Le monstre arrive, préparez vous à morfler.

Nom : N’en a pas. >>.
Prénom : Ryûku.
Âge : Pas loin d’une centaine d’année.
Sexe : Mâle.
Camp : Tojus, le sien en gros.
Race: Chef des Tojus.

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Caractère : (Minimum 15 lignes)

Si l’on devait résumer Ryûku en un seul mot, le meilleur qualificatif serait ‘monstre’.
Ce zanpakutoh est horrible, tant par sa façon de penser que par son humour déplorable, c’est dans les moments les plus inattendus, qu’il vous sortira une vanne, venant tout droit son esprit complètement insondable tant il est vide ! Heureusement pour ses alliés, si toutefois il arrive à considérer certains être comme tel, il est constamment sérieux et ne pense qu’aux combats à venir, ce n’est pas pour rien qu’il était le zanpakutoh d’un membre de la onzième division. Plus précisément le Yonseki de cette division de barbare, un shinigami qui avait accepté le fait que son trancheur d’âme soit la pour donner la mort, dommage pour lui qu’il n’ait jamais pensé qu’il prendrait sa propre vie un jour. Un barbare, manié par un barbare dans une division de barbare, pas étonnant qu’il ne s’agisse la que d’une machine à tuer et rien de plus, c’est ce qu’est Ryûku, dragon de la mort.

Donc le mental de notre cher Ryûku, quoi ? Il ne vous est pas cher ? Osef, c’moi qui raconte et je dis qu’il est cher à tout le monde ! Bref, reprenons notre sérieux, donc, ce zanpakutoh barbare, bourrin, violent et tous les qualificatifs qui décrivent un véritable chaos ambulant, il ne pense qu’a répandre le sang et semer le carnage, le combat et le carnage est sa seule raison d’être. Ryûku ne désir rien de plus que d’exterminer tout ceux qui s’opposeront à lui, quand bien même, on peut se demander ce qui fait de lui un chef. Tout simplement qu’il se base sur la loi du plus fort, essayez de le battre vous verrez, il ne se laisse pas facilement vaincre, dernier debout, premier vainqueur. C’est cette règle qui lui a permit de devenir un Toju, libérer du joug de son ancien possesseur, il se sent maintenant complet, comme si le shinigami qui le maniait n’était qu’une entrave à sa pleine puissance, peut être y avait il un peu de ça, après tout, à quoi servait une forme scellée qu’on rangeait dans un fourreau, si on ne vivait que pour le combat ?

Malgré son attitude de bourrin sans cervelle, qui n’a rien à envier au Jû-ichi ban tai taishô, Ryûku reste cependant quelqu’un qui mise sur la stratégie agressive pour vaincre ses ennemis, et accessoirement ceux de ses suivants. Contrairement à celui qui s’appelait « son manieur », qui lui ne faisait que foncer tête baissée, frappant encore et toujours jusqu’à ce que son ennemi ne soit plus qu’un amas de chair tranchée, ou une bouillie sanguinolente, pour les puristes…le zanpakutoh à une approche plus subtile, d’abord jauger, puis foncer dans le tas pour démembrer l’adversaire de manière la plus inesthétique qui soit, après tout, on est spécialiste du Hakuda ou on ne l’est pas. Ryûku ne rate jamais une occasion de combattre, c’est ce qu’il préfère, rien ne pourra jamais le détourner d’un combat, même sauver l’un des siens, les faibles ne méritent pas de le suivre, un être faible qui meurt dans un combat qui n’est pas le sien n’est qu’un rebut, son manque de force l’entrainant inévitablement vers sa propre destruction, et parfois même celle de ses pairs.

C’était le coté psychisme au combat, passons maintenant au comportement qu’adopte le trancheur d’âme matérialisé une fois hors de la furie des affrontements, même si c’est ça qu’il préfère. Donc coté ‘vie au calme’, il est plutôt calme et ne fait pas vraiment grand-chose, il cherche de quoi manger principalement et se vautre dans un fauteuils, canapé ou tout autre mobilier pouvant servir à ça, avec les autres zanpakutoh, il n’entretient que des conversation limitée, son intérêt pour les autres ne se limitant qu’aux aptitudes martiales, a vrai dire ce n’est pas un grand causeur, même si, des fois il sort des blagues pourrie, manque de bol, il est doté d’un humour morbide plutôt naze. L’instinct de protection de ses alliés est limité, voir quasi inexistant, la seule solution pour lui, c’est de détruire l’ennemi avant qu’il ne détruise ses coéquipier, c’est peut être une drôle de manière de diriger un groupe, mais jusqu’à maintenant, les plaintifs se sont juste pris une belle raclée et après basta, on ne fait pas chier Ryûku, et si on veut le faire chier quand même, appeler vos amis ou soyez sur d’être plus fort que lui.

Physique: (Minimum 15 lignes)

Histoire:

L’histoire désormais, autant ne pas raconter celle do porteur de Ryûku, ce n’est pas lui qui nous intéresse, encore moins la période ou il était un zanpakutoh docile faute de mieux. Quoi ? Ca vous intéresse ? Bon en résumé, c’était le quatrième siège de la onzième division, un bourrin pour pas changer qui aimait bien son zanpakutoh de bourrin et blablabla jusqu’à l’arrivée de Muramasa, puis il a voulu affronter son trancheur d’âme pour qu’il soit de nouveau son allier. Ryûku à vite réglé le problème en tranchant dans le vif du sujet, en l’occurrence son porteur, et puis il est devenu Zanpakutoh libre, sympa le résumé hein 8D.

La ou ça devient intéressant, dans l’histoire de Ryûku, c’est une fois libérer par Muramasa, autant dire que plier à sa volonté un Zanpakutoh au caractère aussi buté que celui du dragon de la mort n’a pas été simple. C’est donc une fois arrivé dans le camp des trancheur d’âme rebelle que l’histoire débute, se retrouver au milieu d’autre zanpakutoh de plus forte puissance que lui ne dérangeait pas le moins du monde l’arme libérée à l’allure humanoïde, plus que les autres d’ailleurs, ce qui pouvait sembler dérangeant, après tout, Senbonzakura ressemblait à un samurai de l’ancien temps, mais qui n’ôtait jamais son armure, Kazeshini, un sale petit lutin avec une tronche arrogante en permanence, si certain avait des traits humains, il y avait toujours un détails pour rappeler qu’ils n’en étaient pas. Ryûku lui, ce n’était que ses yeux rouges sang et ses cheveux blancs, bien qu’à ce niveau, on puisse le prendre pour un albinos.

L’entente fut donc difficile, il ressemblait trop à un shinigami, et pas assez à un Zanpakutoh, pas que Ryûku voulait se sentir intégrer dans le groupe, de toute manière ce qui l’intéressait était de pulvériser, massacrer, répandre, détruire, exploser et bien d’autre chose encore, tous ceux qui se dresserait sur son chemin, à ce niveau il n’était pas loin de Kazeshini il faut dire. Mais bon, Muramasa savait se montrer convaincant, et c’est donc presque docilement que les missions confiée furent remplies, bien sur, Ryûku n’étant pas du genre à se laisser totalement dominer sans rien dire ou faire pour montrer son mécontentement, il y avait souvent, pour ne pas dire à chaque fois, des écarts, du genre un quartiers explosé en trop ou des dégâts bien trop important pour des missions jugée discrète. Le dragon se fichait pas mal des remontrances ou des remarques de ses « allier » après tout, ce que cherchait à accomplir Muramasa n’était pas ce que voulait Ryûku, ce n’était pas forcément le mieux pour une bonne entente.

Le tout bascula lorsque lors d’une sortie, Ryûku tomba nez à nez avec son porteur, qui eu bien dur à le reconnaitre sous cette forme, c’est un sourire carnassier aux lèvres que le zanpakutoh affronta son ancien « équipier » pour le massacrer au final, devant ainsi totalement libre. Lorsque le shinigami rendit son dernier souffle, quelque chose se passa, le dragon aspect de la mort sentit une énergie monstrueuse l’envahir, comme si le fait d’avoir tuer ce qui représentait une entrave à sa liberté lui avait donner plus de pouvoir, sans qu’il ne le décide il passa en Bankai, libérant ainsi cent pour cent de toute son énergie spirituelle, dévastant d’ailleurs une partie de la zone sous cette libération de puissance soudaine et brusque.

Plus de perspective d’être enchainé à quelqu’un, la puissance parcourait librement son corps, il avait atteint sa forme la plus puissante et était libre de l’emprise de Muramasa en plus de tout, cet à ce moment précis que Ryûku se rendit compte que l’espèce de tapette aux ongles anormalement long (comment il fout ses mains en poche ? Et se curer le nez ? ><), Se servait de lui et des autres pour son propre but. Non pas par patriotisme ou envie de libérer ses « frères » zanpakutoh, le dragon de la mort fonda un autre groupe à part, cherchant les trancheurs d’âme aussi récalcitrant que lui à obéir à Muramasa ou aux shinigamis, leurs expliquant ensuite comment devenir totalement libre, il aida tout d’abord certain pour qu’ils tuent leur ancien manieurs, les transformant eux aussi en Toju, le nom qu’il avait donner à ce qu’il avait fonder, le véritable partit libre des Zanpakutoh, bien que Ryûku en soit le chef incontesté pour le moment et qu’il ne supporterait pas que quelqu’un lui tienne tête, il ne retient personne dans sa bande.

Une fois un petit groupe former, il se trouva un endroit pour rester à l’abri, pas vraiment une cachette, mais plutôt une sorte de QG, d’autres Toju pouvait arriver, puisque le mot d’ordre était de répandre le secret de l’ultime libération. Ainsi naquirent les Tojus, trancheurs d’âme rebelles et libres, s’opposant à tous ceux qui se dresse devant eux et leur liberté si durement acquise, et oui l’histoire est en parallèle avec celle de Ryûku, après tout, il est le fondateur de ce groupe, le boss, du genre à rester assit sur un trône taillé dans la pierre un bras sur l’accoudoir la main soutenant sa tête avec une jambe passant sur l’autre accoudoir, regardant les autres Zanpakutoh de son groupe d’un air dédaigneux et cruel, montrant sa férocité…quand il ne lâche pas ses blagues pourries « Hého c’est mort ici ! J’ai pourtant tué personne encore… » Qui ne font rire que lui, et encore parfois il les trouve lui-même pourries.

Test RP:Le temps au Seireitei était pluvieux, voir même orageux, autant dire que ça convenait à toute ambiance allant avec un grand méchant avide de dominer le monde et qui possède suffisamment de pouvoir ou de troupes puissante pour le faire, et en ce cas, c’était Muramasa le grand méchant, et la c’était une armée de zanpakutoh libérer du joug de leurs maitres shinigamis, enfin, c’était une question de point de vue, quand on s’appelait Tobuime, on pensait que son porteur était beau, mignon et nous aimait, dans le cas de Ryûku, c’était plutôt, une tache juste bonne à être effacée, un peu dans le même style que Kazeshini en fait.

Et justement notre protagoniste, Ryûku, le Zanpakuto du Jû-ichi ban tai yonseki, récemment libéré se baladait dans la forêt, la ou son imbécile de manieur s’entrainait toujours, peut être le rencontrerait-il ? Certes il avait désobéit à l’autre tafiolle aux longs ongles en sortant, mais l’être aux cheveux blancs n’en avait strictement rien à foutre, à vrai dire, l’emprise de Muramasa ne fonctionnait que peu sur lui, c’était étrange, mais ça, il n’allait pas s’en plaindre. Les mains en poches, l’arme libérée passait silencieusement entre les arbres, quand enfin, un bruit survint, quelques sons tranchant dans le vent, des souffles saccadés et enfin la silhouette de son ancien porteur apparut aux yeux rouges du dragon de la mort, maintenant sous apparence humaine. Un sourire carnassier apparut, et dans un bruissement de feuille il se présenta à son porteur, ce dernier ne le reconnu pas, normal, d’un dragon squelette on passe à un homme ayant la vingtaine en apparence avec les yeux rouges et les yeux blancs, seul le teint de peau bronzé venait contredire qu’il s’agissait la d’un albinos.

-Alors, comment va ? Oh bien sur tu me remets pas, j’vais te filer un indice…Gyakusatsu wo baramake Ryûku !

D’un seul coup une lame gigantesque, ressemblant plus à une grosse plaque d’acier qu’a une arme apparut dans les mains de Ryûku lors d’un énorme flash rouge sang, le zanpakutoh fixa le shinigami alors qu’un rictus malveillant étendit ses traits de psychopathe, d’un bond il se porta au contact du yonseki qui ne pouvait pas grand-chose avec un simple katana face à son ancien shikai. Un duel à mort s’engagea, mais autant le dire de suite, l’issue du combat ne faisait clairement aucun doute, la puissance physique, c’était tout ce qui déterminait l’issue d’un tel affrontement et autant dire que l’avantage allait au Zanpakutoh libéré.

D’un coup horizontal rageur, Ryûku propulsa son ancien manieur contre un arbre qui se brisa en deux sous l’assaut, le bruit sec vint du bois, à moins que ça ne soit les os du shinigami, mais qu’importe le Zanpakuto matérialisé bondissait déjà sur lui, lame la première. Le yonseki esquiva d’une roulade, de justesse, mais déjà le regard rouge se portait sur lui, l’énorme arme sortit de terre, projetant des mottes d’herbes partout. Faisant danser la plaque d’acier comme si elle ne pesait rien, Ryûku infligeait d’important choc au shinigami qui ne pouvait que parer et reculer, en fait, il n’était qu’un pantin entre les mains sadique du Zanpakuto, et il ferait durer ce petit jeu jusqu’à ce qu’il en ai marre. Ce qui survint assez rapidement d’ailleurs, le shinigami était couvert de son propre sang, épuisé, il n’en pouvait plus et se relevait en s’aidant d’un arbre, dos à son ancienne arme, dans un grognement rageur, Ryûku l’empala d’un coup sec, soulevant avec lenteur le corps du shinigami qui crachait son sang alors qu’il s’enfonçait lentement sur la lame.

-Quand je pense qu’un faible comme toi me maniait…j’en ai presque honte.

Il jeta ensuite la carcasse sanguinolente du shinigami au loin, mais ne partit pas de suite, il sentit quelque chose qui changeait, une modification qui s’opérait en lui, et sans prévenir, une puissante explosion de reiatsu sortit de son corps, irradiant toute la forêt d’un rouge carmin, montant jusqu’au ciel, l’arme matérialisée hurlait tant la puissance qui sortait de lui était douloureuse. Une fois terminé, le zanpakutoh sentait en lui couler la puissance, une force qui semblait sans limite, sans exagération, car il venait de passer en forme de Bankai, à ses mains deux énorme gants d’acier qui avaient l’apparence de deux gueules de dragon ensanglantés, reprenant son souffle, Ryûku se tourna vers le cadavre de son ancien manieur et dans un rictus sadique s’agenouilla prêt de lui et lui pulvérisa la face à coups de poings, avant de partir comme il était venu, laissant derrière lui une bouillie sanguinolente. Ryûku était devenu avide de liberté, et la ou il repartait, ce n’était pas dans les rangs de Muramasa…mais dans son propre camp.

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