Présentation de Kuchiki Byakuya

Nom : Kuchiki
Prénom : Byakuya
Âge :inconnu
Sexe : Masculin
Camp :Muramasa
Race : Shinigami et capitaine de la 6e Division.






Caractère :

Byakuya Kuchiki est un personnage au caractère sévère et inflexible. Du moins c’est ce qu’il cherche à laisser transparaitre en se faisant distant et froid socialement, que ce soit avec son entourage proche ou éloigné, ne tenant pour compagne que cette solitude si fidèle. Cela peut donner à penser qu’il cherche ainsi à créer une distance respectable entre ce qu’il ressent et ce qu’il doit faire, cherchant un discipline plus qu’irréprochable envers son clan et son devoir de shinigami. Mais quoi de plus étonnant, lorsque l’on n’ignore point que nos faits et gestes son t en constante observation et soumit au jugement des anciens et des autres familles, soulignant ainsi une forme de transparence…. C’était quelque peut ironique, lorsqu’on savait sans peine, que tout n’était qu’apparence, omission volontaire et arrogance, sous un manteau de justice et d’exemples. Cependant, Byakuya n’était pas de ses nobles avilies par l’argent ou dépourvu de volonté. Car sinon comment sa légende prendrait forme en ce cas.

Non en vérité, notre chef de clan possédait certes de l’arrogance et une fierté des plus poussé, concernant sa personne, mais aussi un sens de l’honneur et de la droiture. Choses qui dans un sens le faisait passer outrageusement pour un homme bien trop stoïque, sous cet aspect calme et sage. Sagesse caché sous le rideau de l’indifférence, qui faisait de lui un être réfléchit et non une personne des plus téméraires. Habile de son esprit l’analyse des faits était en soit un exercice des plus habituels, parvenant ainsi à résoudre les problématiques et les équations qui s’imposaient à lui. Cependant, fort de son individualisme, il lui arrive parfois de s’enliser en un silence plus que persévérant…ignorant toute forme d’aide sous le carcan de sa fierté, et c’est dans ces instants précis que l’on perçoit enfin ses failles…ouvertures certes minimes mais qui nous permettait d’entrevoir l’être qu’il était. Byakuya était en réalité une personne empli de tristesse et de silence, ne se faisant comprendre de que de manière implicite que se soit en actes comme en paroles. Des mots qui ne sortaient qu’avec parcimonie de ses lèvres pâles. C’était là un art qu’il n’employait point à outrance, sous une tonalité des plus monocordes, ne dépassant point le décibel adéquat d’une conversation des plus posées. Il en était de même en ce qui concernait, le combat, jamais le noble Kuchiki ne se livrait à des élucubrations plus qu’inutile face à l’ennemi, bien au contraire, son silence était le maître mot, tout comme l’ironie. Son sans de la logique et de la stratégie lui offrent un atout conséquent, jusqu'à prendre une longueur d’avance sur les tentatives de ses opposants, bien que parfois, cela ne paye pas toujours, car sous le joug de son orgueil il n’était pas rare que cela lui fasse défaut.
Fière de sa puissance, Byakuya ne supporte pas que l’on soit familier envers lui et ne se prive pas de rabaisser avec verve et cynisme cinglante ses adversaires. Seul trois personnes ne se privent point de familiarité envers sa personne, et curieusement, notre chef de clan ne s’avise plus à leurs en faire la réprimande, car cela est une chose bien inutile, et la futilité était un affront à sa patience.
Uhmm…l’impatience… Voila un fait qui lui était resté propre aux files des ans. En effet, malgré ce que l’on peut imaginer, Byakuya ne fut pas toujours ainsi. En effet dans sa jeunesse, il était d’une impulsivité é déconcertante et d’une colère surprenante, ce qui ne plaisait pas toujours à son grand père, qui espérait le voir un peu plus réfléchit dans ses manières afin qu'il remplisse au mieux ses devoirs envers la maison qu'il représenterait plus tard, soutenir ce qui est fort et non ce qui est faible, autrement dit ne point céder à la précipitation et agir avec réflexion, concédant enfin que la facilité de l’emportement était mère de toute stagnation. Cependant cette impulsivité ne fut démontrée qu'en présence de Dame Yoruichi, et qui diable, pourrait l'en blâmer quand on connait cette dernière.

Pour en revenir au présent, il n’est point rare que de remarquer l’absence de Byakya en ses quartiers, lorsque la nuit venait à tomber sur le Seireitei. Aller savoir pourquoi… mais cette obscurité égaillé par les étoiles et la présence plus que maitresse de la lune, pourtant si veule, avait le don de l’apaisé, en son fort intérieur, alors qu’il s’éloignait sans réel but...Juste une simple promenade. En vérité c’était l’un des rares moments, ou il pouvait enfin être seul avec lui-même. Réfléchir aux décisions sans que nul ne vienne l’interrompre, voir à ne se laisser emporter par ses réminiscence plus anciennes, et qui avaient marqué un pan de sa vie. Ses pas le menaient souvent jusqu'à cette étendu d’eau, ce bassin artificiel qui se trouvait en son domaine, abritant sous son bras liquide, ses carpes Koï. Cela semblaient être un ravissement que d’observer le mouvement lent et élégant de ces poissons, laissant l’astre nocturne, faire reluire par moment leurs écailles. Du moins c’est ce que l’on pourrait croire, si Byakuya désirait nous laisser être le témoin de cette scène, et ce en sa propre présence. Mais comment concéderait-il à cela, sachant qu’il révélerait un attrait plus fragile de son être. Non cela était plus qu’impensable. D’ailleurs pour donner le change, il s’adonnait aussi à un tout autre loisir, celui de la calligraphie. Chose peu étonnante pour un homme qui appréciait la précision et le dénie pour les gestuelles inutiles ou de trop.
Ses yeux se voilent parfois sous ses paupières, en présence d’autrui, comme s’il désirait garder certaine chose silencieuse et secrète… des promesses qui ne pouvaient point être proférés, mais respecter. Une forme de conduite qui devait être le file de son existence.





Physique :

Du haut de ses 1m80, Byakuya possède une corpulence assez svelte, sous son air empli de prestance et de noblesse dédaigneuse. Cette dernière se reflète aisément sous ses traits harmonieux, délicats et d’une pâleur laiteuse. Ce visage qui pourrait vous paraitre doux à décrire, mais la réalité nous le révélait sévère et impassible, contrastant avec ses cheveux de jais, soigneusement emprisonné sous ses Kenseikaan, coiffe témoignant de son rang et de son appartenance au sein de la noblesse. Seules trois de ses mèches retombent fièrement au devant de son front, accentuant cette impression de sérieux qui orne ses traits, laissant entrevoir des yeux aux pupilles anthracite. Un regard aux allures insondables, tout en laissant refléter une lueur faussement indifférente envers toute personne qui se présentait à leur vue. Ce n’est qu’à l’ abri des regards, ou lors qu’il se recueillait au devant de l’autel de son épouse, que ses yeux si ombrageux, ne s’empêchaient d’exprimer une tristesse ancrée et indicible, sous le silence résolument tenu par ses lèvres closes et fines, retenant avec volonté ces mots qui pouvaient trahir cette nostalgie qu’il éprouvait chaque jour.

Son menton, se cachait par moment sous le revêtement du "Ginpakukazaharu", cette écharpe d’une blancheur immaculée et qui se transmettait depuis la troisième génération, au sein du clan Kuchiki. Ses pans restaient impeccablement en son dos, afin de ne point le gêner en ses gestes. Son kimono était semblable aux uniformes officiels du Gotei 13, bien que démarqué par le Haori blanc, marqué par le seau de la sixième Division, cette même faction qui était devenue presque une tradition envers cette haute maison. Ses mains aux phalanges longues et fines, étaient sur et habiles sous la protection conféré par ces gantelets blanc.
Sa démarche était emplie de noblesse et de précision, sous une impulsion certes lente, mais dynamique. Sa posture se révélait droite, voir Stoique et dédaigneuse, surtout quand le voile de ses paupières venait à couvrir ses orbes grises, lorsque l’on venait à lui parler. Démontrant une certaine déférence. Aucun tic au niveau de la gestuel, ne désirait trahir sa personne, toute implicite qu’elle était. Ce qui pouvait je le concède énerver plus d’une personne un tant soit peu….plus énergique.

Pourtant question réflexe, Byakuya n’en était nullement dépourvu, surtout lorsqu’on savait sa célérité en ce qui concernait le Shunpo. Il était donc malvenu que de se leurrer sur son apparence si lattant, et arrogante.






Histoire:



Afin d’être digne d’un historien, il suffirait de commencer, par le fait que Byakuya est le 28eme héritier d’une des quatre plus grandes maisons nobles de na Soul Society, où plus précisément la maison Kuchiki. C’est donc en cette demeure, qu’un certain 31 janvier, que notre auguste personnage vint au monde et bien que l’on ne connaisse pas grand-chose sur son enfance, il est assez simple pour nous d’imaginer, qu’il eut droit à une éducation strict et conséquente à la fois, promulgué par son grand père.

Si les autres petits nobliaux jouaient entre eux, Byakuya, lui n’avait de cesse que de s’entrainer à l’art du sabre et à parfaire son éducation et ses entrainements seul. Cependant on nous apprend qu’il eut pour professeur et ce durant un temps, Yoruichi. Cette dernière lui confia certaines techniques avant de disparaitre de son univers, de manière brusque et silencieuse. Ainsi fait il resta donc uniquement sous l’enseignement du Roku ban ta taisho de l’époque, autrement dit Ginrei, son grand père. Aux files des années, Le jeune garçon grimpa bien vite les échelons, sous l’aisance de ses facultés et son application, se rapprochant ainsi de l’image que son clan voulait imposer. Un futur chef de clan des plus puissants et des plus aptes à respecter les lois qui régissaient la Soul Society.

50 ans plus tard environs, il épousa une jeune femme provenant du Rukongai. Chose totalement incongrue et impensable envers la noblesse, certes…mais il est utile de vous dire que cela avait suscité bons nombres d’esclandres au sein du clan Kuchiki, face à la « folie » de leur héritier. Ce dernier cependant, férue de son esprit entêté, qui lui venait sans doute de son ancien mentor, resta planté sur sa position, réfutant les divers avertissements des anciens, concernant leur réputation et le fait de observer un sang pur. Hélas, cinq ans plus tard, Dame Hisana décéda suite à une maladie incurable, accompagné d’un surménage plus que certain. Ce n’est que dans ses derniers instants, elle parvint à requérir auprès de son mari, qu’il recherche sa jeune sœur, Rukia, qu’elle avait délaissé dans le Rukongai, alors qu’elle n’était qu’un bambin. C’était une chose qu’elle lui avait formellement interdit auparavant, estiment qu’il était de son devoir à elle, de réparer sa faute. Mais les choses étaient bien différentes en cet instant. La main presque sans vie ,tenue d’une manière presque délicate en l’étreinte rassurante et respectueuse de son époux, elle parvint à lui faire promettre le fait que jamais Rukia ne devra soupçonner leurs liaisons familiales, estiment ne plus être digne de cela…et qu’en échange, Byakuya en serait son digne grand frère, tout en la protégeant, comme elle-même n’avait pu le faire.
C’est donc un an plus tard encore, que notre capitaine trouva enfin Rukia et l’adopta au sein du clan. La encore les esclandres se firent de nouveaux entendres, sans que Byakuya ne fléchisse, pour la seconde fois de son existence. Cependant, conscient d’avoir enfreints les règles une fois de trop envers son clan, le repentir se fit sentir, et Byakuya s’imposa de prêter serment devant la tombe de ses ancêtres, proférant que jamais plus il n’enfreindrait les lois qui régissaient la Soul Society et de les défendre quoi qu’il lui en coûte. Action emplit de noblesse et de droiture, qui était tout à son honneur… mais qui risquait d’engendrer plus tard une indécision des plus poignante et éprouvante, qu’il ne soupçonnait pas encore.

Afin de se conformer aux dernières paroles de sa défunte épouse, Byakuya fit en sorte que Rukia ne puisse prétendre à un rang d’officier. Sachant pertinemment que c’était un rang bien trop exposé au danger. Pourtant et il fallait bien s’en douter, au bout de quelques années, Rukiaépprouvait un manque d’expérience accru par rapport à ses congénères, ternissant un peu ses capacités véritables, aussi elle fut envoyée sur Terre afin de remplir une mission de routine, sur l’ordre de Ukitake Taisho. Ce dernier s'était bien gardé de prévenir Byakuya qu'au dernier instant, et bien que le noble n'en ait rien rétorqué, il n'en éprouvait pas moins une colère certaine face à cet affront, qu’il concidérait comme une forme de trahison de confiance. Car en effet les deux hommes ‘étaient pleinement mit d’accord sur la protection implicite de sa jeune sœur. Pourquoi un tel silence ? Tout simplement parce que tout aristocratique qu’il était le Roku ban tai Taisho n’était pas apte à empêcher un tout autre collègue à envoyer ses hommes en mission et cela pour un but d’acquérir l’expérience qui faisait la défense du Seireitei. De plus si Byakuya paraissait insister un peu plus, son entourage aurait pleinement perçut une forme de faiblesse.

Un mois passa et la sixième Division fut chargée de rechercher Rukia qui ne donnait guère de nouvelle. C'est ainsi qu'il rencontra pour la première fois Kurosaki Ichigo. A cet instant il ne savait point que ce garnement, serait celui qui lui ouvrira les yeux sur le choix qu'il lui faudra prendre dans le mois à venir, concernant l'existence de sa soeur, mais aussi trouver une certaine paix intérieur, concernant ses promesses. Après ces jours sombres qui ont précédé cette pseudo exécution et la disparition de nos trois traitres, j'ai nommé Aizen Sosuke, Ichimaru Gin et Tosen Kaname, le Seireitei semblait bien plus sur ses gardes. Quand à notre noble Taisho, même s'il n'en laissait presque rien paraitre ouvertement, s'était rapproché un peu plus de Rukia. et devint un peu plus attentif envers ses hommes tel que Renji Abarai, qui avait réussit à le surprendre en l'atteignant de ses crocs, lors de leur confrontation...




Test RP:

Alors que le vent soufflait doucement sur les feuillus qui effleuraient de leurs branches les alentours du Seireitei. L'aube s'élevait à peine à l'horizon, offrant au yeux d'un quelconque spectateur, ses rayons rougeoyants et endormis. Ce n'était là que le sempiternel cycle naturel, et ô combien banale, mais pourtant si unique. Une bourrasque plus poussive intervint soudain, alors que jusqu'ici tout n'était que douceur et sérénité, arrachant de son attache une feuille encore emplit de vigueur. Jeunesse fauchée de façon précosse par cet élément si joueur....la feuille dériva lentement sur le sol encore verdoyant, avant de tournoyé en volutes légères, un dernier soubresaut avant de choir. Non point cela, car le vent en décida autrement en soufflant encore une fois. emportant dans ses bras invisible sa victime muette et soumise. Il la guida au delà des feuillages, par delà les premiers bâtiments qui formaient les quartiers de la sixième division. Virevoltant encore, dans un ultime effort, la feuille s'échoua cependant avec grâce sur le rebord d'une fenêtre, caressant de ses extrémités le vitrage, barrière invisible et infranchissable...

Par delà cette vitre, Byakuya lui tournait le dos, ignorant sa silencieuse agonie. Il était assit à son bureau, le maintient digne et l'air des plus insondable peint sur ses traits encore partiellement juvéniles. Son étole cachait en partit son menton, alors que ses yeux ombrageux et neutre étaient rivés sur son travail. Sa main droite tenait avec élégance et précision un pinceau fuselé, qui n'avait de cesse de pratiquer une danse des plus agiles sur la surface plane et granuleuse du papier. Ce n'était rien de moins que l'un des nombreux dossiers que notre noble aux airs des plus dédaigneuse s'évertuait à achever. Les rayons du soleil avaient atteins les ouvertures que depuis peut, et Byakuya n'avait pas encore réagit quand à éteindre la flamme de sa bougie qui petit à petit vacillait dangereusement sur son socle. Piètre piédestal que cela, pour une si chaleureuse compagne. Car oui deux heures durant elle lui avait tenir compagnie en silence. Le pinceau cessait soudain son exercice, et fut reposer avec sureté. Tandis que de ses mains ganté, Kuchiki Taisho referma le document afin de le ranger sur la piles qui se trouvait sur sa gauche.

Lentement, Byakuya se laissa aller en arrière afin de récupérer quelques instants. Ses paupières se fermèrent, laissant son sens du toucher ressentir la douce chaleur des rayons de l'astre matinal sur sa nuque. C'était un moment agréable, un plaisir simple qui n'appartenait qu'à lui. Mais ce facteur aussi plaisant soit-il, paraissait pour notre noble comme un avertissement, un signal, que bientôt se silence si désiré et si propice sera rompu par les allers et venues de ses hommes.

Se rappelant à l'ordre, Byakuya se redressa dans une position plus digne de lui même et écarta les dossiers qui jonchaient encore son bureau. Son regard se porta un instant sur Senbonzakura qui se reposait à deux pas de sa position actuelle, avant de ce décider à quitter sa chaise avec noblesse. Faisant face à la fenêtre son ouïe fut attirer par un petit frottement irrégulier et répétitif sur le dernier carreau de la vitre. Abaissant ses orbes gris, le noble observa enfin la petite feuille...Cependant il ne bougeait toujours pas, laissant l'astre du jour pointer les minutes en continuant inlassablement sa course folle dans ce ciel si dénudé de nuages. L'ombre de notre shinigami s'agrandit un peu plus dans la pièce encore vide. Cependant le silence fut rompu lorsque de sa main Byakuya tourna la poignée de la fenêtre qui s'ouvrit dans un souffle si tranquille que l'orpheline ne reprit point sa chute. délicatement, le noble la prit entre ses longs doigts et la porta à sa vue avec une songerie passagère.

Ses rainures étaient encore bien verte, et ses caractéristiques lui confirmaient qu'elle provenait d'un prunier. L'automne était donc si proche...non certes non, cette feuille avait été arraché à ses consoeurs bien trop tôt. Mais dans le coeur de capitaine de la sixième division s'était toujours l'hiver, malgré qu'il n'était plus une pousse juvénile. Le vent souffla encore, soulevant les mèches de ses cheveux de jais, maintenu par son Kenseikaan. La bise souffla encore, mais le noble n'éprouvait pas l'envie de déserrer son étreinte pour laisser sa prisonnière s'en aller.

* Tout comme toi Hisana. Le sort n'a que faire de notre âge, il nous fauche parfois bien trop vite.*

Sauf que contrairement à sa défunte épouse, il pouvait agir pour le salut de celle qu'il avait receuillit en sa paume. Il pouvait refuser de la laissé porter par ce vent taquin et indiffèrent. Pourtant notre shinigami entrouvrit ses doigts, la feuille vibra une ultime fois puis quitta se qui quelque minutes auparavant était son sauveur, alors qu'un reiatsu se rapprochait. La feuille disparut peu à peu de sa vue, alors qu'il s'en détourna complètement afin de rejoindre son bureau. Ses traits reprirent ce masque si lisse de toute émotions et d'expression alors qu'on frappa à sa porte. De sa voix atone, Byakuya s'exprima l'ordre d'entré, tandis que la bougie s'éteignit enfin.







• Shinigami/Vizard...•

Nom du Zanpakuto:

Forme Scellée :
Son nom n’est autre que Senbonzakura, ce qui se traduit par : Un millier de pétales de fleurs de cerisier. Quand à son apparence sous forme scellée, elle ne représente qu’un simple Katana ayant un sori de taille moyenne. (Sa lame si cela vous sied plus.)La seule forme que nous connaissons de ce zanpakutoh dans son propre monde, est un aspect humanoïde représentant un guerrier des temps anciens, arborant des couleurs bordeaux et violacés.

Shikai :

Phrase de libération : "shire Senbonzakura"


Pouvoir :
Ce n’est que lorsque Byakuya prononce les termes "shire Senbonzakura" que son zanpakutoh révèle son shikai, et se disperse dans les airs en de multiple lames qui prennent l’apparence de pétales de fleurs de cerisier, sous les rayons du soleil. Chaque lame est sous son contrôle et il peut les diriger sans heurt par le biais de son esprit. De plus il peut rendre leur célérité plus accrue encore, s’il s’emploi à user de ses mains.

Bankai :

Le bankai de ce capitaine se divise en trois formes.

La première, "Senbonzakura Kageyoshi" autrement dit : Ombres brutales d’un millier de fleurs de cerisiers, augmente de façon considérable le nombre de lame ainsi que leur rapidité.

La seconde, "Senkei Senbonzakura Kageyoshi" , permet de laisser de côté la défense pour privilégier l’offensive. Les lames prennent l’aspect de vrais zanpakutoh.

Et enfin la troisième et non des moindre : "Hakuteiken" ce qui se traduit par « Epée blanche de l’Empereur ». Elle rassemble toute l’énergie qu’il possède sur sa propre personne, tout en prenant la forme d’un grand oiseau blanc.


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Âge : 26 ans
Disponibilité : [8/10]
Expérience dans le monde du RP : bientôt 6 années ( déjà.....)
Motivation pour votre personnage : Je le joue assez souvent sur diffèrent forum et personne n'a jamais eut à s'en plaindre. ( Mais il y a un commencement à tout)
Quelque chose d'autre à nous dire ? Non
Comment avez-vous connu le forum et comment le trouvez vous ? Je me le demande encore, figurez vous.