Bleach Rebellion
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 Mission impossible. [ PV Aozora - Byakuya - Senbonzakura ] [Avorté]

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MessageSujet: Mission impossible. [ PV Aozora - Byakuya - Senbonzakura ] [Avorté]   Mission impossible. [ PV Aozora - Byakuya - Senbonzakura ] [Avorté] Icon_minitimeJeu 24 Juin - 21:22


    Une fois n'était pas coutume, c'est pourquoi la raison qui m'avait poussé à venir dans Karakura n'était pas une simple balade car je n'ai que faire des amusements ridicules qui s'intéresse que ma lieutenante, mais pour une mission. L'objectif est simple à deviner si l'on a un temps soit peu de réflexion. Il est certain que le capitaine-commandant Yamamoto ne se serait point amusé à envoyé l'un de ses précieux capitaines, à savoir moi, dans le monde des humains pour une simple élimination de hollow, mais bien pour quelque chose d'important. En effet, depuis peu, la Soul Society a, en plus des trois traitres, perdu à nouveau un capitaine. Le Roku Ban Tai Taisho Kuchiki Byakuya semblerait avoir déserté le Seireitei pour une raison inconnue, ce que je ne pouvais accepter. Aller ainsi à l'encontre des lois dressées par nos 13 divisions et désobéir à un ordre direct de Yamamoto Genryuusai de ne pas quitter notre monde n'entrainerait pas seulement le fait d'être déchu de son rang de capitaine, mais la mort. Je pense que ce petit discours a suffit à vous narrer une bonne partie de la situation, en plus de la raison de ma visite en ce lieu qu'est Karakura. Ce n'est autre que la porte Senkai qui ouvrit une brèche dans le ciel du monde des humains, me permettant par la même occasion de fouler le sol des humains; en passant par le portail. Se refermant lentement dans mon dos, le Senkaimon se désagrégea une fois la fermeture totalement accomplie. Cela fait et une fois prêt, ce n'est ni plus ni moins qu'une série de Shunpô qui me téléporta à travers divers immeubles, pour me transférer finalement au terme de ce défilement urbain, à savoir devant une grande plaine. Verte, elle jouissait d'une beauté sans pareille, chose rare à la Soul Society. Grande, son espace accueillait multitudes d'humains, ainsi que d'activités, puisque en plus de sa plaine, ce parc contenait une longue rivière dont le son provoqué par l'écoulement d'eau rugissait agréablement dans mes oreilles. En temps normal, il ne fait aucun doute qu'un sourire aurait eu l'occasion de trôner sur mes lèvres, mais en tant de mission, les événements ne sont point comme d'habitude. Faisant passer une jambe devant l'autre, j'avançais d'un pas en direction de ce parc brillant de part sa splendeur. Malgré mon air froid et sérieux, je ne pouvais m'empêcher d'admirer ce paysage certes, normal pour les humains, mais exceptionnel pour ma pomme. Je suppose que j'avais déjà vécu ici auparavant, car j'ai comme un sentiment de " Déjà Vu " lorsque je fixe la verdure incontestable du parc de la ville de Karakura. Ne niez pas le fait que cela vous est déjà arrivé en temps normal, cela étant un sentiment humain, ou plutôt "shinigami". Mes pas lents me guidaient sûrement en direction de cette plaine, mais soudain une lourde hésitation s'installa au beau milieu de mon esprit, ce qui eut pour effet de me stopper en pleine course et d'amener ma tête à regarder vers le ciel, en direction d'un immeuble. Quelqu'un était là-haut.

    Une pression spirituelle hors du commun s'étendait au dessus des autres, au dessus des humains. C'est d'un élan magistral que je parvins à apparaitre d'un shunpô contre le mur, m'appuyant de ma jambe droite sur celui-ci, ce qui m'écarta de l'immeuble, mais me poussa vers un poteau situé en face. Effectuant une galipette en arrière, je pris appui sur cet étrange objet pour au terme de cette série de cascade, atterrir sur le toit de l'immeuble. La main posée sur le manche de mon zanpakutô, je m'attendais à rencontrer la personne détentrice de cette énergie spirituelle mais le destin en décida autrement, car le toit était vide. Alerté de nouveau, ma tête effectua un mouvement assez rapide ce qui eut pour effet de diriger mon regard vers le grand parc, sans une pointe d'admiration cette fois, mais de méfiance. Une ombre était présente, quelqu'un d'assez grand dont je ne distinguais que la silhouette. Cette personne disparut derrière un arbre et, étrangement, ne réapparut pas. Prenant une légère inspiration en parfait synchronie avec un soupir, je décidais d'aller voir ce qu'il se cachait dans ce parc. Disparaissant de ma position tel la brise d'automne, je venais d'utiliser une fois de plus, le légendaire shunpô. Ce simple pas en avant venait de me conduire au seuil de la grande plaine herbeuse de Karakura, le parc. Sans attendre, j'effectuais à nouveau cette technique de Hôhou, et parvins à me téléporter à côté de l'arbre, ma main gauche posée sur le tronc de celle-ci; et c'est en me penchant vers l'avant et tourner ma tête que je découvris qu'il n'y avait rien derrière ce cerisier. Un cerisier, hein ? C'est en pensant à cela que je finis par le reconnaitre, ce reaitsu. Comment n'avais-je pas fait pour savoir qu'il s'agissait de cette personne, ayant pourtant était très proche d'elle ? Son énergie spirituelle aurait du m'être familière, mais il n'en était rien. Il faut croire qu'apprendre à dissimuler sa pression spirituelle est aisée, et qu'il existe bien des génies dans ce domaine. Cependant, l'heure n'est plus aux mots, il me fallait au plus vite dénicher ce traitre. Il avait commit une grave erreur en s'opposant à l'autorité de la Soul Society, en particulier du capitaine-commandant en chef qui disposait d'une force considérable. Dissimuler sa position en plus de sa présence ne faisait qu'affirmer le fait de sa lâcheté, aussi pour prouver son courage devait-il sortir maintenant, mais malgré tout, sa honte n'en disparaitrait pas non plus. Se planquer pour après se montrer est stupide, souligne juste que vous n'aimez point que l'on pointe le doigt sur votre fierté, et voulant faire croire au monde que vous possédez ne serait-ce qu'un minimum de courage, vous vous décidez enfin à sortir de votre cachette. Cependant, ces actes peuvent avoir été fait comme je l'ai dis, par fierté, ou bien trop submergé par la honte, vous avez décidé de vous rendre. Le signe de courage direct, affronter son destin en face est la meilleure des solutions, car on reconnait ainsi que vous n'êtes pas à négliger en vue de votre puissance, mais si ce n'est que ça, autant être peureux. En plus de ces avantages, on peut distinguer votre rayonnement de part votre courage et votre force, votre détermination elle aussi ne doit pas être oubliée dans le lot, d'autant plus que c'est cela le plus important chez une personne. Être fort, c'est bien, mais déterminé, c'est mieux. C'est en me tirant de mes pensées qu'il avait enfin décidé à se montrer, sa silhouette face au soleil, ne laissant paraitre rien, même pas son visage qui devait tenir une expression impassible. Mon visage prit une expression plus coléreuse, presque agressive, avant que j'eus pu répondre :

    « Apparemment tu as cessé ton petit jeu de traitre. N'est-ce pas... Roku Ban Tai Taisho, Kuchiki Byakuya ? »

    Daignant répondre pour le moment, il gardait son air hautain en se tenant en face de moi. Son visage semblant impassible à ma remarque, le cher noble donnait l'impression d'être complètement indifférent à la moindre de mes paroles, ainsi qu'à la situation. Se dressant de tout son haut, je pouvais voir qu'il jouissait d'un physique qui était il semblerait bien construit. Cependant, ce ne sont sûrement pas ce genre de choses qui risquent d'attirer mon attention car, si je m'observe bien, je sais pertinemment que je n'ai rien à reprocher à mon corps. Rivalités, voilà ce que mon âme me hurlait tant bien que mal, tandis que je daignais l'entendre. Telle la tentation, cette voix douce me murmurait de passer à l'assaut immédiatement, non seulement dans le contexte de la réussite de mon devoir mais aussi afin de prouver à ce noble qu'il n'était pas le meilleur de tous, et que son air hautain n'avait rien à ficher sur son visage moche. Ce fin fond de ma pensée ressortait des profondeurs de la force ! de mon esprit, voulant prendre le contrôle de mon corps. Néanmoins, il en faut plus pour m'ébranler, c'est pourquoi je décidais de n'agir que pour ma mission, et non pour moi. La voix avait en partie raison, et ce n'était que bénéfique pour son image si elle ne voulait pas périr tout de suite sous mes coups. De plus, s'énerver ne me mènerait à rien... si ce n'est à ma perte. Je plongeais alors mon regard dans celui de Byakuya, le regardant à mon tour. Ses yeux d'une couleur sans pareille reflétait le sereinement, me faisant presque oublier mon objectif. Dans ses pupilles je vis toute sorte de sentiments, les uns tout aussi surprenants que les autres. Une scène parut dans ma tête, celle d'un combat m'opposant à Byakuya, chacun de nous déjà en Bankai. Cependant, il semblait que sa lame me perforait le torse, et que la seule force du bras du noble empêchait mon corps de s'écrouler, son zanpakutô étant encore planté en moi. Tout cela n'était qu'un rêve, cependant j'éprouvais un temps soit peu ce sentiment désagréable. Rongé de l'intérieur, c'est ainsi que je commençais à me dire que je n'aurais pas du provoquer Kuchiki Byakuya. Ce sentiment, qui grignotait mon âme, n'était autre que le regret. C'est ça, il semblerait que je regrette chacun de mes actes effectués depuis ma venue ici. Tous, sans exception. Était-ce la peur qui m'inflige une telle souffrance ? Mais, je dis bien mais, je suppose que chacun d'entre vous est bien au courant qu'Hitsugaya Tôshirô, capitaine de la 10ème division n'est pas du genre à laisser tomber si facilement tandis qu'il a tort et déjà annoncé son but à l'ennemi. Cela n'en serait autre que plus ridicule. Aussi, rater cette mission n'aurait pour effet que de nuire à ma réputation qui, en plus de cela n'est pas des meilleures. Posant d'une manière assez délicate ma main autour du manche bleu de Hyôrinmaru, je mis court à ce flux de pensées en m'adressant à Kuchiki Byakuya d'une voix glaciale. N'allez pas jusque penser que nos relations sont hostiles, rien de tout cela, mais je ne fis que m'exprimer de façon habituelle, ce qui laissa couler ceci :

    « Kuchiki Byakuya, ma mission est de vous ramener au sein du Goteï 13. Veuillez me suivre sans résister, auquel cas je me verrais dans l'obligation d'user de la force. »


    M'exclamais-je. Cette question était stupide, puisque je connaissais évidemment la réponse. Qui ne tente rien n'a rien, n'est-ce pas. Mais c'est sans lâcher le noble du regard que je libérais lentement mon reaitsu de mon corps...
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Kuchiki Byakuya
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MessageSujet: Re: Mission impossible. [ PV Aozora - Byakuya - Senbonzakura ] [Avorté]   Mission impossible. [ PV Aozora - Byakuya - Senbonzakura ] [Avorté] Icon_minitimeVen 25 Juin - 17:40

L’astre du jour brillait sans pareil en ce paysage fait de vitres et de béton. Ses rayons se miraient sur les fenêtres, avant de se perdre dans ces rues immenses et grouillantes de ces humains qui ne semblaient nullement prendre garde de l’observateur juché sur le toit d’un immeuble. Son écharpe flottait tranquillement en son dos, tandis que le froissement des tissus sombre de ses vêtements se feutrait discrètement sous la faible brise du Zéphyr. Byakuya sagement perché, n’avait de cesse de plonger un regard si indéchiffrable vers le contre bas. Des yeux anthracite et neutres, témoignant de ce flux humains qu’il n’aimait pas côtoyer. Toutes ces allées et venues qui pour lui n’avait aucun sens réel, alors qu’il n’était à leurs yeux si aveugle qu’un fantôme….un concept et non une réalité. Et pourtant, ces gens, cette foule aussi vitale soit elle rejoignait quoi qu’il advienne cet état qu’elle ne faisait que soupçonner. Lentement ses paupières s’abaissèrent, alors que d’une longue et profonde inspiration le noble Kuchiki ignora ses êtres. Son rôle de shinigami était momentanément révolu. Dorénavant et ce jusqu’à ce que cette volonté ne soit accomplie, il se devra de suivre son ultime désire sans jamais ce confier. Cette entreprise ne tenait qu’à un fil, mais il n’était point le seul à agir, il possédait l’un des alliés les plus sûrs qui soit en ce qui le concernait. Une chose bien suffisante dans un sens afin de mieux supporter les jugements de ceux qui l’avaient côtoyé jusque là. Le temps des comptes n’était point encore à ses portes, et le danger nullement écarté. Pourtant l’ancien Roku ban tai Taisho et traitre de son état maintenant, semblait réclamer une courte pause sur ce toit rectangulaire et ennuyeusement dressé vers les cieux éthérés.

C’est alors qu’une pression se fit ressentir, alourdissant un peu l’atmosphère sans que cela ne trouble ces humains tout affairés au contre bas. Ce reiatsu parfaitement familier se frôla au sien, faisant ainsi comprendre qu’il était repéré. Cependant Byakuya ne vit personne, et n’avait guère envie de patienter plus que de raison, la visite de cet ancien collègue, qu’il avait parfaitement reconnu. D’un shunpo maîtrisé depuis des décennies, et ce grâce à son mentor, le chef de clan disparut de sa corniche, pour réapparaitre dans ce parc qu’il avait repérer depuis le haut. Le seul endroit à dire vrai, après les hauteurs qui était susceptible de lui plaire, notamment pour ce genre de retrouvaille. Car il serait stupide et bien naïf de croire que Byakuya fuyait ou se sèmerait de cette manière le Ju san Ban tai Taisho. Ses pas se mêlèrent à cette herbe verte et encore marquée d’humidité, sans doute à cause des arroseurs automatiques, feutrant son avancée et cajolant de ses caresses naturelles le bas de son uniforme. Un vêtement un peu plus froissé que d’ordinaire il est vrai, et même déchiré au niveau de son épaule droite, rappelant son combat contre Zaraki, il y avait peu. Une confrontation qui n’avait jamais obtenu de vainqueur, sous cette pluie battante. Ses iris ombrageux glissèrent sur l’écorce d’un fier cerisier qui avait retrouvé toute ses feuilles. Byakuya passa derrière lui tout en effleurant de ses phalanges fines et pâles son tronc, se rappelant alors le sens même de son nom. Mais cet arbre était bien vivant et possédait encore une certaine longévité à parcourir.

Le chef de clan s’éloigna encore, ressentant toujours cette pression qui se focalisait inlassablement sur lui, alors qu’il ne camouflait guère son propre Reiatsu, sans doute pour démontrer qu’il ne se cacherait pas. Pourquoi le faire alors qu’il ne faisait que suivre son désir. Il n’y avait là, rien à ce reproché de quoi que ce fut. Sur sa droite une petite fontaine déversait son eau en son bassin, l’appelant à se rafraîchir. Une tentation fort légitime en soit, mais ne serait ce point une faiblesse que de vouloir se passer un peu de ce liquide au combien salvateur sur sa nuque raidit par ces jours sans répit aucun au côté de Muramasa. D’ailleurs s’il se tenait ici présentement, ce n’était pas tellement pour profiter d’un moment de solitude, voir de relâchement, bien qu’éphémère, mais afin de repérer un certain endroit... Sa main droite dépourvut de son gantelet qu’il avait perdu face au Ju ichi ban tai Taisho, plongea en cette eau clair et la reporta sur ses traits un peu blêmit par la fatigue et laissa sa fraîcheur envahir délicieusement son épiderme, alors que les gouttes s’écoulaient le long de ses joues pour venir s’égoutter sous son menton. En agissant ainsi, on pourrait croire qu’il abaissait sa garde mais point du tout, il n’ignorait point la présence d’Hitsugaya qui se présentait juste à quelques pas de lui. Lentement, le noble Kuchiki lui présenta son profil, témoignant de sa placidité et de ce calme qui le caractérisait depuis toujours. Ses yeux se voilèrent à demi, jusqu’à ce fermer totalement, comme s’il offrait qu’indifférence à ce Taisho enfant. Non pas qu’il ne le respectait point, mais Byakuya n’avait aucun désir à confier quoi que ce soit. Il n’y avait rien à formulé pour le moment.

Hitsugaya se tenait là le visage sévère, comme s’il le jugeait de sa prestance, mais cela ne l’atteignait nullement, s’étant préparer à ce genre de chose, même si son cœur s’en révoltait. Le noble n’avait point à le démontrer, aussi lorsque ses orbes grise réapparurent ce ne fut que pour exprimer cette neutralité déconcertante, Dressant un barrage des plus fermes entre lui et ce capitaine qui n’agissait que par devoir au demeurant. C’est d’une voix agressive que ce dernier s’exprima envers lui, tout en ironisant. A cela le chef de clan et traître, ne daigna répondre qu’une simple onomatopée tout aussi dédaigneuse :


- Humpf..

Que pouvait-il rajouter à cela, alors qu’on ignorait nullement la tendance si peu loquace de la part de notre taisho déchu. Rien en sa posture ne semblait démontrer la moindre faiblesse, la moindre honte ou doute. Non, tout n’était que fermeté et détermination. Il n’y avait point une ombre d’hostilité entre les deux hommes qui n’étaient qu’invisibilité en ce monde vaste et grouillant. L’eau avait fini de sécher sur les traits impassibles du noble qui ne semblait point vouloir bouger. Silencieux et patient, ses oreilles dénotèrent parfaitement la suite des paroles bien inutiles et formelles de son ancien collègue. Bien entendu qu’il n’obtempéra point à cette demande. Comment le pourrait-il face à cette promesse proférer jadis. Non, Byakuya savait pertinemment ce qu’il mettait en jeu et ne reculerait point malgré tout. Un Kuchiki n’avait pas à le faire. Dès lors,, le traître se tourna pleinement vers Hitsugaya dont le visage n’avait pas encore perdu les attraits arrondis de l’enfance et lui stipula d’une voix monocorde mais intransigeante, alors qu’il n’ignorait pas cette main posée sur la tsuka de son zanpakutoh, tandis que lui-même gardait simplement ses mains le long de son corps.

- Je ne puis répondre positivement à votre requête Hitsugaya Taisho. Je me dois de suivre ma volonté.
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MessageSujet: Re: Mission impossible. [ PV Aozora - Byakuya - Senbonzakura ] [Avorté]   Mission impossible. [ PV Aozora - Byakuya - Senbonzakura ] [Avorté] Icon_minitimeVen 25 Juin - 19:30

    La roue avait tourné, puis elle s'était arrêtée au terme de quelques rotations qui eurent ralenti au fil du temps. Comme dans chacune de ces attractions, une flèche rouge désigne de sa pointe le résultat obtenu, et le gain que l'on peut par la suite obtenir. J'avais moi-même misé sur un refus de la part du capitaine Kuchiki, et bien que les jours où je gagne aux jeux soit rares et qu'aujourd'hui j'aurais préféré perdre; il se trouve que la pointe a décidé de mettre en valeur ce choix que j'avais précédemment fait. Je l'ai su dès le moment où le cher noble n'a daigné répondre à ma question que par un simple Humpf, ce qui n'eut aucun effet excepté celui de m'agacer. C'est main posée sur le garde de mon zanpakutô que j'attendais sagement la réponse de l'ex-Roku Ban Tai Taisho, qui d'ailleurs, ne se fit pas tarder. La phrase de Byakuya fut prononcé d'une voix sereine, le ton calme employé ne faisant que refléter son honnêteté. De part ses mots, il disait ne pouvoir écouter mes dires, et continuer à suivre sa voie; le seul point positif étant le titre employé envers moi, à savoir "Taisho". Je ne désigne pas cela du doigt parce que cette annotation me plait, bien au contraire, chaque shinigami se doit de m'appeler par ce titre, je souligne le fait que malgré qu'il ait été déchu de son rang et poursuivit par moi, le noble appelle toujours chacun des nôtres de part son titre. En somme, il semble qu'il n'éprouve aucune hostilité envers nous, mais bien de la neutralité. Si j'étais venu ici de mon propre chef, j'aurais sans doute laissé partir l'héritier des Kuchiki, mais je dois avant tout ne point faillir à mon devoir de shinigami, et je suis dans l'impossibilité de me résigner. Si je daignais réfléchir, j'espérais trouver une solution mais pour le moment, je ne ferai que suivre les ordres. Pourquoi ? Si je pouvais moi-même répondre à cette question. Comment ? J'aimerais bien le savoir, également. Nul doute que la force de Byakuya dépasse la mienne de plus d'un étage. Il est rare que dans le cercle des shinigamis on rencontre des gens doués d'un talent exceptionnels, capable de passer en une seule et unique année l'académie des shinigamis. Cependant, il semblerait que Kuchiki Byakuya fasse partir de cette petite catégorie, il en est de même pour moi. Génie pour génie, cela doit être aisé pour nous de comprendre les sentiments que les gens éprouvent à notre égard. Jalousie, haine, et tout ce qui jouit de ce cercle lexical qu'est la solitude. Cela s'arrête simplement là en ce qui concerne nos points communs, car il se trouve que Byakuya contrôle les arts du kido de façon incroyable, et que sa maitrise du zanpakutô arrive à son paroxysme. Ce n'est pas mon cas, puisque de mon côté j'exerce le kido de façon excellente certes, mais pas au point d'égaler le noble. Quand à mon zanpakutô, mon pouvoir n'est pas encore tout à faire mûr, et je ne le contrôle pas parfaitement, contrairement à mon subordonné. Ou devrais-je dire, ex-subordonné. Quoique, je ne puis encore compter Byakuya comme un traitre. Yamamoto-Sotaïcho a omit un détail, c'est bien celui du motif de la fuite du noble. Intrigué, je lui demandais.

    - Je ne puis répondre positivement à votre requête Hitsugaya Taisho. Je me dois de suivre ma volonté.

    « Tout comme le fait que je sois dans l'impossibilité de me résigner sur votre cas. »

    M'écriais-je calmement. J'attendis une quelconque réaction, avant de continuer :

    « Cependant, si vous me fournissez un motif raisonnable, je vous laisserai peut-être repartir. Vous savez pertinemment que je ne puis faillir à mon devoir de shinigami, ou devrais-je dire à la mission que l'on m'a attribuée, aussi serais-je sûrement, dans ce cas, couronné du titre de traitre, comme vous. Néanmoins, arrêter un subordonné me resterais en travers de la gorge, et je reste sceptique quand à cette situation. »

    Je venais de révéler au Roku Ban Tai Taisho toute la pensée qui me rongeait depuis plusieurs minutes. Peut-être bien que cela le ferait changer d'avis, mais rien n'est joué. Mais je me devais d'exécuter mon travail, quelle que soit la situation, et le temps de trouver une solution adaptée, je devrais empêcher Byakuya de partir. Aussi dégainais-je mon zanpakutô lentement, alors que mon reaitsu fit une chute... vers le haut.

    « Veuillez m'excuser, Kuchiki Taisho. »

    M'exclamais-je tout à fait honnêtement. Le fait de l'appeler encore par son titre était comme un clin d'œil à son égard, lui qui éprouvait toujours du respect envers chacun des capitaines shinigamis. De plus, je n'ai jamais dit ne plus respecter un homme tel que Kuchiki Byakuya, lui qui a toujours été loyal envers la Soul Society et ses lois. J'allais même jusqu'à me demander si quelqu'un comme moi était digne de juger quelqu'un comme lui. Hyôrinmaru brillait de tout son long via la lumière du soleil, et contrastait de part sa beauté et sa pureté. Je n'avais pas le temps de penser à l'apparence de mon zanpakutô, l'heure n'en est pas plus aux mots. Je me devais d'exécuter les ordres donnés, et pour cela il ne fait nul doute qu'il faudrait se hâter; tout en gardant une vitesse de combat constante pour me permettre de trouver le plan qui m'aiderait à ne pas faillir dans cette situation et éviter d'arrêter le Roku ban Tai Taisho. Aussi, je décidais de me lancer immédiatement à l'assaut.

    « Hado no Yon, Byakurai. »

    Rapidement, un éclair blanc sortit de la proximité de ma phalange, pour se diriger vers Byakuya; je venais de porter la première attaque.

    Spoiler:
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MessageSujet: Re: Mission impossible. [ PV Aozora - Byakuya - Senbonzakura ] [Avorté]   Mission impossible. [ PV Aozora - Byakuya - Senbonzakura ] [Avorté] Icon_minitimeSam 26 Juin - 23:16

La main du ju ban tai taisho ne semblait point vouloir se retire de la Tsuba, ce qui conforta Byakuya dans l’idée qu’Hitsugaya ne bougerait point. Mais en quoi était ce étonnant, car lui-même n’aurait certainement pas détourné sa route en une occasion comme celle-ci. Bien au contraire, il se serait contenté de rompre la conversation et rempli son office sans même réfléchir…Cependant ce comportement excessif semblait révolu pour l’anciennement nommé Roku ban tai Taisho, vaincu par Ichigo sur cette colline rocailleuse. Cette logique qu’il s’était imposé et qui l’avait mené au bord du paradoxe avant de comprendre in extrémisme son erreur. Et ce n’est qu’à son éveille au sein de la quatrième Division qu’il réalisa en son esprit un dicton des plus approprié à cet état de conscience, et qu’il se promit de retenir en plus de cette leçon qui avait bien faillit lui être d’une amertume plus accrue encore que cruelle. « Je choisis à tous les coups le jugement d'un esprit équilibré de préférence à n'importe quelle loi. Les codes et les manuels créent des structures de comportement. Tout les comportements pré-structurés ont tendance à se dérouler sans être remis en question, amassant ainsi des forces d'inertie destructrices » Le noble chef de clan avait mis un peu plus de cinquante années pour en apprendre de cette vérité et enseignement alors que le jeune capitaine qui se tenait présentement en face de lui-même, semblait l’avoir compris depuis bien longtemps. Car il reprit d’une voix tout aussi calme que la sienne il vint lui soumettre ce qui apparemment le tourmentait à son propos. Voulant comprendre ce retournement de situation de sa part et analyser le cheminement de sa logique afin de justifié son devoir de le stopper. Une preuve d’intelligence fort louable que Byakuya ne pouvait reconnaître envers certains de ses anciens collègues…

Le vent couvrit durant quelques secondes le silence qui s’en suivit, venant à taquiner l’écharpe du traître qui n’offrait encore et toujours que cette parfaite immobilité et cette indifférence qui marquaient ses traits pâles et jeunes. Son regard anthracite observait attentivement l’apparence de celui qui autre fois se trouvait à ses côtés, tandis qu’il préparait sagement ses muscle afin de répondre à toute offensive. On ne tournait point le dos à une telle attention, sauf si l’on désirait mourir bêtement et de surcroit sans aucun honneur, ce qui entre nous soit dit, n’était point du gout de notre noble. Malgré tout, ses lèvres se délièrent lentement, exprimant une voix profonde et ennuyeuse :


- Je crains qu’aucun motif ne soit valable à vos oreilles. Car mon désir ne puis suivre la volonté du Seireitei et vos doutes n’appartiennent qu’a vous-même.


Le doute était une chose qui ne faisait point partie du jeu de notre traitre, car sa situation ne se maintenait que sur un fil bien modeste. L’erreur n’était que quasi nul dans la donne qui lui était offerte. Cependant Byakuya ne pouvait s’empêcher de ressentir une pointe d’apaisement au devant des dires du jeune taisho de la dixième Division. En effet, s’il doutait s’était sans doute parce qu’il reconnaissait la droiture qui avait toujours été sa compagne, et le respect qu’il éprouvait pour sa personne. Mais…ce sentiment était tout aussi blessant que flatteur, même s’il si était préparé. La théorie n’était rien face au vécue. Et le regard de Tohsiro en cet instant précis paraissait aussi semblable que celui qu’il avait entrevu sur le visage de sa jeune sœur, Rukia. Ces yeux qui démontrait cette détermination à bien à accomplir son devoir, sous cette pluie des plus torrentiels, brandissant sa main comme pour l’emprisonner alors qu’elle n’en avait nullement la puissance, alors qu’il lui tournait à demi le dos. Lui n’avait rien démontré, et il ne lui en aurait nullement voulu pour cet acte qu’elle voulait faire vis-à-vis de lui. C’était son devoir, mais lui ne pouvait se détourné de ce qui l’obligeait à feindre cette trahison. Voila pourquoi le noble lui avait instamment imposé de ne point le suivre, et de rester à l’écart de tout cela. La pluie cesserait…il le lui avait dit, comme si sous cette parole il annonçait qu’il reviendrait quoi qu’il advienne, son nom salit tout comme son honneur et assigné en traître, mort sous cette tentative solitaire, ou bien sain et sauf ainsi que le nom de son clan parfaitement rétablie en tenant la promesse maintenu envers son prédécesseur. Oui, c’était cette même lueur qui brillait en les iris de son vis-à-vis et une fois de plus Byakuya ne pouvait en éprouvé de la remontrance.

Son souffle était parfaitement régulier en son sein, tendis que ses mains le long de son corps restaient résolument immobile. Si offensive il y avait, il ne sera jamais le premier à attaquer, surtout lorsque cela concernait le Seireitei. Ses anciens frères d’armes étaient certes ses opposants en cet instant, mais nullement des êtres qu’il haïssait, d’autant que la voix de Ju ban tai Taisho l’interpela en lui offrant cette appellation des plus respectueuses le concernant. Un titre qui actuellement n’était plus sur ses épaules, tel un paria. Le visage placide et sans rien rétorquer sur le moment, le noble Kuchiki, puisse qu’il n’était plus que cela, observa prestement le jeune capitaine soutirer dans un son clair sa lame dépourvu de sa puissance… Mais même sans cela Byakuya pouvait lui reconnaître une prestance particulière sous la luminosité qu’offrait l’astre du jour sous la coiffe du cerisier juste derrière Histugaya. L’eau continuait inlassablement de s’écouler en ce bassin, où précédemment le noble s’était offert un geste de lassitude et presque humain. Un doigt se pointa en sa direction, et une voix plus dure se manifesta sous ce corps encore emplie des traits de l’enfance. Un jugement inévitable, une action que ne pouvait réprouvé celui qui était le plus fervent défenseur des lois régit par la chambre des quarante six…un temps révolu par des conséquences qui auraient pu être plus que fâcheux, en n’offrant à Byakuya qu’un monde sans réel sens et véritablement seul, en entendant son propre zanpakutoh le nié pour son inaction, s’il ne s’était point reprit.

Mais cette fois ci tout était différent, il suivait non plus les lois, mais son plus grand désir….celui de protéger sa fierté, et c’est au moment de l’impacte que le noble Kuchiki usa d’un shunpo pour se soustraire à cette attaque, pour réapparaitre juste sur la droite de Hitsugaya et proféra d’une voix qui ne trahissait point la moindre tension, alors que ses paupières se voilèrent comme par déférence.


Bakudo no roku jû ichi Riku Jyôkôrô

Le traître ne dégaina pas une seule fois en se faisant et n’en avait nul envie, sauf si jamais le capitaine l’y obligeait…Il ne se laissera point capturer.

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MessageSujet: Re: Mission impossible. [ PV Aozora - Byakuya - Senbonzakura ] [Avorté]   Mission impossible. [ PV Aozora - Byakuya - Senbonzakura ] [Avorté] Icon_minitimeLun 28 Juin - 8:32

    Dans un bruit de fracas assourdissant, la pointe de la flèche avait effectué plusieurs tours complets de la roue avant de, cette fois, décider de se stopper sur « Combat », engendrant ainsi un affrontement entre Byakuya et moi-même. C'est donc avec une pointe d'espoir que j'avais tout de même essayé de raisonner le Roku Ban Tai Taisho, qui lui, guidé par la fierté de la famille Kuchiki, me répondit d'un ton qui paraitrait hautain à toute personne ne connaissant pas Byakuya ou plus précisément sa voix mélancolique :

    - Je crains qu’aucun motif ne soit valable à vos oreilles. Car mon désir ne puis suivre la volonté du Seireitei et vos doutes n’appartiennent qu’a vous-même.

    « Dans ce cas, vous serez contraint de vous défendre. »

    Ainsi, il ne voulait vraiment pas écouter, je serai donc contraint de l'arrêter. J'avais cru un moment pouvoir faire une quelconque négociation avec lui, mais il faut croire que cela demeure impossible. C'est la raison pour laquelle, sans attendre plus, j'avais foncé vers lui, sabre dégainé. Cependant, je ne pus aller plus loin, car alors que je m'apprêtais à porter la première attaque, Byakuya apparut à ma gauche, et lança un sort de Bakudo. Si à ce moment je n'avais pas usé d'un Shunpô à mon tour pour l'esquiver, je crois bien que j'aurais été immobilisé. Un nouveau shunpô avant d'apparaitre au dessus du noble, je lui portais une attaque verticalement, trop lente semble-t-il puisqu'il l'esquivait aussitôt. Atterrissant sur mes pieds, je portais une attaque circulaire esquivée elle aussi par l'agilité remarquable du capitaine Kuchiki. Je lâchais un "Tss" avant de reculer d'un bond, me mettant par la même occasion hors de portée des attaques de mon adversaire. Il est évident qu'en vue de sa force, il ne sera pas facile de l'avoir, d'autant plus qu'il fait preuve d'une rapidité hors du commun. Il me semble que c'est cette raison qui m'a poussé à le faire, car c'est après ces événements que je tendis deux mains en direction de Byakuya juste avant de crier d'une voix qui était à peine audible aux personnes se trouvant loin de nous :

    « Bakudō 58: Kakushitsuijaku ! »

    Lancé de façon rapide, ce sort de kido n'avait pour but que le simple fait d'immobiliser Byakuya. Sans attendre, sans savoir si le bakudo s'était épris de lui, j'apparus dans les airs, l'index pointé vers lui, et c'est un autre Byakurai qui décidait de pointer son nez avec pour but de filer droit vers le noble. Toutes ces attaques n'étaient pas vraiment puissantes, cependant elles étaient portées avec une précision hors du commun qui en laissait plus d'un en haleine. Je n'étais point du tout certain que j'arriverais à immobiliser Byakuya, au contraire : moi ayant réussi à esquiver son bakudo de cercle 60, je doute qu'il se laisse avoir par le mien qui reste dans la cinquantaine malgré qu'il frôle la catégorie au dessus. Aussi étais-je certain que ce coup raterait sa cible.

    En vérité, ce kido n'était autre qu'une diversion, car j'avais d'autres plans en tête pour arrêter l'héritier des Kuchiki, qui ne laissaient paraitre rien de bienveillant. Ce n'était pas sans doute le meilleur endroit pour exécuter mon plan, ni le meilleur moment quand on y pense, mais il fallait tenter le coup, peu importe que cela rate ou pas, j'aurais essayé. C'est donc pour cette raison que je bondis en hauteur pour atterrir debout, dans les airs, avant de, usant une nouvelle fois de ma voix glacial, prononcer des mots qui en figerait sur place plus d'un, bien qu'étant une phrase courte, à savoir simplement ces quatre mots suivants :

    « Sôten ni Sase... Hyôrinmaru ! »

    Je venais de révéler le cri de Hyôrinmaru, peut-être qu'il s'opposerait à ma volonté et refuser de se libérer, c'est cela qui jouerait sur l'issue du combat. Effectivement, partons du principe que dès que nous avons commencé à croiser le fer, il ne fait aucun doute que celui qui mène la danse est le noble, lui qui maitrise bien mieux que moi les arts du kido. De plus, il possède une expérience propre à son âge, son rang, et l'histoire qu'il a vécu. Cela est déjà l'une des choses que je n'ai pas, étant le récent Jû Ban Tai Taisho, après seulement quelques années passées au Rukongai et d'autres au sein du Goteï 13.

    Je plussoie en montrant du doigt l'agilité plutôt surprenante dont fait preuve Byakuya qui sait également utiliser les Arts des Déplacements Secrets, à savoir l'Utetsumi et le Senka. Techniques très utiles, d'ailleurs, si l'on veut esquiver une attaque nécessitant une vitesse trop élevée. Terminons sur le fait que sa maitrise des arts du Hôhou, à savoir le Shunpô plus précisément, doit être arrivé à son apogée. J'avais ignoré tout ces détails jusqu'à présent, mais il ne fait aucun doute que durant la suite du combat, ils seraient évident. En attendant, la question était de savoir si Hyôrinmaru allait se montrer, ou pas...

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