mundo et le monde des hommes. Mais bref, je rencontrai cet être qui me recommanda de le suivre. Une distraction est la bienvenue dans cet univers vide d’activité et je ne posai pas de question qui puisse briser cet espoir de changement. Je sentais en cet homme une puissance au moins égale à la mienne et j’appris plus tard qu’elle l’était en fait bien plus que chez n’importe quel autre être que j’ai put rencontrer dans toute ma vie. Selfura Balthimore, c’était son nom. Il m’amena dans un palais que je ne connaissais pas, un édifice du nom de Las Noches et qui était remplis de personnes semblables à lui. Ils étaient tous des arrancars, des hollows ayant arrachés leur masque, et je ne tardai pas, moi également, à me débarrasser de cette décoration faciale. Un nouvel arrancar était né et il s’appelait Julian Morpheus. Je faisais à partir de ce moment partie de l’élite officielle du Hueco Mundo et mon train de vie allait en être considérablement modifié.

J’entrai rapidement dans l’espada et me hissai tout aussi promptement au quatrième rang de ce groupe regroupant les entités les plus puissantes du monde creux. J’étais un Vasto Lorde, un être rare, une créature fabuleuse qui pouvait compter ses frères sur les doigts d’une main. En ce sens, je fus privilégié à Las Noches et craint par beaucoup. Si je n’étais ni violent ni belliqueux, la taille de mon reiatsu me garantissait la sécurité. Je n’avais plus à chasser, je n’avais plus a fuir. J’étais une espada et les hollows se soumettaient à moi. Je ne peux pas vraiment vous expliquer pourquoi, mais toutes ces faveurs et cette vie trop calme ne fit que m’agacer de plus en plus chaque jour. Peut être le fait qu’il ne m’était plus possible d’évoluer avait mis fin à l’objectif de mon existence. Lorsque plus personne n’est au dessus de vous, votre combativité chute et l’ennui vous ronge. Je ne supportait bientôt plus cette situation et ne trouva qu’une solution pour y remédier : quitter le Hueco Mundo, ce monde qui n’avait plus rien de neuf à m’offrir. Voilà ou j’en suis. Depuis ce jour pendant lequel je suis passé dans le monde des hommes, je vagabonde et me satisfait de cette existence que je trouve plus attrayante que la passivité ambiante du monde creux. Après avoir voyagé dans le monde entier, après avoir vu monts et merveilles, je crèche actuellement à Karakura, ville m’ayant attiré pour une raison qui m’est encore obscure.

Aptitudes

Nom du Zanpakuto : Angel

Forme scellée :

Spoiler:

Angel prend la forme peu commune d’une lance, un lance originale à l’élégance certaine avec laquelle je viendrais tondre la pelouse chez vous contre une rémunération conséquente. Auréolée d’une lueur azurée, décorée d’une multitude de gravures révélant mes sentiments enfouis, elle possède paradoxalement l’allure d’une arme bienfaisante. Longue de presque trois mètres, ce fléau me permet d’avoir une allonge largement supérieure à mes adversaires oubliant parfois que les katanas n’ont pas le monopole chez leszanpakuto. Ayant la fragile apparence d’une arme de cristal, Angel n’en reste pas moins un trancheur d’âme impressionnant, aussi solide que n’importe quel autre, capable de tracer dans l’air des sillons de sang aussi bien que des vagues de reiatsu déroutantes. N’apparaissant dans mes mains qu’en cas de nécessité absolue, elle tire en fin de compte son appellation de l’être ailé gravé sur sa garde, un ange au sourire trompeur qui ne fera qu’une bouchée des imprudents imbus de leur force.

Description et prononciation de la libération :[/center]

"Murmure Angel"

Tenu à la verticale devant moi, Angel se met à produire une lueur bleutée devenant rapidement aveuglante et me dissimulant aux yeux de tous. L’éclat s’affaiblissant, je me découvre peu à peu sous une nouvelle apparence, celle d’un ange aux allures infernales. Non pas blanches, la paire d’ailes aux plumes soyeuses s’étant extirpée de mon dos est telle la nuit, noire comme l’ébène et inquiétante de tranquilité. Sur mon visage devenu plus dur, un masque de hollow jusqu’alors peu apparent m’enserre le front à la manière d’une auréole de craie. Enfin me recouvrant des épaules aux mollets, une cape blanche tel un linceul de soie vient me donner l’air faussement bienfaisant surprenant sans cesse mes adversaires.

Mes pouvoirs ? Comme vous pouvez vous en douter, un arrancar utilisant sa resureccion retrouve ses forces perdues lors de l’arrachage de son masque. Ainsi, ma vraie forme dévoilée m’autorise une gain de puissance et de vitesse considérable. Aussi, j’acquiers la capacité de me régénérer instantanément de toute blessure, qu’elle soit matérialisée par une coupure bénigne ou par un membre arraché, améliorant ainsi la capacité naturelle des arrancars à guérir rapidement. Enfin, si ma lance ne change pas d’apparence, elle profite également d’un gain de pouvoir puisque son extrémité non tranchante acquiert la faculté d’émettre une lueur salvatrice. En effet, tout ce qui sera baigné de cette aura se régénérera dans l’instant, tout être organique retrouvera sa pleine forme physique et toute fatigue s’envolera des membres de quiconque s’en approchera. Attention cependant, s’il m’est possible de soigner, je peux également inverser le cycle et rouvrir les blessures par un simple contact physique avec cette pointe non tranchante de mon arme.[/justify]

Vous

Âge : 18 ans
Disponibilité : 6/10
Expérience dans le monde du RP : Plusieurs années et quelques persos...
Quelque chose d'autre à nous dire : Plouf la nouille
Comment trouvez vous le forum ? Chargé graphiquement mais tout me va sinon. Cool

Comment avez-vous connu le forum ?[color=white] Par la fonda

Prez terminée.
Enjoy ! =)

Bwahahaha!!!!
Après lecture de ce pavé, je ne peut pas dire non face à une fiche aussi bien réalisée et plaisante à lire. J'aime beaucoup l'idée du personnage et l'originalité de ta résurrection.
Tu as donc ma voix et un badge de membre de mon fanclub Cool

.... oh et si <3
*tronçonne le nouveau BWAHAHAHAHHAHA*

Bon et bien je ne peux pas vraiment lutter contre ça hein.... voilà une bien belle présentation (comme d'habitude j'ai envie de dire).
Tu as également ma voix. Plus qu'une avant validation complète.

Uhmm......

Belle fiche et originalité, aussi je salue une telle chose par ma voix.

Tu es donc validé , félicitation =)

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