Lucius, a genius among mankind

Votre personnage

Sit Down and Enjoy The show

Nom : Clover

Prénom : Lucius

Surnoms : Pousse de bambou, Nabot, Gamin, Rase-bitume, L'alchimiste

Age : 12 ans

Sexe : Masculin

Race : Quincy

Rang : Jeune prodige

Caractère :

La psychologie, beaucoup de gens payent pour se faire examiner par de soit disant spécialistes. Si vous êtes comme tout le monde il vous dira que vous allez bien, que vous n'avez rien à faire chez lui et que vous feriez mieux d'économiser ce que vous venez de lui payer. Si jamais vous êtes un peu plus, "hors normes", on vous dira que vous n'allez pas bien du tout que vous devez vous faire aider et accepter votre "problème". Et si vous insitez, on vous déclarera fou, donc irrécupérable ou presque, et vous finirez vos jours en blouse blanches dans une salle de 2 mètres sur 3 à n'avoir qu'un mur capitonné comme seul interlocuteur. La société rejette ceux qui sont différent de ses standards, elle les digère puis les recraches de manière violente et sans scrupules. Beaucoup de personnes y sont passées, des déséquilibrés mentaux tout comme des génies de tous les bords. Dur à vivre hein ? Mais que feriez vous si on vous considérait à la fois comme l'un et comme l'autre ? Que feriez vous si vous aviez perdu toute crédibilité ? Que feriez vous si on ne vous croyait plus ? Et surtout, comment supporter cela quand on a seulement 12 ans ?

C'est là toute la particularité de Lucius. Ce jeune garçon aux allures d'artiste de cirque est une personne vraiment hors des classifications vétustes existante dans le monde. Il est un génie, un véritable génie de la plus pure et la plus ancienne des lignées. Sa mémoire photographique quasi infaillible combinée à son incroyable capacité d'analyse lui permettent d'organiser d'intenses réflexions au sein de son esprit étonnement large pour son petit corps. A un tel point que ses exploits dans le domaine scolaire furent plus que remarquez. Dès sa 7ème année il passait des tests pour rentrer en Faculté, la physique et la manipulation d'énergie se trouvant être ses domaines favoris parmi tant d'autres dans le système scolaire. Son cas était vraiment à part, il ne vivait pas comme tout le monde et était dépourvu de parents mais pourtant il n'était pas isolé sachant s'intégrer parmi un groupe fermé de personne partageant tant de points communs avec lui, même si ce ne fut pas toujours le cas. Il ne partait pas gagnant le pauvre, mais c'est son jeune âge qui le sauva de ce point de vue malgré qu'il n'use de cet avantage que depuis 2 ans et cela pour deux raisons. Premièrement, les Filles qu'il croisait à l'époque de cette découverte avaient l'habitude de le prendre pour une adorable peluche, avoir un joli petit minois ça aide dans pas mal de situations et il l'a bien compris le petit. 6 ans le séparait de ses collègues féminines, assez pour qu'elles le considère comme un adorable gamin irrésistiblement "Kawai" selon leurs dires... Sans commentaires. Il n'hésite d'ailleurs pas à tirer un avantage à cela, qui se douterais qu'un tel cerveau soit au commande d'un gosse. En profiter un peu ne fait de mal à personne. Deuxièmement car Lucius peut voir les Hollows depuis toujours, ça lui permet de faire semblant d'avoir un ami imaginaire pour justifier certaines situations ou actions causées par lui même alors qu'un incident lié à ces créatures se produit.

En lui même Lucius est doté d'un caractère facile, enjoué et plein d'entrain. Il aime ce qu'il fait et il le fait bien. Oui jouer les justicier ce n'est pas de tout repos, la justice un mot qu'il affectionne avec un soin des plus remarquable. Comme pour un chevalier servant, son bras protège les faibles, sa langue délie et met à jour les mensonges et ses yeux perçoivent la vérité aussi enfouie soit-elle. Pourtant il ne peut s'empêcher de prendre tout cela pour un simple jeu ou une représentation théâtrale du plus bel effet. La mise en scène est une chose importante pour lui de par le fait de l'avenir qu'il s'est tracer en tant qu'artiste de cirque, un rêve d'enfant pour un enfant ayant la main mise sur sa propre destinée qu'il façonne en suivant les impulsions de son âme irradiante et aveuglante de talent. Il apprécie la sophistication, mais à choisit cette voie pour une raison bien précise à savoir son amour inconditionnel pour les constructions mécaniques articulées. Les pantins, une véritable lubie. Ses pièces faites à la main sont d'une facture d'une qualité à peine croyable étant la synthèse de toutes ses capacités intellectuelles. Il garde une copie des originaux des plans dans un renfoncement au fond de son chapeau de manière à n'en jamais être éloigné. Sentimental? Oui et alors ? Il apprécie aussi énormément les tours de magies pouvant décrypter sans grande difficulté les trucages utilisés, déceler ce qui fait l'illusion est l'une des choses qu'il aime le plus. Il a d'ailleurs lui même toucher à cette discipline, et il y touche toujours en incorporant les principes fondamentaux parmi son apanage vestimentaire fait main. Et si je puis vous donner un conseil, ne le défiez jamais à un jeu de carte quel qu'il soit. Ses doigts de fée vous plumeraient en un rien de temps, car oui quand il joue à ce genre de jeu Lucius triche et avec brio. La cause en est qu'il déteste la défaite sur un jeu ayant une trop grande part de hasard. Et puis pour arrondir la fin de mois et mettre du beurre dans les épinards rien de mieux qu'un petit ace en plus ici, une dame par là et un valet bien placer. Il ne retir aucune honte à cela considérant que si des personnes viennent le défier elles le font en toute connaissance du fait que la triche n'est pas impossible. Pas de pitié, ça non.

Pour en revenir à son habitude de prendre la vie pour un jeu il faut se souvenir qu'il n'est qu'un enfant. Il ne possède que de vague notions de bien et de mal, malgré que sa vision des choses soit très manichéenne, et il lui est arriver bien des fois de franchir la ligne jaune pour accomplir une tache qu'il jugeait juste ou en accord avec ses convictions profondes. Conviction qu'il aime à afficher face à ses ennemis, l'orgueil n'étant jamais loin. Les quincys partagent ce même orgueil depuis des siècles et en tant que rare descendant de ces magiciens il compte bien montrer au monde que les siens ne sont pas mort et qu'ils peuvent rivaliser sans honte avec ceux ayant causer leur chute.

Physique :

Lucius, ce type est vraiment unique en son genre. Certes c'est un gosse mai ça ne l'empèche pas le moins du monde d'avoir un physique pour le moins notable. Il ne mesure qu'un maigre mètre et 37 centimètre, normal pour une personne en cours de croissance. Ses muscles sont assez performant pour son âge mais en lui même il ne peut rivaliser avec un adulte, sans aide de sa puissance de quincy du moins. Il ne possède pas une bonne vue, en fait il est même presque aveugle sans ses lunettes que l'on pourrait qualifier de pare-balles. Massives et épaisse il les entretient méticuleusement sachant pertinemment qu'il ne vaut pas grand chose sans elles. Reposant sur ses fines oreilles attentives au moindre petit son. Très développée son ouïe se rapproche de celle d'un véritable maestro, on appelle ça l'oreille absolu je crois. Impressionnant de voir comment il peut déceler le défaut d'un moteur juste en tendant l'oreille et en se concentrant.

Son visage comme on pouvait s'en douter est celui d'un enfant de son âge. Il s'en dégage cependant une étrange aura de sérénité et de sagesse. Pourtant son expression faciale ne se fait que rarement sérieuse y compris lorsqu'il se retrouve prit dans un combat. Ses yeux sont naturellement vert émeraude, d'une profondeur sans pareille ils donnent l'impression dérangeante d'être passer sous un scanner. Cependant, Lucius est affliger d'une malformation de naissance au niveau de ces même joyaux, le droit pour être précis. Les vaisseaux sanguins y résidant sont particulièrement fragiles et se rompent comme un rien déversant un peu de sang à l'intérieur de son iris qui se teinte alors de rouge. Cela n'arrive que quand le rythme cardiaque de Lucius augment intensément sous le coup d'une très forte émotion, lorsqu'il se bat par exemple ou quand il se met en colère. En général cela s'accompagne aussi par un dysfonctionnement de ses glandes lacrymales provoquant l'afflux de larmes de sang s'il venait à se mettre à pleure à cet instant précis. Il souffre de plus d'un albinisme partiel ayant affecter son système capillaire le privant ainsi ses cheveux de tout pigment coloré. Ses cheveux argenté sont particulièrement lisses et brillants ajoutant encore une touche à leur allure irréelle. Son nez fin sur lequel repose ses lunettes complète agréablement le tableau tout en classe laissant l'empreinte d'un futur bel homme sur son corps en développement.

Son apanage aussi est des plus étrange. En temps normal il se contente d'une simple chemise blanche et d'un pantalon de velours ajoutant une cravate à l'ensemble. Seulement ceci n'est que son équipement de simple civil, lorsqu'il part en mission ce n'est plus le même régime. Ce n'est cependant pas un uniforme quincy qu'il met alors sur ses épaules, les trouvant absolument hideux et peu fonctionnels. C'est vrai qu'il faut avouer que les quincy ont des gouts assez...étranges quand à leurs uniformes. Mais bon la question n'est point ici. Je disais donc que lorsque le besoin s'en fait sentir, Lucius change alors d'ensemble. Digne d'un marionnettiste ses nouveaux vêtements font croire qu'il s'apprête à faire une représentation devant un publique fournit. En fait seul le fait qu'il échange son pantalon contre un short pourrait faire office de tache dans le décor. Par contre ce vaste chapeau dont l'armature d'acier est rivetée à même sa structure principale est du plus bel effet. Une sangle en cuir est aussi installée tout autour du dit couvre chef ainsi qu'un l'intérieur de manière à ce qu'il conserve sa forme quel que soit le traitement qu'on lui inflige. Même un coup de sabre ne saurait le détruire, enfin d'un seul coup du moins. De même pour ce gilet sur mesure qu'il rajoute par dessus sa chemise. D'une couleur s'apparentant plus ou moins à du violet elle descend jusqu'au niveau de son short, la fermeture éclaire qui permet de le fermer est d'une taille non négligeable la pièce de métal lui faisant office de languette atteignant les 30 cm de long. La cape qu'il utilise est de la même couleur et moitié plus longue que le gilet lui arrivant ainsi un peu en dessous des genoux à l'endroit où commencent ses longues bottes. Une vaste sangle en métal permet de lier la cape au jeune garçon, une vaste sangle de cuir en partant pour faire le tour de son corps chétif. Enfin pour compléter le tout il change les manchettes de sa chemise, ces derniers étant équipés d'une fermeture éclaire de manière à pouvoir en changer selon son bon plaisir, pour un substitut autrement plus massif et doté de boutons de cuivres lustrés.

Ce changement n'est cependant que la surface de l'Iceberg. En effet nombre d'élément se trouves dissimulés à l'intérieur ou parmi ses vêtements. Sa cape par exemple est dotée de trois étuis de cuir dans son revers. L'un pour une arme, Julius, l'autre pour une poupée mécanique de cuivre, Marcosius et le dernier pour contenir ses Zell Schneiders. D'autres de ces même Zell Schneiders sont camouflés à l'intérieur de ses bottes en cas de coup dur. Sa ceinture, elle, contient nombre de Gintos dans divers renfoncement que l'on dirait fait sur mesure pour entreposer des cartouches un peu comme celles utilisées par les cowboys dans leur temps. De plus un bras mécanique, lui aussi en cuivre, est dissimulé à l'arrière de la ceinture camoufler par la cape de Lucius. Doté d'une lame en titane il est partiellement extensible lui conférant ainsi une portée de 2m. D'autres joyeuseté son camouflées à l'intérieur de son chapeau mais nous survoleront ce détail ne nous intéressant que moyennement actuellement.

A child's Life

Histoire: Notre histoire commence par un beau matin d'hiver dans une clinique privée au voisinage de Berlin. Une jeune femme venait d'y être recueillit, elle était enceinte et sur le point d'accoucher. Elle avait été amenée par un vieille homme d'origine asiatique visiblement, son père selon ses dires. Elle était gravement blessée, plusieurs de ses côtes n'avaient pas tenu le coup on aurait dit que son torse avait été passer dans un pressoir hydraulique. Deux vastes morsures parcouraient sa jambe droite ayant été purement et simplement amputée au niveau du genou. Les médecins n'arrivaient pas à comprendre comment elle faisait pour rester en vie avec un corps dans un tel état, tout humain normal n'aurait pu tenir le coup aussi longtemps. Elle devait posséder une sacré volonté pour supporter comme cela la douleur sans même crier. Son paternel pleurait à chaude larme, sachant pertinemment que ce n'était qu'une question de temps avant qu'elle ne s'endorme à jamais. Il était seul auprès d'elle derrière la vitre de plexiglas de la salle d'opération, son mari ayant été faucher dans un accident de voiture l'an passé, alors que le personnel de la clinique essayait désespérément de sauver son enfant. C'était fini pour elle, ça tout le monde le savait mais il restait encore une chance pour la vie qu'elle portait en elle. Dans un effort désespéré elle maintenu ses fonctions vitales, puis quand elle ne put plus rien y faire elle lâcha prise. Les machines de la salle d'opération émirent alors un seul et vaste son strident qui fut interrompu par les pleurs d'un nourrisson prenant sa première bouffée d'air dans notre monde. Né dans la douleur et la mort, le jeune nourrisson était promit à un brillant avenir mais tout le monde l'ignorait alors.

Japon 7 ans plus tard

Le temps était calme et dégagé ce jour là. Le silence régnait dans la foret, seuls quelques rares gazouillis d'oiseaux venaient le perturber alors. Au loin une ville était visible, vaste et magnifique rayonnant d'une vaste aura de paix. Oui le coin était calme. Pas de créature mystiques ni d'anomalies spatiales nommées garganta n'a été déploré ici bas depuis plus de 25 ans. Le lieu idéal pour un vieux quincy retiré depuis des années. Il se nommait Sanzo Fuudo, âgé de 84 ans il vivait aux abords de cette foret loin de ce qu'il appelait la "pollution sonore urbaine intempestive". Il avait encore toutes ses dents et possédait un atelier de confection de figures en bois qu'il vendait ensuite comme souvenir ou porte bonheur. Il ne vivait pas seul, son petit fils était là lui aussi quand il n'attendait pas l'école. Baptisé Lucius comme le désirait sa mère il l'avait recueilli à la mort de cette dernière en étant le seul tuteur légal encore en vie. Passionné et juste son petit fils faisait sa fierté, fierté que lui aussi semblait avoir hérité de ses racines quincy au vu des quelques égratignure et pansement présent sur les parties alors visibles de son corps. Nous étions en pleine journée, midi approchait et le soleil atteignait son zénith. Les rayons passaient timidement à travers l'épais feuillage des arbres venant réchauffer la main du garçon tendant un arc de lumière en direction d'un mannequin ayant déjà visiblement particulièrement souffert situé à 300 m plus loin de lui. Le vielle homme lui observait son disciple à l'œuvre sans rien dire ni faire le moindre mouvement si ce n'était tenir son vieux dos affreusement douloureux depuis quelques mois déjà. Un léger accident lors de la démonstration du Hirenkyaku mais rien de bien grave. Soudain Lucius relâcha son emprise de la corde de l'arc et son projectile fusa droit sur le mannequin qui fut toucher au niveau d'une couture rapiécée qui vola en éclat alors que son bras fut séparer du reste de son corps dans un déluge de sable qui retomba en un fin nuage de poussière. Sanzo lâcha un rire rauque qui fut interrompu par une crise soudaine au niveau de sa gorge qui provoqua une forte toux bien grasse. Il reprit le contrôle, lâcha de nouveau un petit ricannement presque moqueur et commença à bouger ses lèvres sèches et ridée.

"Tu es encore loin de la perfection malgré tes prédispositions mon petit, tu négliges l'entrainement ces derniers temps."

"Je sais, je n'ai aucune excuse grand-père."

Sanzo ricana de nouveau, son ton se voulait rassurant et protecteur alors qu'un sourire fendait son visage ridé tout en passant sa main au niveau du bouc qui lui mangeait partiellement le menton.

"Tu n'as pas à t'excuser mon petit, je sais que tes études te prennent énormément de temps à cause de tes concours. J'étais déjà heureux comme ça mais le fait que tu sois intéresser par ton héritage me comble."

Il s'assit alors sur une souche, tenant toujours fermement son dos alors que l'arc de Lucius se désagrégeait lentement en d'innombrables particules s'envolant dans les airs. Sa croix de quincy fixée autour du poignet cliquetant alors qu'il marchait il vint s'assoir auprès de son grand-père lui souriant. Ils restèrent ici quelques temps à regarder l'activité dans la foret sans que rien ni personne ne vienne les gêner. Puis prenant une grande inspiration des plus bruyante alors qu'il sortait une vieille pipe en bois de sa manche. Il la porta à sa bouche, l'alluma et prit une vaste bouffée expirant lentement la fumée en petits cercles que les deux hommes regardaient avec attention. Puis Lucius s'amusa à briser les cercles en dissipant de sa main la fumée à l'un de leurs bords. Il rigola doucement, plissant légèrement ses yeux. Une belle journée pour un grand-père et son petit fils qui vivaient tranquillement sans demander rien à personne ou presque. Lucius avait en effet eu quelques accrocs avec de petites brutes vivant en ville. De petits idiot jaloux de sa réussite et qui profitaient de leur supériorité numérique pour avoir le dessus sur lui l'ayant au préalable délibérément provoquer pour que Lucius donne le premier coup, une façon comme une autre de justifier le passage à tabac du petit. Il y avait en fait plus qu'une histoire de jalousie, Lucius ayant un peu trop fourré son nez dans leurs affaires au nom de son propre honneur qu'il ne laissait être entacher par son comportement. Ni compromis, ni reddition, ni soumission. Tels étaient ses convictions. Alors qu'il pensait de nouveau à ces évènements il se frotta machinalement la joue à l'un des endroits où il avait reçu un coup à savoir sa joue droite. Son grand-père lui lançant un regard noir l'espace d'un instant de façon à ce que Lucius sache qu'il n'approuvait pas, il reprit ensuite son visage de papi gâteau prenant une nouvelle bouffée de tabac par l'orifice de sa pipe. Rien n'aurait pu alors gâcher cette belle journée se disaient ils, du moins ils le pensaient alors.

Un craquement de brindilles se fit entendre à proximité, quand ils se retournèrent dans la direction d'où provenait le son ils n'eurent que le temps d'entre apercevoir une silhouette massive avançant de manière trop rapide pour un animal. Ils la perdirent de vue en quelques instants, un nouveau craquement attira leur attention sur un autre point mais la aussi la source sortit de leur champ de vision. La troisième fut la bonne et une créature blanche s'extirpa d'un des buissons environnant suivit de 4 autres qui la suivirent encerclant les deux hommes. Il s'agissait de Hollows, les premiers dans la région depuis des années. Ils semblaient affamés rependant une quantité à peine croyable de salive alors qu'ils ouvraient leurs vastes gueules pleines de dents. L'un d'entre eux plein d'assurance se jeta en avant sur les quincy, peu après un membre ensanglanté s'envola dans les airs...le sien. La créature lâcha un vaste hurlement plein de douleur empoignant alors la plaie de son bras dans sa vaste main griffu alors qu'il relevait la tête en direction de ce qu'il pensait à l'origine être son repas. Juste à temps pour être aveugler par un flash de lumière ce qui fut la dernière chose qu'il vit avant de s'écrouler sur le sol. Sanzo était debout, un arc luisant partant de ses mains. Une poignée de fils fantomatiques partant de ses articulations. Il bougeait étonnement bien pour un vieillard, presque aussi bien qu'un shinigami même. Un autre Hollow eu le droit au même traitement que son camarade et fut instantanément décapiter sur place par une flèche qui termina sa course dans un arbre y arrachant une branche avant de se dissiper dans l'air. Les deux autres créatures attaquèrent en même temps et furent réduites à néant à un centième de seconde de décalage. La vélocité des tirs qu'envoyait Sanzo était à peine croyable y compris pour un quincy. Sanzo sentit alors une vaste douleur dans son dos et mit un pied à terre alors qu'il venait de faire disparaitre son arme.

"Ce genre de chose n'est plus de mon âge."

"Grand-père, cette technique..."

"Ransôtengai, c'est le seul moyen pour qu'un vieillard comme moi puisse continuer à se battre. Si tu veux je te l'enseignerais mais j'ai besoin de repos avant"

Ils prirent alors congé, Lucius aidant son mentor comme il pouvait. La journée fut bien remplie et il était temps d'aller se reposer.

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Le lieu n'avait pas changer beaucoup changer depuis tout ce temps. Les arbres avaient pousser pansant leurs cicatrices infligées lors de ce jour il y a 5 ans de cela. Lucius lui aussi avait grandit, il possédait une certaine assurance qui n'était pas aussi flagrante auparavant. Ses habitudes vestimentaires avaient elles aussi changer pour quelque chose de plus particulier tout droit sortit d'une piste de cirque d'antan. Son arc s'était substituer à une arbalète beaucoup plus fine et moins encombrante que son homologue, une arme à sa mesure. Sanzo lui n'avait pas changé le moins du monde, toujours égal à lui même et sa pipe au bec. La scène ressemblait étrangement à cette même séance d'entrainement qui avait eu lieu ici une poignée d'années auparavant. A la différence que cette journée faisait office de retrouvailles entre eux, s'étant perdus de vue depuis six mois. Les études ça vous bouffe du temps, surtout quand vous les faites à l'autre bout du pays. Un peu triste oui, mais c'était la vie. Visant le même mannequin que d'usuel son tir partit animé d'une vitesse surréaliste arrachant quelques feuilles de par la puissance de la dépression ainsi provoquée lors du passage de la flèche. Elle arriva en plein dans la tête de l'artifice utilisé pour l'entrainement soufflant littéralement sa tête renforcée par divers matériaux plus solides continuant ainsi sa route en pénétrant partiellement un arbre 4m derrière.

"L'élève dépasse toujours le maitre à ce que je vois, tu t'es bien entrainer Lucius."

"J'ai eu le meilleur des maitres."

"Ne fait pas le modeste, tu es né pour faire ça et tu as plus de talent dans les arts de nos ancêtres que je n'en aurais jamais."

Il se leva alors, se forçant à se tenir droit de manière à donner à la scène un air un minimum solennel. Il avança lentement en direction de son petit fils et posa sa main ridée et exsangue sur sa tête, caressant légèrement la chevelure argentée de Lucius, encore plus blanche et brillante que la couleur conférée par son grand âge.

"Tu es certain de vouloir partir définitivement ?"

L'ambiance se faisait étonnamment pesante, tous les bruits environnant y compris ceux des résidents de la foret se stoppèrent alors instantanément. Les deux personnages se regardaient les yeux dans les yeux en silence. Tout à fait touchant n'est-ce pas ? Et au moins cette fois pas de Hollow pour venir tout gâcher. Ils s'incrustaient toujours au mauvais moment ces gars là. Enfin bon, tout ce que l'on avait pour le moment c'était un grand-père attentionné au bord des larmes et un petit-fils qui ne semblait pas plus douer pour contenir son émoi.

"Oui, j'ai pris ma décision. Je veux parcourir le monde, affiner mes talents. Ce n'est pas très original comme désir mais je l'assume totalement."

Tout était dit, rien ne le ferait changer d'avis. Sanzo prit alors Lucius dans ses bras le serrant tendrement contre son vieux torse, comme le ferait un parent aimant à son enfant sur le point de quitter la maison. Ils lâchèrent chacun quelques larmes qui dégoulinèrent sur leur joues laissant une petite trainée salée sur leur passage. Ils tinrent cette position durant 10 bonnes minutes. Puis, peu après, ils retournèrent ensemble à la petite bâtisse de Sanzo profiter ensemble de la dernière journée qu'ils passeraient tous les deux l'un avec l'autre pendant très longtemps. Ils en avaient vécu des choses ensembles depuis toutes ces années. C'est là-bas que Lucius avait fait ses premiers pas, là-bas qu'il avait découvert les joie de l'artisanat, l'euphorie des études et l'excitation que l'on ressent alors que l'on trace les plans d'un œuvre dans laquelle on mettait toute son âme. Cette première œuvre avait un nom, Marcosius. Il s'agissait d'un petit pantin articulé, ses articulation cliquetantes travaillés à la main témoignaient d'un savoir faire des plus remarquable. Construit pour Lucius lepetit être de métal semblait tout droit sortit d'un roman de Jules Vernes, Lucius raffolait de ces livres. La petite marionette était sans aucun doute l'une des traces, des preuves de ce qu'il avait été jusqu'à présent en particulier à cause d'une note gravée à même le métal de son ossature au niveau de son dos:

"A mon petit-fils adoré, n'oublie jamais qui tu es et cultive ton sens de la justice. Que la puissance de nos ancêtre puisse te garder du danger et puisses tu trouver le bonheur.

Ton grand-père, Sanzo"

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Deux mois s'étaient écoulés depuis le départ du jeune garçon, il avait établi domicile chez un vieille ami de la famille dont il n'avait jamais entendu parler résidant ainsi à ses côtés dans une maison de taille respectable. L'homme n'était pas au courant de ses affiliations de quincy, était d'ailleurs même au courant de l'existence de ces derniers et du monde des esprits ? Pour ça femme la question ne se posait même pas mais pour lui ? Mais bon l'essentiel n'était pas là. Ce qui importait c'était qu'il avait réussi, enfin, à atteindre cette zone si particulière qu'était devenu la ville de Karakura. Cet endroit était vraiment étrange, l'énergie qui s'en dégageait était anormalement élevée, les particules spirituelles présentes dans l'air étaient de plus d'une densité qu'il n'avait alors jamais ressentie auparavant comme si une autre dimension essayait de se manifester ici bas. Un endroit soumis à nombre de troubles, un lieu de conflits et de destruction potentielle. L'endroit idéal pour un quincy désirant faire ses preuves et en apprendre plus sur ses futurs ennemis. Surtout que des ennemis il y avait dans le coin, et pas que des Hollows même si leur nombre était incroyablement élevé pour une si petite ville. Quelques shinigamis avaient pointer le bout de leur nez et d'autres créatures au origines encore plus douteuses semblaient y être passer. Maintes questions se précipitaient dans sa petite tête si bien remplie alors qu'il prenait possession de la petite cabane dans le jardin de ses hôtes, avec leur accord, pour déposer quelques affaires et en particulier celles qu'il utilisait en combat. Mais déjà il était l'heure de partir. Oui, venir ici et ne rien faire aurait été des plus suspects c'est pourquoi Lucius s'était inscrit au lycée de la ville. Tout ceci allait être incroyablement facile pour lui ayant déjà passer ces quelques classes il y a déjà très longtemps, juste une simple formalité.

Le lycée était assez propre, les bâtiments semblaient récents et il fleurait une odeur de joie de vivre. Un endroit simple et plein de vie en résumé. Il y émanait aussi quelques reiatsu un peu hors norme mais rien de bien flagrant pour le moment, peut-être qu'un jour il ferait de plus amples investigations. Déjà il venait de pénétrer à l'intérieur des bâtiment, un professeur l'y attendait. Il ne dit rien, étant simplement étonné et bouche bée que Lucius soit le nouvel élève fraichement transféré qu'ils attendaient. Camoufler partiellement son parcours scolaire déjà bien fournit ne fut pas chose aisée et il dut pour cela user à la fois de précaution ainsi que de ruse...et d'un peu de manipulation des dossiers aussi. Pouvoir se faufiler en silence dans un conduit d'aérations exiguë ça vous ouvre des portes forcément. Il semblait assez heureux de retrouver un semblant la normalité, même si ce n'était que pour quelques heures seulement dans la journée et ne put s'empêcher de chantonner une vieille chanson simple et enfantine dont il ne se souvenait plus l'origine. Il fut amener à sa salle de classe, poussant la porte battante avec difficulté. L'assistance semblait soufflée de voir un enfant de douze pénétrer ici, de nombreux murmures et autre chuchotis commencèrent à affleuré ça et là alors que le professeur demandais le silence.

"Aheum, votre attention s'il vous plait. Je vous présente votre nouveau camarade fraichement transférer ici. Ne vous fiez pas à son jeune âge et faites lui un acceuil chaleureux et digne de ce nom je vous prie. Veux-tu bien te présenter ?"

Lucius s'exécuta, s'exprimant d'une voix fière et claire.

"Je m'appelle Lucius Clover, ravi de vous rencontrer. J'espère que nous passerons un bon moment ensemble."

Ainsi commençait son nouveau quotidien à Karakura

Aptitudes

• Quincy...•

Description du pouvoir/armement: Julius et Anima

Comme tout bon quincy qui se respecte Lucius utilise une technique de combat basée sur le conflit à grande distance. Son arme se nomme Julius, il l'a lui même crée à partir de pièce détachées trouvées dans le commerce et de ses quelques connaissance en arts de la manipulation des particules spirituelles.

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Il s'agit d'une arbalète customisée pour sa stature, pouvant être pliée sur elle même l'arme est rangée généralement dans un étui sur mesure cousu sur le revers de la cape de Lucius. Chargée de projectile spirituels façonnés par sa main gauche, tenant l'arme de la droite, Julius est une arme plutôt lente à recharger pour un quincy. Ce n'est pas transcendant certes, mais ses projectiles sont autrement plus pénétrants et rapide que ceux d'un quincy utilisant une arme classique façonnée par de l'énergie spirituelle la croix de Lucius pouvant y être insérée à l'arrière pour en renforcer encore la puissance. Pourtant ce n'est pas tout, loin de là car voyez vous Julius entretient une relation presque fusionnelle avec Lucius concernant l'utilisation de certaines capacités de son genre. A savoir une variante du Ransôtengai élaborée par ses soins durant ses nombreux entrainement. Baptisée "Anima" cette technique est son principal mécanisme d'attaque et de défense. Sa passion pour les marionnettes l'a inspiré plus que tout autre chose à l'instant où il découvrit l'existence du Ransôtengai. Si les quincy pouvaient réussir à faire bouger leur corps quel que soit leur état à l'aide de fils de reiatsu, pourquoi ne pas faire de même pour des objets sans vie ou même des êtres encore en vie. Permettant de mettre à mal un ennemi à l'aide de divers scénaris, Anima peut aussi être utilisée pour fixer un filin d'énergie spirituelle au dos d'une flèche tel un harpon mystique pour brider les mouvements de l'adversaire, le lier à un objet par une deuxième flèche ou le contrôler si celui-ci s'évanouit. Les flèches ainsi traitées perdent 90% de leur pouvoir pénétrant. De par sa faible force et son poids réduit il utilise alors en général le Ransôtengai en même temps pour pouvoir rivaliser un minimum sur le plan physique avec l'adversaire. Le plus important reste qu'Anima est sa principale ligne de défense lui servant à manipuler un bras mécanique fixer à l'arrière de sa ceinture quand le besoin d'utiliser le corps à corps se fait sortir, en particulier pour contrer un assaut sur sa personne ou quand il se trouve acculer. Anima permet aussi d'établir un lien durable et efficace entre manipulateur et manipuler rendant ainsi ce pouvoir extrêmement utile lors de mission de reconnaissance et de récolte d'informations. Marcosius, un pantin métallique de taille réduite, est en général la cible privilégiée de cette manœuvre. Enfin, Anima ne peut être maintenue que dans un rayon de 200 m et nécessite un contact direct avec l'utilisateur ou une flèche pour être utiliser. Cette technique ne sert dans la pluspart des cas qu'à gêner l'adversaire au maximum et à le ralentir au maximum de manière à obtenir une fenêtre de tir pour les Zell Schneiders qu'il utilise.

Vous

Âge : 19
Disponibilité : [7/10]
Expérience dans le monde du RP : Je rp depuis quelques temps déjà et je ne m'en lasse pas
Quelque chose d'autre à nous dire : La vie est belle [*] VDM [] Options "corde" ? "Huitre" ? "Herbe" ?[]
Comment trouvez vous le forum ?: Design sympa et une histoire centrée sur le seul Arc HS potable de la série, que demander de plus ?
Comment avez-vous connu le forum ?: J'ai été rameuté ici à coups de guitare par une fille siphonnée qui se fait appeler Namiki

Petit up pour dire que la présentation est terminée

Bienvenue sur BR,

Un quincy ! C'est la première exclamation que j'ai eue en voyant ta fiche de présentation, au tout début, quand tu ne l'avais pas encore achevée. Et bien et bien, une fiche bien menée, malgré les fautes présentes, même si en faible effectif. Certaines tournures de phrases assez étranges, comme :

Lucius Clover a écrit:: L'homme n'était pas au courant de ses affiliations de quincy, était d'ailleurs même au courant de l'existence de ces derniers et du monde des esprits ? Pour ça femme la question ne se posait même pas mais pour lui ?

J'ai beaucoup aimé la partie où tu parles de son oeil dans ta description physique Razz

Histoire très sympathique, surtout au niveau de la relation Grand-Père/ Petit-fils !

Ceci est donc ta première voix : )

Je t'offre ta seconde voix sur le sujet et bienvenu parmi nous jeune quincy. >.>

Ton personnage n'y voit rien sans lunettes dis-tu??? Ben je crois bien qu'il va m'en falloir à moi aussi après avoir lu ta présentation... Sad

Un conseil: N'écris JAMAIS en police de taille petite, SURTOUT laisse en taille normale, car quand il y a 50 lignes à lire en tout petit riquiqui minuscule... ça fait mal aux yeux!!!!! Crying or Very sad

Bon, sinon ton histoire tient bien la route, ça explique que tu ne te sois pas fait Couic par les Shinigami, de plus l'idée de l'arbalète est originale, enfin bref, j'arrête de raconter ma vie! ^^

Tu as ma voix! Et donc la 3eme!!

Welcome petit Quincy! Et le 1er en plus! Razz

L'homme au bob!

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